Le ruminant domestique — veau, vache, mouton… — sait-il que les protections dont il fait l’objet, le confort de sa vie, ont pour terme l’abattoir ?
A l’abattoir les opérateurs pensent que oui, en conséquence ils n’ont aucun respect pour sa vie, pour lui.
Depuis toujours des « hommes de l’Etat » se lèvent pour faire de leurs congénères des ruminants domestiques qui finissent à l’abattoir de leurs libertés, payant alors de leur vie le prix de leur soumission.
L’expérience nous a appris que l’outil de la liberté s’appelle : la propriété privée.
Nos ancêtres ont effectivement payé le prix fort pour la définir lors de la révolution, article 17 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (1789) : » La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n’est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l’exige évidemment, et sous la condition d’une juste et préalable indemnité. »
L’église et les nobles possédaient alors tout, eux ne possédaient rien. Ils pensaient que c’était un déterminisme divin. C’était cette croyance qui cimentait leur prison.
Aujourd’hui Bercy et sa bureaucratie sont sur le point d’éradiquer la propriété privée, de tout posséder au nom du collectivisme égalitaire. C’est un recul de plus de deux siècles qui nous ramène vers la misère. La population croit qu’il s’agit d’un déterminisme écologique. Alors que ce n’est qu’une nouvelle croyance de domination.
Pour sauver nos libertés il suffit de sauver la propriété privée, dont un des piliers est le nid, la tanière… notre habitation.
Ce pilier est en grand danger.
Lors des années 60, la France flamboyante visait l’extension de la propriété privée, des logements acquis par le plus grand nombre. Les outils étaient l’avantage fiscal et le Crédit Foncier. Ce fut une réussite jusqu’en 1980.
Mais, revers de la médaille, le propriétaire de son nid se sent pousser des ailes et entend disposer de la liberté d’expression que confère la possession.
Il devient réfractaire à la soumission aux hommes de l’Etat.
Donc, machine arrière toute.
La propriété privée est combattue par ces derniers, à partir de cinq points :
- Sa mise en œuvre est filtrée par les lois sur l’urbanisme, contrôlée par les zélotes du collectivisme.
- Sa fiscalité est assommée, pendant que le locataire se voit dispensé de sa taxe d’habitation.
- Le transfert familial est entravé par la fiscalité sur les successions
- La préemption nuit gravement au libre échange des propriétés privées.
- Le statut de locataire au profit des hommes de l’Etat — dépendance ultime — est privilégié.
Le législateur et Bercy sont à la manœuvre.
Au moment où j’écris ces lignes le secteur privé alimentant la propriété privée est à l’agonie. Plans d’urbanisme, quotas d’HLM obligatoires et fiscalité ont eu raison de lui.
Il reste les richissimes sociétés d’HLM, futur locatif de la population qui aura ainsi perdu la propriété de ses nids, donc une grande partie de sa liberté.
Les sociétés d’HLM, en complicité avec les hommes de l’Etat, obtiennent facilement leurs autorisations de construire après avoir bénéficié des règles sur l’urbanisme pour dévaloriser leurs fonciers d’assise.
Elles n’ont même plus à construire elles-mêmes, de nouveaux prestataires, se baptisant promoteurs, le font exclusivement pour elles.
Leurs locataires sont triés et la plus grande partie de leurs loyers sont garantis par des structures d’aides au logement.
Elles ne paient pas d’impôt et n’ont pas de contrôles fiscaux.
Elles s’engagent vers le haut de gamme, pour loger les apparatchiks.
Les hommes de l’Etat cherchent à faire de nous leurs locataires.
Ce n’est qu’un des points où ils combattent la propriété privée, outil de nos libertés, hantise de leur soif de domination.
Il agissent pareillement, à travers le contrôle des banques, sur notre argent. Aussi, par la fiscalité, sur nos revenus, nos entreprises, etc…
Je vous le redis : il est grand temps de se révolter.
La collectivisation, base du fascisme, n’est plus rampante, elle est galopante.
Bien à vous. H. Dumas
La dernière grande attaque contre la propriété privée à permis d’envoyer 76 000 Français dans les chambres à gaz.
Sauvons la liberté !
La liberté sauvera le reste !
‘Victor Hugo’
Manifestement il y a de la résistance dans l’air. 50% des propriétaires n’ont toujours pas rempli la déclaration en ligne des biens immobiliers (aucune déclaration papier n’a été prévue, obligation de fait donc d’avoir internet). Bercy menace d’amendes bien entendu mais est obligé de reculer la date limite de déclaration du 30 juin au 31 juillet : en plein été… un gros flop fiscal s’annonce.
https://www.lindependant.fr/2023/06/24/declaration-des-biens-immobiliers-initialement-prevue-au-30-juin-la-date-limite-repoussee-au-31-juillet-11298884.php#commentaires
Lamentable mais fiscal
https://www.ladepeche.fr/2023/06/20/le-fisc-me-reclame-ma-retraite-le-cri-dalarme-dune-retraitee-forcee-de-continuer-a-travailler-a-temps-plein-a-pres-de-70-ans-11285549.php
Ajoutons le contrôle technique des maisons interdites à la location si mal isolées selon des critères qui seront de plus en plus restrictifs, puis interdites à la vente (c’est déjà le cas en Belgique) et tout cela sous prétexte de CO2.
La toute récente déclaration fiscale internet à laquelle doivent se soumettre les propriétaires.
La chasse à laquelle se livrent les maires pour repérer les logements inoccupés, les propriétaires âgés sans descendance : mise sous tutelle abusive, préemption, expropriation au profit des HLM.
Les juges de gauche, et ils pullulent comme des rats, qui bafouent sans vergogne les droits des propriétaires au profit des squatteurs.
Les commissions occultes entre élus, HLM, architectes et constructeurs.
A l’étranger ce n’est guère mieux les allemands et les suisses sont presque tous locataires, les britanniques sont sous le régime des baux emphytéotiques : version immobilière de la peau de chagrin, puisqu’ils doivent louer à la monarchie (Grosvenor en particulier) le terrain sur lequel repose leur logement s’ils en sont propriétaires et que cette propriété est de plus provisoire car elle s’achève généralement avant 99 ans au profit de la monarchie bien entendu.
Une minorité lucide, une majorité qui ne veut comprendre, les peuples ont les régimes politiques qu’ils méritent.
Ajoutons encore les fanatiques de gauche de Terranova qui veulent faire payer un loyer aux propriétaires au profit de l’état et la réévaluation des valeurs locatives de 7% pour cette année.
Ajoutons encore les maisons et appartements qui deviennent invendables par la présence aux alentours d’une population allogène de mauvais aloi…
Les Nuages français en ce moment sont remplis, de réduction de liberté, de taxes et d’eau. Le management par la peur, le marketing, la direction par objectif inventés par les NAZIS sont des leurres démocratiques.
Je crois que seuls les Corses sont capables de défendre ce qui est le + précieux, la liberté. Ils ne se laissent pas imposer des décisions qui leurs nuisent, par exemple il n’y a pas de loups en Corse, mon fils est Berger et il en sait quelques choses comme on dit.
Vivre libre, c’est disposer de moyens d’existence. En privant ou en contrôlant ces moyens, on asservit les peuples.
La France est le pays qui a proclamé les droits de l’Homme, mais pas celui qui les applique dont la liberté et le droit de propriété,
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