Un peu d’histoire récente vécue. Je veux vous parler des années 1955 à 1975.
A cette époque, récemment sortie de la guerre la France était franchement pauvre. Chaque ville possédait son bidonville, seuls les objets de première nécessité étaient accessibles, souvent avec des délais importants avant de pouvoir en disposer. Le petit commerce faisait la loi en s’engraissant sur l’inflation. Pas d’échange ni de reprise, des discussions interminables en cas de marchandise défaillante ce qui était monnaie courante.
Vers le milieu de cette période, j’ai participé à la naissance de ce que l’on appelle aujourd’hui « la grande distribution ».
J’ai construit de nombreux « Centre Leclerc ». Leur ouverture dans une ville moyenne faisait immédiatement baisser de 30% le prix des produits. Les consommateurs ont alors découvert, en même temps, les reprises sans discussion, les remplacements immédiats des marchandises à défaut, la liberté de choisir sans avoir sur le dos un commerçant espion, l’anonymat de la consommation. Tant de choses qui aujourd’hui paraissent naturelles. Tant de choses qui ne le sont pas, qui sont une conquête acquise dans cette époque de conquête. L’exemple du commerce n’est pas exclusif, les mêmes novations s’épanouissaient en tout, industrie, culture, science, etc…
Le plus grand nombre accédait à la consommation matérielle et intellectuelle, à la liberté d’être, de posséder, de progresser.
Pendant ces années où la société vivait cette unique et incroyable révolution, il existait forcément des forces contraires, chagrines, qui se proclamaient révolutionnaires, tout en n’agissant pas sauf pour torpiller. Elles se réclamaient généralement du communisme.
En réalité la problématique était très simple, ces forces contraires visaient la hiérarchie sociale dont elles étaient insatisfaites.
Hélas dirais-je, il n’est pas de société sans hiérarchie, sans tri. Et, opérer un tri social le moins injuste possible est une gageure, un défi, qui fait et défait les sociétés.
Il est trois bases de tri qui donnent des résultats hiérarchiques relativement satisfaisants : la connaissance, la compétence et la richesse. Trois vecteurs accessibles à tous, librement.
Ceux qui réfutent ces trois bases de tri sont, en règle générale, des adeptes de la cooptation, solution maléfique s’il en est.
La cooptation est la base de tri des organisations sociales basées sur la croyance, qui sont des sectes en réalité, reconnues ou non. Le Nazisme avait ce type d’organisation par cooptation, les pays qui ont embrassé la secte communiste aussi. Ils échouèrent évidemment.
Donc, pendant que La France faisait la part belle à la compétence, aux connaissances et à la richesse, les adeptes de la cooptation rongeaient leur frein.
Finalement, déstabilisés par les échecs des sociétés qui avaient mis en œuvre leur concept, notamment par l’évident effondrement de l’URSS leur porte drapeau, ils se radicalisèrent.
Ainsi naquirent les « Brigades Rouges » rendues célèbres par leur aveuglement et leur violence gratuite. Elles étaient annonciatrices de la fin du communisme en tant que régime politique viable. La violence est la plupart du temps la forme du stade ultime de l’échec, avant disparition.
Aujourd’hui l’histoire se répète : L’écologie collectiviste est en échec, au bord de la disparition.
A l’époque dont je viens de vous parler, chaque avancée apportait un profit, aujourd’hui, au contraire, chaque avancée écolo-collectiviste créé un coût. C’est loin d’être la même chose, bénéficier d’une avancée ou subir un coût, pour les membres d’une société.
Il n’y a aucun doute sur le fait que toute intervention écologique génère un surcoût et une pénurie. C’est une constante.
Dans ces conditions, il est peu probable que cette organisation perdure, qu’un tel système s’impose. Il va s’éteindre seul, comme le communisme de l’URSS.
Sociologiquement, l’écologie collectiviste n’a été possible que parce que la cooptation s’est imposée comme moteur de la hiérarchie sociale.
Nous sommes gouvernés, à tous les niveaux, par des copains entre eux, liés le plus souvent par leur statut. Compétence, connaissance et richesse sont bannies. Mais qu’importe, ce n’est qu’un mauvais moment à passer, ces trois valeurs s’imposeront de nouveau demain, elles sont incontournables.
En attendant ce retour aux valeurs classiques, la faillite est à notre porte, et la violence, qui toujours l’annonce, entre en force.
Les black blocs et leur violence ne sont que le signe désespéré annonciateur de l’échec de l’écologie collectiviste, tout comme les brigades rouges étaient celui de la fin du communisme. Ce sont les mêmes individus, la même méthode, la même pensée et presque la même situation.
Il n’y en a plus pour très longtemps. Patience. Nous retrouverons bientôt la liberté et le progrès qui va avec.
Cordialement. H. Dumas
Merci pour votre article espoir espoir que tous ces mafiosis escrocs disparaissent au plus vite ils ont ruiné la france et continuent chassons les nous nous en porterons que mieux,,,, le problème ils sont tellement bien dans leurs ignobles
Magouilles et destructions qu ils se cramponnent ça va être dur de les chasser que tous le peuple de france se bouge tous ensemble pour les chasser et reconstruire une france telle que nous l aimons pour nos enfants et petits enfants ne nous laissons pas faire avec ces escrocs de tout bord vive la renaissance de la france .
Merci encore Henri de ce résumé . En effet la France un pays aux combines d’arrangement entre amis ou corporations qui tuent l’économie à petit feu. La République Française et sa démocratie est le système qui permet à une petite caste d’incompétents d’avoir du pouvoir , des privilèges , et de l’argent en dépossédant le peuple des richesses qu’il produit le faisant travailler tous les jours et toujours plus pour rembourser une dette que des incompétents ont créée ..
Avec humour = A + de 50 Ans on ne reconnaît plus les lettres de prés mais on reconnaît les profiteurs de loin.