M.L. P. S.
Mouvement pour la Liberté de la Protection Sociale
165, rue de Rennes 75006 PARIS
Communiqué du 31 octobre 2020
M. Macron doit rétablir le droit complet de prescription des médecins
Le MLPS prend acte de la déclaration télévisée du 28 octobre 2020 du président de la République relative à l’épidémie de Covid-19.
M. Macron a déclaré : « « Les soignants à l’hôpital jouent évidement dans ce contexte un rôle essentiel, mais nous avons besoin des médecins de ville, des infirmiers, des pharmaciens, de tous les acteurs du médicosocial, de tous les professionnels de santé de ville pour assurer une prise en charge précoce des patients dès les premiers symptômes pour éviter que ne se développent des formes complexes. »
En recommandant « une prise en charge précoce des patients », M. Macron prend le contre-pied de la doctrine officielle, qui préconisait d’attendre les difficultés respiratoires pour faire appel aux SAMU, et se rallie donc à la stratégie du Pr Didier Raoult, qui a fait ses preuves à l’IHU de Marseille.
Il n’en demeure pas moins que les médecins généralistes restent privés, au mépris de leur déontologie, du droit de prescrire le traitement hydroxychloquine-azithromycine qui a pourtant fait la preuve de son innocuité, en dépit des manœuvres qui ont tenté de le discréditer, et dont les publications de l’IHU de Marseille ont établi l’efficacité.
Le MLPS demande au président de la République de rétablir immédiatement le droit de tout médecin de prescrire, sous sa propre responsabilité, tout médicament qu’il juge bénéfique à la santé de son patient, conformément au serment d’Hippocrate que les médecins prêtent depuis vingt-quatre siècles.
C’est incompréhensible que les médecins n’aient pas engagé une action forte, publique, pour défendre leur liberté de prescrire.
N’y croient-ils pas eux-mêmes ?
Doutent-ils de leurs compétences au point d’accepter les ordres de politiques ou d’administratifs ?
Croient-ils au Dieu-Etat, au point de se soumettre à ses représentants autoproclamés ?
A moins qu’ils s’en foutent, à juste titre, et continuent à prescrire ce qu’ils croient le mieux, sans tenir compte des jacasseries de ces gens là.
Cher Henri, la Sécurité sociale a réduit les médecins en esclavage. Ils réagissent donc en esclaves à la privation de leurs dernières libertés.
« Chemin faisant il vit le col du Chien, pelé :
Qu’est-ce là ? lui dit-il. Rien. Quoi ? rien ? Peu de chose.
Mais encor ? Le collier dont je suis attaché
De ce que vous voyez est peut-être la cause.
Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas
Où vous voulez ? Pas toujours, mais qu’importe ?
Il importe si bien, que de tous vos repas
Je ne veux en aucune sorte,
Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor.
Cela dit, maître Loup s’enfuit, et court encor. »
Amitiés
Claude
Peur de l’Ordre : interdiction d’exercer.
Peur de la Sécu : déconventionnement.
Sans compter les pressions néfastes exercés au travers des unions régionales des professionnels de santé.
Depuis l’instauration des références médicales opposables, l’exercice de la médecine en France est tout sauf libéral.
erratum : les pressions néfastes exercées
Ordre pétainiste des médecins. Merci de corriger.
Ce vaurien de pédésident foule aux pieds les 24 siècles du serment d’Hyppocrate
comme ses prédécesseurs et lui même sur le mariage entre un homme et une femme depuis 45 siècles (Mésopotamie).
Comme je suis d’accord ! Bien trouvé le « pédésident »
Le mot République en France que certains utilisent à tout bout de champ.
La Ripoublique serait préférable !
La France depuis quelques décennies est une suite de mensonges sur lesquels beaucoup trop de citoyens sont d’accord et cela rend son redressement impossible ou très , très difficile.
« Plus une société se détourne de la vérité, plus elle déteste ceux qui la disent. » George Orwell