Il n’est pas celui que beaucoup cherchent à identifier dans la source de nos malheurs, mais certainement celui qui nous empêche de vivre parmi nous.
Quel est cet inquisiteur ? Celui le plus proche de nous, cette administration non-élue et son bras armé, sa propagande qui tourne en boucle.
Quand je discute avec les vrais gens sur notre condition de cette gestion Covid, ce sont le plus souvent des réponses d’otages telles que les décrit Mr Reichman dans son dernier billet. Mais le même Monsieur ne semble pas avoir conscience de l’état de décérébration de notre population. Elle ne comprend rien à rien de ce qui passe au-dessus d’elle, tant ou temps qu’elle peut aller au boulot demain, ou ne rien faire demain, ou encore se projeter dans ses multi plans d’un futur qui semble pour elle un acquis en termes sociétaux.
Au-dessus les choses bougent pourtant, car notre condition d’individu et de propriété associée et d’accès à de l’énergie abondante et à bas coût ne sont plus des mûrs, mais des contenants de chevaux de Troie qui vont faire que ces mêmes mûrs demeurent infranchissables, non de l’extérieur vers l’intérieur mais l’inverse, le communisme …
Je discutais ce dernier vendredi avec une banquière en gestion d’entreprises sur l’optimisation de trésorerie et par là ce qu’elle me proposait. Elle avait beaucoup plus à apprendre de moi en profitabilité financière pour faire de l’argent avec de l’argent que de ses circonvolutions formatées de son employeur, puis nous avons embrayé sur le Coronacircus. Elle m’a parlé de vaccination potentielle de ses enfants, de ses doutes, sur lesquels j’ai embrayé. Elle a passé un super moment avec moi qu’elle m’a confessé.
Je discutais avec mon coiffeur ce dernier samedi que je connais en se disant « tu ». Mon coiffeur est une éponge de ce qui se passe dans son Landerneau et aime et fréquente les notables du même. Un petit jeune est entré pour prendre son rendez-vous à la suite de moi, fagoté « Destroye » ce qui voulait dire : « Salut les fossiles … ». J’ai commencé à reprendre mon coiffeur sur ses élucubrations de la gestion Covid, mais d’une manière diplomate, sans le heurter, car j’avais compris dès ses premiers mots son cancer, la propagande sur le sujet. Le petit homme qui attendant en écoutant nos échanges avait changé de regard de bleu vis-à-vis de moi lorsque je franchissais la porte du salon pour le quitter.
Je discutais avec mon notaire, fin décembre dernier, qui est un officier de droit assermenté. Et là encore, j’ai mesuré son inconsistance sur le Coronacircus et il m’a bien plus écouté sur le sujet que de notre affaire.
Trois petits sondés, l’une salariée avec une tête bien faite et l’autre, un artisan, salarié d’autre fois pour apprendre son métier et franchir le Rubicon, puis un officier de droit assermenté que je pourrais multiplier parmi toutes mes rencontres, en dehors des lieux où cette abomination de Pass Vacinnal tient comme autorisation de fréquentations, afin de révéler la vacuité de notre réflexion en tant que peuple face à nos fondamentaux de droits comme individus.
Bien à vous !
Peu importe son nom et sa justification, le pass est un viol.