La presse rapporte — en fait le journal Le Point — que Macron déclarait en avril 2018, à l’occasion d’une visite au CHU de Rouen, au sujet de la dette de notre pays : « À la fin, c’est vous qui payez aussi, vous savez. Il n’y a pas d’argent magique. La dette, ce sont nos enfants qui la paieront. Aujourd’hui, nous vivons à crédit, ça fait des décennies que ça dure. Et donc, si nous ne faisons rien, ce seront nos enfants, et eux n’auront pas de choix. »
Somme toute une déclaration raisonnable.
Or la suite fait que Macron, quelles qu’en soient les raisons, a planté le pays de 1000 milliards de dettes supplémentaires.
Peut-on en déduire que Macron est un être sans intelligence, ou machiavélique, ou inconséquent ? Je ne le crois pas.
Je crois tout simplement que Macron est corrompu, comme la grande majorité des individus composant notre nation.
Je m’explique.
La corruption est définie ainsi sur le net : « C’est un acte par lequel une ou plusieurs personnes, occupant une fonction dans le secteur privé ou dans la fonction publique, proposent ou acceptent de l’argent ou une faveur quelconque (on parle d’avantage indu) dans le but de réaliser ou de s’abstenir de faire une mission qui entre pourtant dans leurs fonctions. »
Donc, chaque fois qu’une personne qui s’occupe de la chose publique fait passer son intérêt personnel avant l’intérêt de la chose publique il commet un acte de corruption. Ce n’est pas plus compliqué que ça, et pourtant…
Chaque jour des milliers d’élus décident en fonction de leur intérêt électoral personnel, de celui de leur parti ou de leur croyance et non en fonction de l’intérêt collectif.
Ils arrivent à se persuader que leur élection, celle de leur parti ou la domination de leur croyance est l’intérêt collectif.
Cette confusion se trouve à tous les niveaux, puisqu’on la retrouve dans l’esprit du Président de La République Macron. Ce serait un non-sens bien prétentieux de le prendre pour un imbécile, alors qu’il n’est que corrompu.
Cette problématique, cette fausse route, existe dans toutes les activités humaines. L’intérêt personnel parasitant l’intérêt du groupe n’est pas une spécialité de la politique. Mais où qu’elle se trouve, elle gangrène définitivement le groupe qu’elle envahit.
La démocratie ne peut pas exister quand la corruption la pervertit.
Cette corruption rampante régit aujourd’hui tous les secteurs de toutes les composantes de notre nation, elle pourrait se résumer à la formule simplifiée : « moi d’abord. » Cette formule est le poison de tout groupe.
Or, dans une démocratie, c’est le groupe qui dicte sa loi, pas le Président. C’est dans ces conditions que Macron a failli.
Peut-on le lui reprocher ? Certes, mais il faudrait que la population exige l’intégrité, or chacun ne veut que plus de corruption… mais à son avantage évidemment. Personne ne souhaite l’intégrité, si exigeante. Ou alors, pour les autres…
Cette corruption intellectuelle génère de faux raisonnements d’évitement de la réalité. Par exemple la haine du capital, sans lequel il n’est pas d’économie. Par exemple l’égalitarisme, qui ne peut que niveler par le bas et finalement aboutir à l’inverse de ce qu’il prétend.
Peut-on sortir de cette corruption ? Sans doute que non, mais elle n’est pas obligatoirement majoritaire. C’est un problème structurel, qui a des solutions.
Certainement pas celles de l’homme ou du parti fort, qui ne peuvent que renforcer la corruption.
C’est au fond de chacun de nous que la prise de conscience doit avoir lieu. Hélas, l’expérience prouve que cette prise de conscience n’est possible que face au mur de la mort. Mort de l’être ou mort de la nation.
Attendons…
Bien à vous. H. Dumas
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UNE DEVINETTE POUR Henri DUMAS :
Quel rapport existe-t-il
entre l’actuel président de la République
et un ancien sketch de Jacques VILLERET, intitulé : « La Mobylette » ?
