Ce blog de témoignage est le vôtre. Petit à petit vous vous l’appropriez et c’est tant mieux.
La rubrique « Vos témoignages » commence à donner une idée de ce dont il est tacitement interdit de parler, de ce dont la presse officielle ne parle pas.
Je vise évidemment les dégâts obscènes que la folie meurtrière de Bercy cause au peuple français — notamment aux plus faibles — en prenant pour excuse l’égalitarisme.
Lancés dans la nature avec des pouvoirs exorbitants, de sinistres individus – quel être raisonnable et humain accepterait une telle mission — sont chargés de répandre la terreur fiscale et de faire du chiffre.
Le marché des riches et des éventuels tricheurs est bien trop étroit pour une telle armada et une telle propagande politique.
Conséquemment, nul n’est à l’abri de se trouver pris dans les chaluts de Bercy, y compris des français ordinaires ou même en grande difficulté.
Toutes mes pensées vont à ceux et celles qui subissent ces outrages à leur vie, à leur famille, à leur travail, à leur ancienne fierté d’être français.
Je connais, d’abord leur incrédulité, puis leurs questionnements, leur lutte, leurs espoirs et pour finir leurs désespoirs, leur effondrement dans une indifférence et un anonymat qui les ramènent du rang d’homme qu’ils croyaient mériter à celui d’esclave, d’animal, de chose, auquel Bercy les relègue dans l’indifférence la plus totale de toute la société, politiques, magistrats et presse compris.
Comment en est-on arrivé là ?
C’est probablement la question que toutes les victimes se posent croyant être prises dans une mésaventure individuelle ou conjoncturelle. Il n’en est rien, le problème date de la nuit des temps, même si à chaque époque il prend une allure qui pourrait le faire croire différent.
La cause de tout est le souhait d’irresponsabilité.
Pris de vertige face au néant de la vie, l’homme ne souhaite pas l’affronter.
Il invente alors, entre sa liberté pleine et entière qui s’ouvre inévitablement sur ce néant et lui, une abstraction qui limite sa vue et lui cache ce néant.
Selon les époques il appelle cette abstraction de différents noms, par exemple : Dieu, sorcier, religion, Etat, patron, roi, président, érudition, culture, empereur, justice, médecin, etc…
Il installe ces abstractions entre lui et le néant et se croit, telle l’autruche avec sa tête dans le sable, protégé.
Il faut noter qu’il est toujours des escrocs pour crédibiliser un de ces titres abstraits — en faisant croire qu’il correspond à quelque chose – et l’endosser, le revendiquer, ce qui, à défaut de leur cacher le néant pour eux-mêmes, leur donne à tout le moins le pouvoir sur les autres. Pouvoir qui peut leur faire croire que leur bref passage par la vie sera alors plus facile pour eux. Illusion là aussi, mais bon.
C’est ainsi que la majorité des hommes, par peur du néant, échangent leur liberté contre une poignée de pois chiches qui consiste à confier les pouvoirs de décision sur leur vie à une abstraction.
Le pompon à ce sujet est le statut des fonctionnaires où il est écrit noir sur blanc qu’ils ne sont pas responsables de leurs actes dans le cadre de leur fonction, puisqu’ils représentent alors l’Etat seul responsable — un responsable qui évidemment ne peut pas l’être puisqu’il n’est lui-même qu’une abstraction —
Les fonctionnaires sont une caste étonnante persuadée de participer à l’avènement d’un homme nouveau, qui maitriserait le bonheur, qui terrasserait le néant, qui même serait en mesure d’influer sur la terre donc sur l’univers, alors qu’au contraire persuadés le contourner ils se précipitent plus rapidement que les autres vers le fameux néant.
Responsabilité et liberté
Les individus libres, capables d’accepter leur insignifiance d’être humain poussière de l’univers, ne sont qu’une poignée que les autres ont vite fait de taxer de folie, de déraison, en cherchant à les éliminer tant la vérité dont ceux-ci sont les témoins leur fait peur.
Si vous êtes un homme libre cessez de rêver, assumez votre condition qui est de faire face sans peur au néant. Cette position n’implique pas de le souhaiter, bien au contraire, mais de le respecter, de mesurer ses contraintes.
