Pour les problèmes de santé, dont COVID fait partie, la vérité découle de l’analyse de la mortalité.
Le premier article chiffré que nous avons publié sur ce sujet, vient de l’IRSAN (Institut de Recherche pour la valorisation des données de santé) :
Cet article pourrait être taxé de partisan, Laurent Toubiana, fondateur de l’IRSAN, s’étant nettement positionné contre l’alarmisme des hommes de l’Etat face à COVID.
Sans être mathématicien nous pouvons relever deux choses : M. Toubiana part de chiffres officiels, les pondérations qu’il applique sont parfaitement logiques.
Le résultat est clair, probablement raisonnablement objectif : pas de surmortalité pour les moins de 65 ans, légère surmortalité pour les plus de 65 ans, tout particulièrement pour les 85 ans et plus.
Comment dans ces conditions le monde entier et la France tout particulièrement ont pu voir s’installer une panique générale accompagnée d’un arrêt total des déplacements, et de l’économie qui leur est étroitement liée.
Il y a la théorie du complot économique :
Scientifiques achetés et laboratoires assoiffés d’argent se seraient ligués pour raconter des histoires à l’opinion publique qui n’ont pour but que de lui soutirer de l’argent en lui vendant de faux vaccins en vue de larges bénéfices.
La théorie du complot politique :
En difficulté face aux revendications de leur population, les hommes politiques auraient sauté sur l’occasion pour enfermer tout le monde et avoir ainsi la paix sociale à bon compte.
La théorie de l’incompétence :
Bien que la plus grande partie d’entre eux soient issus de très grandes écoles, les responsables politiques mondiaux seraient défaillant intellectuellement, conséquemment incompétents en tout, évidemment particulièrement en ce qui concerne la santé.
Que des hypothèses simplement partiellement satisfaisantes, voire pas du tout.
Principalement parce qu’elles cherchent à attribuer la situation à une manipulation de l’opinion publique alors que c’est elle la manipulatrice.
C’est l’opinion publique toute seule qui a été prise de panique et qui a suscité les réactions de la presse et des hommes de l’Etat, qui ont dans cette affaire toujours eu un temps de retard qu’ils ont cherché à rattraper par l’outrance.
La bonne question est : pourquoi l’opinion publique a-t-elle eu cette crise d’angoisse démesurée ?
Je n’ai pas la réponse que seule l’histoire donnera… peut-être.
Sans doute les privilégiés que furent les actifs des années 60 à 80 imaginent-ils que leur disparition est synonyme de la fin du monde et qu’ils ont réussi à en persuader suffisamment de monde ?
Ou ont-ils encore suffisamment de pouvoir pour donner l’illusion que leur disparition entrainera un chao irréversible ?
Je ne sais pas, mais je sais une chose, c’est la croyance qui les portait qui a été l’amplificateur destructeur de la fausse pandémie.
Vous me voyez venir, je parle de l’égalitarisme.
C’est au nom de l’égalitarisme qu’une poigné de vieillards compte autant qu’une majorité d’âge moyen ou jeune.
C’est aussi en son nom que l’on préfère : pas de soin pour tous à des soins à ceux qui peuvent ou qui veulent.
C’est au nom de cette pensée philosophique ni plus ni moins vraie qu’un autre, mais tout aussi respectable, que s’est malheureusement constituée l’église technocratique et sa pensée unique qui nous exploite au nom sacralisé de la croyance égalitariste.
Croyance qui aujourd’hui, à l’occasion de COVID, a même pris de vitesse sa propre église. Croyance qui nous impose un virus qui serait également destructeur, ce qui est faux mais cru.
Nul ne peut dépasser cette croyance, alors que tout prouve sa fausseté. Elle ne peut laisser aucune place à la vérité qui donc se retrouve inaudible et inutile.
Que peut devenir une société dans le mensonge de la croyance : rien, rien.
C’est ainsi que l’appel lancé avec Claude Reichman n’a que peu de retour et pourtant, exiger le droit de soigner et de se faire soigner librement est-ce anormal ?
Enfermer la population au motif que l’outil de soins aux prétentions égalitaires est débordé, est-ce normal ?
L’égalitarisme engendre le dévoiement des valeurs lorsqu’il passe d’une hypothèse de pensée à l’application impossible imposée par son église.
La vérité est bannie de l’église égalitariste, comme de toutes les églises qui en réalité profanent les pensées les plus nobles puisque les voulant uniques.
Bien à vous. H. Dumas
Jouir sans entraves, la dernière étant la mort.
« La bonne question est : pourquoi l’opinion publique a-t-elle eu cette crise d’angoisse démesurée ? »
Les journalistes sont en cause (et ceux qui les commandent bien entendu).
Je pense que les journaux sont des amplificateurs, non des prescripteurs de pensée.
Ils n’éditent que ce que l’opinion publique veut entendre, sans quoi ils n’ont pas de lecteur.
C’est donc l’opinion publique qui commande, même si étant en désaccord avec elle on souhaiterait qu’elle soit manipulée pour ne pas se sentir exclu.