Le mystère qui prive la France d’un chef !
Une vague de stupidités déferle sur la France. « L’enfer est vide, tous les démons sont ici », disait Shakespeare. On dirait que 67 millions de Français ont perdu la raison. Il n’en est rien. Ceux qui sont devenus fous, ce sont ceux qui sont autorisés à s’exprimer. D’autres se sont donné à eux-mêmes cette autorisation et en usent sur les réseaux sociaux. Où la même épidémie sévit.
Manifestement, quelque chose manque à la France. Ce sont les vrais penseurs, dont notre pays a pourtant été prodigue tout au long de son histoire. Pourquoi ont-ils disparu ? Parce qu’on ne les écoutait plus. Certains ont conservé une petite chapelle, d’autres se sont réfugiés dans la recherche, où règne le silence de l’étude, d’autres enfin tentent une ultime incursion médiatique qui n’intéresse personne car personne n’est au courant de ce qui se passe dans le monde des idées. Et je ne parle pas de quelques-uns qui sont morts de maladie ou d’ennui.
Contrairement à une idée reçue, les vrais penseurs ne sont pas que des intellectuels. Ils aiment le plus souvent l’action, car elle seule est à même de donner corps à leurs idées. Mais là, ils se heurtent au phénomène français du vingtième siècle, la capture de l’Etat par une coterie de hauts fonctionnaires. C’est l’œuvre de Michel Debré, en 1945, sous l’autorité du général de Gaulle. Debré pensait que le dévouement à la chose publique des hauts fonctionnaires les maintiendrait au cœur de leur mission et que leur vertu rejaillirait sur la nation. Il se trompait évidemment sur la nature humaine.
J’ignore si Michel Debré s’était intéressé à la primatologie. J’en doute, car cette discipline n’a émergé que dans la deuxième moitié du vingtième siècle, alors que le mal était fait chez nous. S’il lui avait été donné de s’y plonger, il aurait compris que l’homme est un grand singe qui a de nombreux points communs avec d’autres espèces voisines de primates, et notamment avec les chimpanzés. Ces derniers constituent des sociétés très hiérarchisées, qui ne sont en paix qu’une fois que l’autorité d’un mâle dominant a pu s’affirmer. Quand ce n’est pas le cas, le plus grand désordre règne, avec son cortège d’affrontements et de violences. Bref, c’est la France.
Vous avez donc le culte du chef ? me demanderont certains. Evidemment pas. Mais dire qu’un chef est nécessaire dans une société humaine n’est pas lui vouer un culte. D’ailleurs là où existe un chef, à condition qu’il ne se soit pas imposé par l’arbitraire, la société vit en paix. Ainsi donc notre réflexion nous a amenés à poser le diagnostic du mal français. Et nous nous sommes arrêtés à l’idée que c’est le manque d’une autorité reconnue qui a mis la France en folie.
Reste à résoudre le mystère du processus qui nous a privés de chef. Là encore, la sociologie et la politique devraient nous amener à la solution. La France est un pays où l’Etat accapare les deux tiers de ce qui y est produit. Ce qui signifie que vous ne pouvez pas faire un pas sans que l’Etat ne se manifeste, et c’est le plus souvent pour vous empêcher d’agir. Aucun groupe de pensée et d’action ne peut donc se constituer, sauf pour applaudir et soutenir les actions de l’Etat. Dans le cas contraire, le groupe n’arrive à rien et végète. Ses membres se découragent et se dispersent, tandis que certains d’entre eux se remettent à l’ouvrage pour constituer un nouveau groupe qui échouera pareillement.
Tel ne serait pas le cas si l’Etat ne régnait pas sur plus du tiers de la production, comme d’ailleurs le recommandait le général de Gaulle. Dans ce cas, certains groupes pourraient prospérer et proposer des alternatives qui feraient progresser le débat. Et naturellement des chefs se dégageraient qui entreraient en compétition pour le pouvoir. L’existence de tels groupes ne laisserait pas de place aux divagations que nous connaissons actuellement, car celles-ci n’intéresseraient personne.