N’attendez pas l’homme providentiel qui vous représenterait, qui par exemple aurait ceci comme programme à l’élection présidentielle :
– Suppression de la notion d’Etat qui n’est qu’une escroquerie
– Création de deux associations type loi de 1901, une pour une armée chargée de protéger le territoire de ses adhérents, l’autre pour une police chargée de protéger leurs biens.
– Election de magistrats bénévoles chargés de la justice et non de la loi.
Pour le reste liberté, liberté, et liberté pour chaque homme et pour ses biens qu’il acquiert librement. Compassion et charité faisant en contrepartie l’objet d’une publicité publique, que ce soit pour le receveur ou le donneur.
– Evidemment suppression de l’impôt réduit à la simple participation aux deux associations que seraient l’armée et la police, tout le reste découlant de la libre entreprise.
Evidemment, cet homme d’une part n’existe pas, d’autre part n’aurait aucune chance d’être élu s’il existait.
Par contre, rien ne vous empêche d’être lucide, de ne pas voter et de vous préparer à foutre le camp quand tous les aveugles et leurs abstractions vont sombrer, plus tôt qu’ils ne le prévoient, dans le néant. Sur cette planète il est toujours un endroit où la liberté existe, même si cet endroit est par essence éphémère et en constant mouvement.
Bien cordialement. H. Dumas
Cher Henri,
le Roundup c’est comme Attila. Ou il passe, l’herbe ne repousse pas.
Depuis le temps que je suis vos aventures, je me demande si vous avez gagné un procès. Rafraichissez ma mémoire.
Surtout ne flanchez pas!
Merci d’être un lecteur assidu.
En page Une, juste au dessus de la liste des articles, vous trouverez un paragraphe précédé du mot : ATTENTION.
Lisez-le ou relisez-le, vous comprendrez tout.
Le contrôle fiscal est un problème de société qui ne peut pas se résoudre par d’astucieuses esquives au but avoué ne pas monter dans le train de la mort fiscale, sans s’inquiéter des autres, de ceux qui y sont et seront dépouillés de tout à destination.
Il s’agit d’un problème lourd de société. Ceux qui sont aujourd’hui martyrisés par le fisc seront plus tard, dans une autre époque plus évoluée, considérés comme des victimes au destin intolérable.
Pour cela il faudra arriver au bout de la ruine de notre société par la destruction fiscale de tous ceux qui créent des richesses, par la disparition du capital — que poursuit inlassablement le fisc — alors que sans capital il n’y a pas d’économie possible.
Les procès que je lance n’ont pas pour objectif de me faire gagner tel ou tel avantage, je sais que je ne dois rien au fisc et je me fous complètement de leurs poursuites.
Je cherche des jugement exemplaires de lâcheté, de perversion, de malhonnêteté. Il faut dire que les magistrats me gâtent, je n’ai pas à me plaindre de ce côté là.
Ces jugements sont mes armes de demain.
Suis-je plus clair pour vous ?
Bien cordialement. H. Dumas
Cher Henry ,
A quoi sert-il en fait de voter ?
Si le vote blanc était reconnu et comptabilisé , 50 % de votes blancs pas d’élu et rebelote avec de nouveaux candidats tant que la majorité n’est pas acquises sur le total des suffrages exprimés blancs compris , mais je rêve ; on aurait peut être une chance d’avoir véritablement des élus responsables et représentatifs .
En ce qui me concerne , je ne vote plus depuis 1981 car je me suis fait avoir et depuis tous les olibrius qui se sont succédés brillent par leur incompétence.
Gouverner c’est prévoir , or depuis des décennies on laisse les choses couler . 20 % de dettes publiques en 1980 et 100 % aujourd’hui !
Les élus se foutent complètement de leur rôle véritable quels qu’ils soient .
C’est profondément scandaleux au niveau des collectivités locales par exemple de voir la gabegie de fonds publics .
Toujours dépenser plus et surtout jamais moins que l’année précédente car sinon diminution des dotations .
Ces ahuris ne pensent jamais que c e qui est dépensé est payé par les électeurs en fait et c’est ainsi que les taxes locales ne cessent d’augmenter . Jusqu’à ou ?
Plus 25 % depuis 2007 !
Vous avez raison Henry , l’irresponsabilité est érigée en système politique.
