Dax, à l’occasion du huitième Weekend de la liberté organisé par le Cercle Frédéric Bastiat, j’ai eu le plaisir de rencontrer et d’interviewer Monsieur Alain Mathieu.
Le Weekend de la Liberté est une manifestation animée par notre ami Patrick de Casanove, à Dax. Ces rencontres libérales sont fructueuses et alimentent réellement la réflexion sociétale et politique. Je ne peux que vous conseiller d’y participer l’année prochaine.
Bien cordialement. H. Dumas
Henri,
Dixit « Simplement le combat de cette association et le notre sont différents. » différents mais complémentaires et le fait de vous isoler volontairement (CA, IREF…) vous mène à un combat sans fin et stérile.
Mon constat se résume en une phrase: « Dommage tout ça pour ça »!
Merci de vous souvenir que ce blog est gratuit et que vous pouvez vous y exprimer librement.
Bjr,
oui Henri comme tout les blogs d’ailleurs 😉
Bjr,
Tiens vous donnez la parole à un responsable de Contribuables Associés et aucun blaireau pour vous poursuivre de sa vindicte comme je l’ai été….
Bizarre non?
Comme le fisc 2 poids 2 mesures.
A vouloir contenter le « bon beauf » les forces utiles s’en vont!
Bonjour Chris,
Là, je ne peux pas laisser votre vindicte, dictée par votre souffrance et que je peux comprendre, s’appuyer sur un mensonge.
Depuis le début, j’ai toujours respecté Contribuables Associés.
Simplement le combat de cette association et le notre sont différents.
Contribuables Associés vise, avec compétence et succès, les dépenses outrancières de l’Etat, sans jusqu’à présent se révolter contre l’organisation sociale et notamment la zone de non droit que sont les contrôles fiscaux.
C’est une attitude que je respecte, chaque combat a ses combattants et le combat de Contribuables Associés, légitime et utile, passe par des échanges avec les pouvoirs publics.
Le notre, malheureusement, est beaucoup plus isolé donc plus ingrat.
C’est ainsi.
Qui plus est, je n’ai pas interviewé M. Alain Mathieu dans le cadre de ses anciennes responsabilités à Contribuables Associés, ce qui n’a pas pu vous échapper.
Cordialement. H. Dumas