EXPLICATION DE TEXTE :
Tout en s’illustrant au cinéma comme au théâtre, Jacques Villeret
fit brièvement carrière dans le genre du « seul en scène » ou du monologue
et, parmi les personnages pittoresques qu’il y interprétait,
il y avait celui d’un conducteur de mobylette qui prétendait piloter… une Harley-Davidson, laquelle, on le devine, n’en était pas une,
mais bien plutôt un engin composite, entièrement trafiqué de sa main.
Or, à un interlocuteur (invisible du public),
qui finalement s’était aperçu de cette supercherie grossière,
ce vantard finissait par confesser à mi-voix :
« -Non, ce n’est pas vraiment une Harley-Davidson, c’est
une mob ordinaire à laquelle j’ai ajouté un guidon style Harley ! »
Et d’en conclure, alors, non sans aplomb, et comme pour ne pas perdre tout à fait la face :
« MAIS POUR LA FRANCE, C’EST SUFFISANT…TU PEUX FRIMER AVEC ! »
Ainsi fit Emmanuel MACRON en politique,
(point du tout lecteur de Frédéric Bastiat, mais de son propre aveu et depuis sa jeunesse étudiante,
nostalgique des grands « planificateurs » français
issus de la Libération) !
Car, pour paraphraser Villeret,
non et cent fois non,
le Macronisme n’était « PAS VRAIMENT » du Libéralisme !
C’était une variante « sophistiquée » de l’étatisme,
d’inspiration « centre-gauche réformiste »,
qui, dans la mesure où elle se démarquait
des autres formations étatistes par un appétit APPARENT
de réformes plus grand que la moyenne,
passa volontiers pour « libérale »
et même, de l’avis de l’extrême-gauche,
pour… »ultra-libérale » (UN COMBLE !)
Libéralisme NON PAS DANS LES FAITS
(d’où l’échec patent du « MOZART de LA FINANCE »)
MAIS UNIQUEMENT PAR CONTRASTE et PAR COMPARAISON !
Libéralisme « mimé », tout de « composition » et de « suggestion »,
MAIS JAMAIS d’INCARNATION EFFECTIVE !
Faux libéralisme en somme (venu à son heure)
pour empêcher l’avènement tant attendu
du véritable (dont c’était justement l’heure)
et, en se substituant à lui,
capter (en les dupant) les voix de ses adeptes !
Le Macronisme est donc,
-« virtuellement »,
-au point de vue « SUBLIMINAL »,
-et moins en actes qu’en paroles,
le courant le plus libéral
de TOUS CEUX QUI LE SONT PEU
ou de TOUS CEUX QUI NE LE SONT PAS !
Oui, mais voilà (et pour parler toujours comme Villeret) :
dans une France largement acquise au « Gaullo-socialo-écolo-communisme »
CE SIMPLE « TRUCAGE » PUBLICITAIRE,
tel l’engin douteux du sketch,
A FINI BEL ET BIEN PAR
« SUFFIRE »,
et pour son machiavélique « inventeur »,
IL LUI A LONGTEMPS PERMIS
(ET LUI PERMET ENCORE)
AUX YEUX DE TOUS…
DE « FRIMER » !!!
Si nous devions intégrer au pays PIB, l’ensemble des corruption, des détournement de fonds, public ou privé, je me demande quel serait l’augmentation du PIB.
c’est Léotard 2..
il a fait un mur ou une piscine dans sa demeure a crédit a Deauville ou rétrocommissionné sur des études covid.reformes/sondages .etc macron-kingsley
franchement hell-mut « je suis vraiment en Kholer »
Au bilan, la France a livré pour une valeur totale de 3,035 milliards d’euros d’équipements militaires à l’Ukraine, auxquels viennent s’ajouter 2,1 milliards d’euros versés à la Facilité Européenne pour la Paix (FEP), soit un soutien militaire de plus de 5,135 milliards d’euros.
peut être des pertes en lignes dans les virements au niveau de Clearstream ca ne manquerait pas de sel par rapport aux épiciers qui essaient de faire tomber le rn a coup de 490 k€ par tête de pipe !?
la suite en 2027/2030 quand il sera président de la communauté européenne