Des réflexions qui précèdent se dégage, à mon sens, la nécessité civique de faire baisser d’un tiers le poids de l’Etat. Cette nécessité m’a fait prendre la résolution de porter le fer sur la protection sociale, qui pèse à elle seule pèse plus de la moitié des dépenses publiques. Une opportunité historique s’est présentée, la décision de l’Union européenne de mettre en concurrence les régimes de sécurité sociale avec les sociétés d’assurance et les mutuelles. Dès lors, la stratégie du salut national passait par la suppression du monopole de la sécurité sociale, désormais illégal et que rien au demeurant ne justifiait plus dans une économie mondialisée.
Tel est le sens du combat que j’ai dû mener contre les gouvernants de mon pays, qui auraient dû me remercier de les aider à redresser celui-ci, quitte à perdre le pouvoir pour la bonne cause. Mais en bons chimpanzés qu’ils sont, ils ont préféré leur pouvoir plutôt que de donner raison, dans les faits, à un autre chimpanzé que la hiérarchie ne préoccupait pas mais seulement le sort de toute la tribu.
Assez parlé de singes. Luttons ensemble contre la folie française. Cela fera du bien à tout le monde.
Claude Reichman
Qui accepterait de reconnaître l’autorité d’un type qui a 12 ans d’âge mental et qui pense que ses caprices sont des ordres ? C’est lui qui a demandé à E. Borne d’engager 50 % de debiles dans son équipe.
Le fisc est un outil de coercition du pouvoir mais qui ne suffit plus car il ne permet que de s’attaquer à ceux qui ont encore quelques biens ou revenus, or la masse des pauvres et des miséreux enfle.
La S.S. est un autre outil de coercition du pouvoir. Après le contrôle des médecins (qui pour la plupart ont bien joué les collabos avec le coronacircus) grâce à l’ordre, les URPS, les références médicales opposables, le tiers payant, prochaines étapes : augmentation des effectifs de l’URRSAF, fusion de la carte d’identité et de la carte vitale, accès de la S.S. aux comptes bancaires, formulaires de RSA préremplis (cela rappelle l’IR prélevé à la source sur déclaration forcée de l’employeur) et tout cela sous couvert de bien être général de santé publique et de fraude sociale qui certes existe mais à qui la faute si le pays subit une invasion migratoire?
L’écologie est aussi un outil de coercition du pouvoir qui sous prétexte culpabilisateur et fallacieux du CO2 va permettre de déposséder les gens encore propriétaires de leur toit. Cela commence incidieusement : contrôle technique de l’habitat à la revente et récemment à la location et à la construction (RT2020), obligation d’isolation (avec des matériaux bien souvent inflammables). Prochaine étape contrôle technique régulier de tout habitation occupé quelque que soit le statut de l’occupant et même s’il est propriétaire des lieux et obligation de travaux (qui permettra la dépossession à plus ou moins court terme par le coût généré). Cela viendra comme le contrôle technique des voitures est venu et celui des motos qui arrive. Notre ministre de la « justice » s’est d’ailleurs mis en valeur récemment avec l’expropriation d’un immeuble dans le nord de la France sous prétexte de marchand de sommeil, l’AGRASC a accompli la basse besogne au profit d’une association ad hoc bien entendu (AGRASC qui ne devait servir qu’à confisquer les biens des terroristes et des trafiquants internationaux de drogue).(Les socialos en Wallonie recensent actuellement tous les logements inoccupés et somment les propriétaires de les louer sous peine de réquisition, d’amendes voire d’expropriation. )
Et tout cela n’est pas prêt de s’arrêter parce que les Français sont léthargiques, s’ils ne sont pas endoctrinés.
Bienvenu dans un monde communiste 2.0 !
Ecoutez comment les USA ruinent la France avec le OK de certains politiques = cliquez
, donc que faire maintenant que la France est en ruine ?: https://m.facebook.com/groups/330681512007348/permalink/686880246387471/