S’agissant des fonctionnaires et surtout ceux de BERCY , je ne suis pas tout à fait d’accord avec vous car le propre de l’impôt déclaratif est qu’en contrepartie il doit être contrôlé , sinon personne ne paierait ;
Par contre là ou je vous rejoins , c’est dans la mécanique interne de cette administration qui est pervertie .
Le « politique » réclame des chiffre . SARKO entre autres en était friand tant au ministère de l’intérieur qu’au budget .
De même Hollande et toute sa clique donnent des consignes d’objectifs de résultats « à priori » .
Le vrai problème est donc celui de l’obéissance aveugle aux ordres reçus .
J’ai été inspecteur et bien entendu j’ai rappelé de l’impôt , mais seulement celui qui était du et rien que lui .
Par contre les « chefs » eux n’appréciaient pas .
J’en ai eu quelques uns qui me demandaient de faire des rappels illégaux .
Je leur répondait que j’avais prêté serment de probité et de respecter la loi . ils me répondait , »on s’en fout de tout cela ,c’est tous des cons et il n’y verrons que du feu et ça fera plus gros sur la fiche »
Bien entendu je ne cédais pas , mais je ne peux vous faire un historique des innombrables remontrances et ennuis que j’ai subi . J’en ai même été malade et « interné » en asile tant la pression était forte .
Un de mes Directeurs du Vaucluse un jour me dit « M. LE POIZAT vous êtes un excellent technicien , dommage que vous soyez un mauvais fonctionnaire car vous auriez pu faire une brillante carrière »
Dans son esprit un bon fonctionnaire est obéissant . Quand je lui ai répondu que ce qu’on avait reproché aux SS était justement leur obéissance et que je ne voulais pas me couvrir derrière les ordres reçus contre la conscience pour faire n’importe quoi , bien entendu cela ne plaisait pas .
C’est pourquoi le système étant ainsi fait et les être humains étant faibles par nature , vous ne pouvez reprocher à tous les inspecteurs de ne pas se comporter comme je l’ai fait car leur tranquillité et leurs carrières sont en cause et il faut être solide pour résister .
Le vrai problème est structurel et se situe au niveau de la hiérarchie . Les inspecteurs ne sont que des exécutants , ils obéissent aux ordres reçus et c’est ceux qui les donnent qui sont responsables en fait , mais ils se cachent bien et personne même sur ce blog ne les dénonce .
Le pompon à ce sujet est le statut des fonctionnaires où il est écrit noir sur blanc qu’ils ne sont pas responsables de leurs actes dans le cadre de leur fonction, puisqu’ils représentent alors l’Etat seul responsable — un responsable qui évidemment ne peut pas l’être puisqu’il n’est lui-même qu’une abstraction —
Au risque de me répéter, ce n’est pas vrai.
Le délit de concussion EST le SEUL article de loi capable de les neutraliser, ou pour le moins de les fragiliser à titre PERSONNEL.
Là, ça calme….
Je peux le confirmer à titre personnel: enquête préliminaire ouverte, 18 personnes concernées, trésoriers , CONCLUANTS et huissiers compris
Il est notoirement sous utilisé.
Il faut traquer chaque virgule dans les « propositions » forcément amicales, de rectification, et leur en mettre plein la gueule systématiquement en déposant plainte.
Vous avez beaucoup de chance. J’ai engagé des procédures pour concussion, y compris liée avec des faux avérés réalisés par les agents du fisc, je les ai toute perdues et j’ai été lourdement condamné à des dommages et intérêts.
Cher Henri,
Je pense que vous devriez changer d’avocat.
Ou alors, vous êtes le chat noir!
Amicalement.
Marc
Je suis plutôt l’herbe qui dépasse du champ tondu par le fisc, qu’il faut attaquer au Roundup judiciaire.
Bjr,
donner du pouvoir à des hommes et vous les transformerez en SS fiscaux.
Tellement imbus que nos chers & coûteux kapos sont prêts à écraser leurs prochains!
Sans omettre que les escrocs de la politique les laissent procéder à leurs exactions puisque les politocards vivent de cet engraissement!
Je hais, j’exècre cette fange!
