Ainsi donc, l’Abbé Pierre avait une quéquette. Découverte majeure vous en conviendrez. La stupéfaction liée à cette découverte est largement partagée.
Il n’est pas là pour donner son point de vue. Aurait-il pu ?
En fait sa place eut-été plus acceptable sur le rocher des singes à Vincennes. Les visiteurs n’auraient pas eu besoin de paraître scandalisés pour s’intéresser à son activité préférée.
Les scandales sexuels passionnent notre société, sans que personne n’y comprenne grand chose, les connaisseurs étant priés de se taire.
Il y a loin du rêve à la réalité en ce domaine.
Est-ce si différent de nos autres agitations. Sont- elles plus objectives ?
Reprenons donc.
L’humanité s’entiche de l’Abbé Pierre, de son amour immodéré des déshérités, en oubliant de comprendre sa motivation faite en grande partie de rêves de domination sexuelle.
Comme disait Frédéric Bastiat : « il y a ce que l’on voit et ce que l’on ne voit pas ». C’est une bonne observation, dont la complétude est : il y a ce que l’on dit et ce que l’on ne dit pas.
Dans le premier cas on pourrait presque parler de fatalité, dans le deuxième l’homme est à la manœuvre dans toute sa splendeur. Sur le sujet je préfère définitivement Guy Béart : « le premier qui dit la vérité, il doit être exécuté ».
L’actualité tous les jours nous permet de pratiquer l’omission ou le mensonge à grande échelle, de nous rêver au lieu de nous voir.
Dans quel état sont les princesses quand le prince charmant les réveille ? Quel souvenir ont-elles de leur sommeil ? Les princes charmants existent-ils vraiment ?
Ce n’est jamais la question, alors que c’est pourtant le problème.
Aujourd’hui.
Barnier, ce prince charmant sur le retour, est-il ce qu’il prétend ?
Voyons, voyons. Il y a bien, que je sache, une clique unie, liée par sa communauté de pensée et de pouvoir, qui a craqué toute notre énergie, tout les fruits de notre travail pour, a-t-elle prétendu, assurer notre confort et notre sécurité.
Elle a abouti, objectivement, à une situation inverse d’inconfort pour nous. Plus particulièrement pour les plus humbles d’entre nous qui paient la facture en dernier ressort par l’effet naturel de la cascade fiscale, qui fait que le riche taxé reporte toujours la taxe sur son obligé moins riche.
Pourquoi faut-il que l’on se cache que Barnier représente la clique, ou en est l’otage volontaire ?
Rappelons que Fournel, son chef de cabinet, nommé probablement avant lui, a été le chef d’orchestre, en tant que DG de Bercy, de l’intense gabegie de ces dernières années, l’artisan zélé de la terreur fiscale qui tue les pauvres, le Kim Jung-un de l’économie. Et il nous fait payer la facture… Trop fort.
C’est un peu comme si Al Capone avait été nommé préfet de police.
Et pourtant personne n’y trouve rien à redire, la vérité importe peu face au rêve de l’irresponsabilité, du bonheur sur le dos des autres.
Oui mais… la guerre approche. Cette remise à l’heure violente du rêve vers la réalité.
Inutile alors d’avoir des prétentions sociétales, l’homme redevient ce qu’il est derrière ses simagrées : un animal sauvage particulièrement dangereux.
La nature reprend ses droits. N’est-ce pas le rêve des écolos ?
Bien à vous. H. Dumas.
Fournel Dg à Bercy : comme violeur, l’Abbé Pierre est un nain !
Et comme menteur … un ange !
Ils fabriquent des catastrophes sans en être tenus responsables et coupables personnellement (les bienfaits de la démocratie). Ils dépensent des milliers de milliards et nous payerions sans rien dire. (Toujours les bienfaits de la démocratie)
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