Au courrier de ce matin, une saisie fiscale
Ma réponse, un mail ce même jour.
A-t-on le droit d’évoquer le problème posé ?
Probablement que non, mais je ne suis plus à ça près… les poursuites dont je fais déjà l’objet à ce sujet m’inoculent.
Le fisc, « Stasi » totalitaire, n’accepte jamais la raison. Le fisc oppresse, une majorité de la population lui donne raison, la même que celle qui donnait raison à Pétain lorsqu’il pillait les Juifs.
Le fisc est ravi de faire peur, de menacer les contribuables, les enfants des contribuables, la famille et les amis des contribuables, il considère que cela fait partie de sa mission. Il ne cherche pas à être juste et accepté, il veut être violent et craint.
Le fisc est inaccessible à la raison, seule la force brute est sa loi.
Ici, le fisc a redressé une succession déclarée à son prix. Pour aboutir à son redressement, le fisc a fait de fausses déclarations, que la justice connait parfaitement, qu’elle refuse de sanctionner. On ne se punit pas entre fonctionnaires, on est du même bord, il faut bien qu’ils aient peur et qu’ils payent, si l’on veut être payés…
Alors, imposant illégitimement un terrain dans le cadre de cette succession, le fisc, cherche à recouvrir les sommes indues sans faire vendre le terrain. Il n’hésite pas, il saisit l’outil de travail.
Il est clair que s’il cherchait à vendre le terrain, il serait face à ses propres mensonges.
Comment vendre au prix du terrain constructible un terrain qui ne l’est pas ?
C’est là, 16 ans plus tard, que j’attends le fisc, car ma mère (c’est de sa succession qu’il s’agit) est décédée il y a 16 ans. Le souvenir de ma mère est occulté par 16 ans de harcèlement fiscal.
Je ne peux pas imaginer que la justice française permettra au fisc de recouvrer sa fausse créance autrement qu’à travers la vente aux enchères publiques du terrain objet du redressement. J’attends. Ce devrait être amusant de voir le fisc mettre en vente un terrain non constructible au prix d’un terrain constructible.
Le mensonge finit toujours par se retourner contre le menteur, il suffit d’attendre.
Bon Dimanche, et bien cordialement. H. Dumas