Sur un blog chic, très chic, Dominique Strauss-Kahn exprime sa vision de la crise.
L’être, l’avoir et le pouvoir dans la crise, par Dominique Strauss-Kahn
Parfait, vous avez lu l’ouvrage. C’est évidemment très bien écrit et finalement assez peu hermétique.
Mais où est l’homme, où sont ses libertés.
Il n’est question que de résultats, passés ou présents, structurels, d’organisations ou de pressions de groupe.
J’ai eu l’impression d’être un ours assistant à une réunion d’organisation de mon environnement par la famille de La Panouze, devisant de mon avenir en tant qu’hôte du zoo de Touary.
Mais, le zoo de Touary n’existe que par ses grilles et ses fusils. Les ours n’y vivent pas en temps qu’ours, il n’y vivent qu’en temps de choses du zoo.
Est-ce cela notre avenir ?
C’est à dire notre enfermement par une technocratie qui ne tire aucune conclusion de ses divagations, de ses erreurs, qui se propose simplement d’être plus présente, au lieu de nous rendre notre liberté.
Qui nous accuse indirectement d’être la cause de ses échecs, en tant qu’hommes. Qui se propose juste de modifier son zoo. Qui cherche à nous faire comprendre, qui est persuadée, que sans elle nous nous entre-tuerions. Alors qu’elle est le vecteur de nos malheurs en réduisant nos libertés.
Bien à vous. H. Dumas
Je pense que ce que nous allons vivre demain dans l’économie c’est la disparition des petits et un renforcement des gros. Quand les gros maigrissent les maigres meurent.