Les vagues de la vie
Se brisent sur la grève du néant,
Chacune imaginant
Qu’avec elle le temps finit.
Ce temps imaginaire,
Spécifique à chaque vie,
Béquille ordinaire
Aux boiteux cloués ici,
Ce temps n’existe pas.
La vie est éternelle ainsi que le néant.
Les deux mènent combat
Sans contrainte de temps.
De cette lutte l’idée que nous avons
C’est le bien et le mal s’affrontant sans limite.
L’univers dont nous dépendons
Ne connaît ni le temps ni ses rites.
Vie et néant combattent
Sans fracture de lieu ou de temps.
Ils sont le tout qui sans hâte
Fait, défait, éternellement.
On n’est jamais su servi que par soi même. C’est ce que l’on pourrait appeler de l’auto-immune… . La présomption de non innocence au titre de l’erreur de jeunesse…. Passez muscade… Quel dégrivelement!
https://wp.me/p4Im0Q-2gE
Cher Henri,
Que vous dire? N’est pas Verlaine qui veut.
De grâce Henri, revenez à votre raison.
Amicalement.
Bonjour,
Écrire des poèmes n’implique pas de se prendre pour Verlaine, pas plus que donner son opinion n’implique de se prendre pour Zola ou Voltaire.
Gardons raison.
Ce blog se veut transparent et sincère, rien de plus. Un lieu d’échange sous toutes les formes.
Merci de le lire et de réagir.
Bien cordialement.
Henri, Je préfère de loin vos articles à votre poésie.
J’ajouterai pour vivre libre la vérité est nécessaire et il y a nécessairement des combats pour la défendre . Pour cela nous devons prendre des risques pour obtenir le contradictoire , car ceux qui font le mal ont souvent un temps d’avance.
Mais Le risque c’est quoi en fait:
rire c’est risquer, paraître idiot pleurer c’est risquer , de paraître sentimental aller vers quelqu’un c’est risquer , de s’engager exposer ses sentiments c’est risquer , d’exposer son mot profond présenter ses idées ses rêves à la foule c’est risquer de les perdre; aimer c’est risquer de ne pas être aimé en retour; Vivre c’est risquer de mourir, espérer c’est risquer de désespérer, essayer c’est risquer d’échouer; mais il faut prendre des risques car le plus grand danger dans la vie , c’est de ne rien risquer du tout. Celui qui ne risque rien ne fait rien , n’a rien , n’est rien . Il peut éviter la souffrance et la tristesse mais il n’apprend rien ne ressent rien , ne peut ni changer ni se développer , ne peut ni aimer ni vivre . Enchaîné par sa certitude , il devient esclave il abandonne sa liberté.
SEULS CEUX QUI RISQUENT SONT LIBRES!
« De cette lutte l’idée que nous avons
C’est le bien et le mal s’affrontant sans limite.
L’univers dont nous dépendons
Ne connaît ni le temps ni ses rites. »
Alors prenons le risque de nous améliorer afin d’améliorer l’univers !
Bof!
Bonjour Henri,
Superbement dit !
Amicalement