Comment n’y ai-je pas pensé plus tôt ?
L’amour évidement l’amour, c’est lui qui fait la fortune des chanteurs, des poètes, des musiciens, des cinéastes, l’amour est partout, c’est lui le moteur.
Il est à la télé, il s’affiche à l’assemblée nationale où on l’appelle le sexe.
L’amour nous envahit tous, y compris les contrôleurs fiscaux.
Celui de l’article que je me suis permis de reproduire ci-dessous, que Richard m’a fait passé, n’est-il pas touchant ?
Voilà un contrôleur qui agit par amour, excusons-le.
Il s’est un peu précipité et a tapé directement dans la caisse du trésor. Bon d’accord, et alors ?
Ses confrères aussi agissent par amour quand ils viennent chez nous. Certes eux tapent d’abord dans notre caisse, mais ensuite, ils reçoivent un tombereau d’amour de leurs chefs reconnaissants, des assistés reconnaissants, des fonctionnaires reconnaissants, de tous les fainéants du monde reconnaissants, des jaloux reconnaissants, etc…
Ah, l’amour, quoi de plus pur….
L’ARTICLE DE LA DÉPÊCHE DU MIDI :
« Eure : par amour, un contrôleur des impôts détourne 276 000 €
Vincent, le contrôleur mis en cause, avait d’abord effectué de faux ordres de paiement comptable sur les 5 % retenus par la collectivité en cas de malfaçons. « Repérant les entreprises en liquidation ou ne demandant pas cette somme, il s’était fait passer pour le légataire », explique le journal local. Une fois ce filon épuisé, en avril 2014, le contrôleur des impôts exploite la faille d’un logiciel. Résultat : il crée de faux mandats et détourne plus de 230 000 euros en six mois.
L’amour rencontré sur Internet
Début 2014, Vincent rencontre l’amour sur Internet. Il s’agit d’un transexuel philippin. Il voit alors les choses en grand : il verse 35 000 € à son ami, effectue quatre voyages aux Philippines pour distribuer 62 000 € en espèces aux personnes qui lui demandaient de l’aide, et remis 11 000 € à une femme rencontrée dans un bar-hôtel de Rouen.
Au procès, le contrôleur des impôts reconnaît immédiatement les faits : « J’ai toujours eu énormément de difficulté à gérer mon budget. Au début, je voulais juste me remettre à flot mais je n’ai pas pu rembourser. Ensuite, en janvier 2014, j’ai rencontré un transsexuel philippin sur Internet. Je devais le rejoindre pour ouvrir un commerce », a expliqué posément le prévenu au tribunal d’Évreux.
L’homme a également fait croire à l’Armée du Salut qu’il ne touchait pas d’aide dans le but d’être hébergé gratuitement. « Tout était millimétré et planifié et, à deux mois près, il ne serait pas devant nous. De plus, son attitude envers l’Armée du Salut est honteuse et scandaleuse ! », a dénoncé le substitut du procureur.
L’accusé a été condamné à 24 mois de prison dont 12 avec sursis. Il devra également rembourser 276 000 €, plus les intérêts, à l’État. »
J’en ai la larme à l’œil. Bien cordialement. H. Dumas
En France il faut de l’humour pour les contribuables que nous sommes ..
Et ben , finalement 12 mois de prisons, avec les remises de peines…, il y en as qui sont toujours en tole pour moi,s queça. Il doit rembourser la somme, mais il n’est pas dis s’il a eu des amendes, ni si il a perdu son job…