La France Insoumise
Sa tête de gondole est Mr Mélenchon, le Maduro français qui prône une rupture complète avec le capitalisme « sauvage », qui pourtant le nourrit, avec ses émoluments plantureux dont il ne parle guère, et qui l’équipe aussi, car sans capitalisme, pas beaucoup de choses à bas coût disponible parmi tout son quotidien.
Le capitalisme « sauvage » qu’il évoque est en fait un autre de connivence dont il fait partie. Celui qui n’est pas autre chose qu’une entente entre la politique et les savoir-faire, et dénonce alors le marché en pur concurrence, car ils, eux, on le déroute vers des rivières de travail de laborieux pour servir des ruisseaux, ou si vous préférez, des Sprinklers à pognon pour une élite qui tient la matrice avec sa batterie de soldats, les fonctionnaires, la bureaucratie.
Cela ne suffit pas à Mr Mélenchon : Car il s’agit pour lui de répliquer des modèles collectivistes qui ont échoués, systématiquement, dans toute l’histoire de l’humanité. Nous pensions être guéris de ce syndrome de Stockholm à la chute du Mur de Berlin, mais non, le conservatoire du régime de Vichy perdure décidément parmi l’Armor et l’Argoat de nos territoires malgré tout.
La faute de cet état de fait incombe à l’EdNat : Cet état dans l’Etat qui fabrique des élèves en batteries, des poulets qui vont pondre des œufs au profit de ladite Matrice. Une prise de pouvoir qui a appelé VGE puis Mitterrand et s’ensuive.
Mr Mélenchon l’a parfaitement compris et s’aligne sur ces légions de désespérés sans futur pour les capter, mais aussi sur un No Man’s Land des banlieues de métropoles et disséminées ailleurs dans le Landerneau des villages.
Mr Mélenchon est un con intellectuel fini, qui représente un danger absolu pour notre démocratie, si tant est qu’elle existe encore. Le fait que nos micros mous des médias puissent lui donner encore la parole n’est pas une objection, mais une subjection militante, gardienne du temple si vous préférez. En contrepartie, vous n’aurez jamais la même audience avec de vrais Libéraux.
La France soumise
Le « Couillanavirus » est un bon exemple. La population se teste, se méfie. Les femmes regardent beaucoup plus dans les yeux des hommes car leurs atours de maquillage disparaissent sous leurs masques. Le lien social de la rencontre de la vie ou d’une vie s’efface par des Burqas improvisées mais rendues obligatoires.
Nos gilets jaunes étaient pauvres avant cet événement surgi dans leur quotidien. Ils vont encore devenir plus pauvres ensuite, et plus nombreux dans le registre.
La violence, l’incivilité prospèrent. Les « sauvageons » de la Novlangue de Mr Chevènement deviennent hors de contrôle.
Sur les routes, je n’ai jamais roulé aussi vite. Les « Keufs » sont aux abonnés absents. Leurs radars fixes sont vampirisés.
En fait, j’ai un peu l’impression d’être plongé dans l’univers d’« Atlas Shrugged ». Un délitement lancinant d’une société d’hommes comme tant d’autres qui ont fini par disparaître par le collectivisme, toujours et encore.
Mais comme le cite Emmanuel Todd : « En bas l’intelligence progresse, tout comme le taux de diplômés en haut ».
Ceci veut dire, à mon sens, que des intelligents exclus ou restant délibérément en bas travaillent à renverser la table bientôt.
Nous verrons bien, mais comme se conclut souvent les articles de H16 : « This will not end well ».
Bien à vous
Jean-Cul Méchancon, millionnaire national-socialiste honteux (Il dénonce le plombier polonais mais fait imprimer ses tracts en Italie), n’a jamais travaillé un seul jour de sa vie. il peut arguer qu’il a un gros problème avec l’alcool que le capitalisme lui fournit sans pénurie.
« La réponse des élus devrait passer par la valorisation de solutions basées sur l’innovation et l’investissement, les économies de gestions à réaliser et non, par le traditionnel ‘nouvelles taxes’ et arrosages de subventions fiscales, et non par le développement de la peur. Pour les dirigeants d’un pays le temps long doit primer sur les solutions de court terme »