Le fisc a-t-il une odeur ? Certains trouveront cette question déplacée. Je peux les comprendre. Mais moi, qui vis sous la pression constante du harcèlement et de la torture fiscale, j’affirme que le fisc a une odeur. Elle imprègne tout.
Non seulement le fisc à une odeur nauséabonde, mais il a un goût. Amer évidemment, mais plus encore.
Son odeur est rance, un mélange de vieux papier et de pièce mal aérée, une odeur mesquine qui fait tousser. Pas une odeur de transpiration saine comme dans les vestiaires d’un gymnase où elle est pourtant désagréable, plutôt une odeur fade, d’ennui, de néant, de mort.
Une odeur d’hôpital, mais pas celle des désinfectants, au contraire celle des infections.
Une odeur qui prend plus la tête que les narines, qui est intériorisée, que souvent les autres ne sentent pas, sauf quand ils vous approchent et qu’ils savent que vous en êtes inondé.
Contrairement aux pets c’est une odeur qui gêne beaucoup plus celui qui la porte que son voisin.
Insensible à l’environnement elle se perçoit aussi bien à l’intérieur qu’en pleine nature. Elle est un halo qui vous suit où que vous alliez. Elle imprègne les vêtements, mais ceux qui ont espéré s’en débarrasser dans un camp de nudistes ont été terriblement déçus, elle y décuple, elle atrophie les corps.
Il faut admettre qu’étonnamment une majorité en raffole. Toujours le flacon vaporisateur à la main, ils sont prêts à en asperger leurs voisins.
Sont-ils conscients de la souffrance qu’ils occasionnent aux parfumés allergiques ? Certaines études révèlent qui oui, d’autres prétendent que non, qu’ils croient bien faire, que même si le parfumé souffre ceux qu’il croisera sauront profiter de l’odeur s’ils en sont amateurs.
En ce qui me concerne, après avoir pourtant lu de multiples études sur le sujet je trouve, de façon très ordinaire, que le qualificatif le plus approprié me paraît être une odeur de chiottes.
Ce qui finalement paraît assez logique puisque ceux qui produisent cette odeur sont tout spécialement formés dans une école supérieure où leur sont apprises les mille et une façons répertoriées pour emmerder les Français.
Sans le goût qui va avec, l’odeur fiscale serait orpheline.
La maladie fiscale n’est pas comme Covid, il n’y a pas hélas de perte du goût et de l’odorat, bien au contraire. L’amertume du fisc est telle que la Suze à côté passe pour de la grenadine.
Le goût en est si terrible que certains sont pris de vomissements ou de diarrhées. Ceux qui sont confrontés au goût du fisc sont pris de grimaces qui font la joie de ceux qui pensent qu’ils n’auront jamais à y goûter.
Trop exposé on risque le « long goût fiscal », maladie dont les séquelles restent à vie sous la forme d’un dégoût général qui neutralise totalement et pour tout celui qui en est affecté.
Nul choix à discuter, il s’agit d’un goût sans couleur, un sale goût. Les lèche-culs en raffolent, sans qu’il ait été établi un rapport avec l’odeur à ce sujet, et pourtant…
Spécialiste du coup du lapin le fisc n’en a pas le goût, il n’a que le très mauvais goût de toujours attaquer par derrière pour tuer.
Le fisc : un truc qui pue et qui a mauvais goût, que le monde entier ne nous envie pas.
Bien à vous.
Le fonctionnaire fiscal cache sa nullité, son envie, sa jalousie et son amour pathologique pour le pouvoir et l’argent des autres derrière un statut obtenu de longue lutte après un « concours » qu’il encourage à passer à ceux qui douteraient de sa valeur mais qui pour rien au monde ne voudraient lui ressembler.
Cher Henri tous les jours le Fisc s’introduit chez nous, il cherche de l’argent! A ce jour il faut chercher l’argent avec le Fsc.
Et les prévisions sont difficiles pour la France, surtout lorsqu’elles concernent l’avenir !