La France est foutue à court terme, c’est l’histoire de Pinocchio (Les jeux, amusements, …etc) , ce pays s’enfonce tous les jours dans la médiocratie et rien ne l’arrêtera de couler. Le trou dans la coque est trop grand. C’est ainsi , ce pays renaîtra de ses cendres dans un siècle ou deux. De+ Les Magistrats font de la politique et obtiennent des promotions des politiques . La justice en France, il faut beaucoup d’humour pour y croire. La France actuellement est comparable à l’Histoire de Pinocchio, Et la solution de la conclusion aussi . Il faut que les citoyens élisent les Magistrats comme en 1789 après la révolution jusqu’à ce que NAPOLÉON en fasse des fonctionnaires en 1799.
La France est un pandémonium!
La France a besoin « d’un contre-pouvoir » que nous n’arrivons pas, nous citoyens dotés de réflexions, et bon sens à créer ; c’est hélas navrant et très grave pour ce Pays. Pour ma part, il y a longtemps que j’ai pris la décision de dénoncer TOUS LES TRAVERS DE LA SOCIÉTÉ POLITIQUE, de DROITE OU DE GAUCHE … »PEUT ON ENCORE SAUVER LA FRANCE »?
Monsieur ,
Bien D’accord avec vous … sauf sur le dernier paragraphe: ne pas voter ! je pense qu’il faut voter !!!
ne pas voter c’est un abandon de notre seul pouvoir de destituer les représentants (élus ou non élus comme les gens de la CE à Bruxelles ) de la fonction publique incompétents tous les cinq ans
l’état se définit par le monopole de la contrainte dans une zone géographique ( droit constitutionnel 1ère année) moins il y d’état mieux se porte le commerce !
Charles Gave économiste et financier compare la France de l’ancien régime à celle d’aujourd’hui:
-La noblesse = les entrepreneurs d’aujourd’hui qui prennent des risques
– le clergé la fonction publique et les évêques de l’ancien régime = le gvt
– le tiers état fonctionnaires ( EDF SS, alliés objectifs de l’Administration et ceux qui choisissent librement ou non d’offrir leur force de travail dans un marché concurrentiel ( troupe de réserve de la noblesse.)
il y a en fait
3 sortes d’individus
-ceux qui veulent s’occuper des autres
-ceux qui veulent qu’on s’occupent d’eux
– ceux qui veulent s’occuper de leurs propres affaires et qu’on les laissent tranquilles!
Belle leçon de philosophie, cher DUMAS.
Vous avez raison de dire que : « Le pompon à ce sujet est le statut des fonctionnaires où il est écrit, noir sur blanc, qu’ils ne sont pas responsables de leurs actes dans le cadre de leur fonction, puisque ils représentent alors l’Etat seul responsable — un responsable qui évidemment ne peut pas l’être puisque il n’est lui-même qu’une abstraction — »
C’est la doctrine dite du ‘LE ROI NE PEUT PAS MAL FAIRE ‘ qui a résisté à 1789, traversé les déboires subis par les fermiers généraux dont le chimiste LAVOISIER, et qui a tenu le coup jusque 1880.
Sauf qu’il a fallu attendre un siècle pour que les comportements des agents de l’ETAT puissent enfin permettre aux familles de se faire indemniser dans les cas où les agents de la fonction publique sont les vrais responsables des dégâts. C’est la jurisprudence BLANCO qui permet, dans des cas trop évidents de faute des agents de l’ETAT, que les familles obtiennent une maigre indemnisation.
Une indemnisation pour une escroquerie fiscale est bien rare de nos jours. Quoique je me vante d’en avoir obtenu deux, l’une pour un douanier avec de la prison, l’autre pour un inspecteur des impôts qui a été muté pour de multiples insuffisances, rien que dans les calculs que les tableurs EXCEL qui m’ont permis de déclarer faux à 46 endroits son redressement.
Non la vraie solution est une révolution fiscale celle d’imposer le capital fixé au sol à un taux qui permette une récolte identique à celle obtenue des multiples impositions qui frappent le capital circulant celui qui entreprend, et dont l’abolition permettrait de sortir des points de croissance.
Je sais d’avance que je ne puis vous convaincre cher DUMAS mais je conseille aux lecteurs de ce blog de lire de MENIER l’entrepreneur du chocolat, le livre indépassable dénommé L’IMPÔT SUR LE CAPITAL que vous trouverez sur Amazon.