Les Français sont-ils capables de la regarder en face ou vont-ils lui claquer la porte au nez ? C’est la question du moment.
COVID apporte la lumière.
C’est une maladie, un peu plus qu’une simple grippe. Personne n’en doute aujourd’hui.
C’est une maladie individuelle, transmissible, qui impacte donc la collectivité. Nos compétences scientifiques à son sujet sont tirées de l’observation, sans réelle capacité d’intervention en dehors du classique vaccin, ici modernisé mais toujours impuissant devant les mutations multiples et imprévisibles du virus.
L’expérience prouve qu’un problème individuel impactant la collectivité peut être traité de deux façons :
– Librement, par chacun, en responsabilisant alors chaque individu quant aux conséquences de ses décisions sur tous.
– Collectivement, par la bureaucratie étatique, en déresponsabilisant alors au préalable chaque individu pour éviter toute dissonance dans l’action.
Ce sont deux méthodes aux antipodes l’une de l’autre.
Ces deux méthodes sont induites le plus souvent par l’éducation sociétale du groupe, et par l’organisation structurelle qui en découle.
La France est devenue collectiviste, volontairement ou involontairement, c’est donc la deuxième solution qui s’est appliquée pour COVID.
Les incohérences induites sont si fortes que le Premier Ministre dit faire appel au « bon sens » pour tenter de sortir des multiples situations ridicules que le traitement collectif de la crise soulève.
Ainsi au moment de condamner lourdement tout bistroquet surpris avec des clients non vaccinés, la stupidité du concept apparait. C’est donc la police qui, à l’occasion de descentes inopinées dans les bistroquets, vérifiera les vaccinés. Oui, mais la police étant dispensée de vaccin de quel droit peut-elle entrer ? Qui acceptera de voir débouler dans le bistroquet visé des agents non vaccinés ? Un problème laissé à l’appréciation du « bon sens ».
A partir de quelle surface de supermarché le virus s’excite et passe à l’attaque, pendant qu’en dessous il se promène sagement ? Encore une question à régler grâce au « bon sens ».
Les jeunes qui passent COVID sans difficulté doivent-ils être vaccinés de force ? Seul le « bon sens » peut apporter la solution.
Pas de non-vacciné dans les trains, mais pour le métro ? Le « bon sens » …
Il n’est dans cette affaire qu’une seule certitude, le virus meurt de sa belle mort au terme des contaminations. Est-ce judicieux de gêner ces contaminations par le confinement et de repousser ainsi la date de disparition du virus ? Encore un problème de « bon sens ».
L’usage journalier des chiffres pour nous parler de COVID entretient la confusion, tant ils sont discutables. Malheureusement ils ignorent le « bon sens », c’est même le principal ennemi des chiffres.
Mais attention
Nous ne parlons pas de n’importe quel « bon sens ». Il ne s’agit ni du mien ni du votre. Il s’agit exclusivement de celui de M. Macron et de ses amis qui gouvernent sous le sceau du « bon sens », qui n’ont pour cela ni besoin de vous : la rue, ni de vos représentants : l’Assemblée Nationale.
En réalité
Nous assistons à l’échec total, et programmé pour les initiés, de la gestion collectiviste de nos problèmes individuels.
L’économie rencontre la même problématique, l’éducation nationale aussi, l’assurance maladie, la recherche, etc… en réalité tout ce qui n’est pas régalien, qui dépend de décisions individuelles, est envahi et réduit en cendre par la démesure « bureaucrato-collectiviste » qui nous tue à petit feu.
Le « bon sens » de M. Macron, élevé à la couveuse ENA, n’est d’aucune utilité contre le fléau.
La France a besoin de libertés individuelles, de responsabilités individuelles, d’un traitement antiparasitaire de choc pour exploser sa bureaucratie et ses fonctionnaires communistes – gardons les autres, ils sont peu nombreux mais très efficaces, ils sont nécessaires –.
Face à COVID Macron, non pas sa personne mais le concept collectiviste qu’il représente à la perfection, va dans le mur, c’est imminant.
On peut faire semblant de ne pas le voir, le laisser en place ou élire pire que lui dans la même veine.
On peut aussi se débarrasser de toute la clique, se prendre en main. Nous savons ce qu’est la liberté dans la démocratie, c’est nous qui l’avons inventée.
Face à un tel échec, si j’étais Macron, je partirais… ou je prendrais le virage de la liberté, il lui reste 9 mois pour cela… tout un symbole.
Bien à vous. H. Dumas
Tant que personne n’est d’accord sur le « sens » et la « direction » à donner à notre société, on continuera à zigzaguer en tous sens, surtout les mauvais, et avec nos artistes aux manettes, ce seraient vraiment un coup de bol que l’on soit un jour dans le « bon sens ».
« Venez me chercher ».
Cela va finir par arriver, sale petit mec. Et la bouffe que tu t’es pris en juin n’est rien à côté de celles que tu vas recevoir pour avoir méprisé les français pendant cinq ans.
Pétain fut épargné de la vindicte populaire parce que vieux. En revanche, Benito n’eut pas cette chance.
Le ‘bon sens’ varie selon les mairies et/ou les préfectures :
Ainsi, dans certains restaurants par exemple, il sera imposé au client de visualiser la carte des menus à l’aide d’un ‘QR code’ et de son ‘smart phone’…
Les ‘non geeks » même vaccinés n’auront plus qu’à rentrer manger chez eux.
En revanche, si vous avez un téléphone mobile, alors vous êtes sauvés :
Vous pourrez consulter la carte virtuelle ‘hygiénique’ anti covid, vous sustenter et régler la note à la fin du repas même en ‘espèce’ !
Décidemment on attribue à COVID bien des défauts comme la gourmandise, gare à vous si vous le tenter avec ces mets délicieux en photo sur la carte !
mais on ne lui reproche pas encore d’être vénale…: les billets de banque, les pièces de monnaie, ça va, ça passe…
Le Rôle des politiques est de motiver les citoyens comme le coach d’un club sportif. Donc comme ce pays est géré par l’administration, j’imagine une loi que les politiques français et les administrations françaises adorent faire pour obliger les avant-centres de football à marquer au moins 4 buts par match si non le cacho.