Tout le monde connaît le principe du vaccin qui consiste à introduire dans un organisme une version atténuée ou inactivée d’un agent pathogène, ou une partie de celui-ci (comme des protéines), afin de stimuler le système immunitaire. Cela permet au corps de développer une réponse de défense sans provoquer la maladie.
Passons sur les approches innovantes, comme les vaccins — mal nommés — à ARN messager, utilisés pour la COVID-19, qui ont suscité débats et controverses sans fin, dont le bilan est toujours en chantier.
Une mauvaise gestion de certains vaccins vivants classiques atténués peut entraîner une propagation accidentelle de la maladie qu’ils visent à prévenir, notamment si les conditions de fabrication, de conservation ou d’administration ne sont pas respectées.
La mixité sociale est une sorte de vaccin dont le principe consiste à inoculer dans une société saine des corps en errance négative. Ces errances pouvant découler indifféremment du hasard ou au contraire d’une volonté affirmée des personnes concernées.
Le résultat attendu étant que les personnes en errance soient en quelque sorte contaminées par la bonne santé sociale du groupe dans lequel elles sont introduites par la force de la loi, et qu’elles renforcent ainsi la capacité pour une société saine d’absorber ses membres en échec.
En France, ce principe a été particulièrement mis en œuvre dans la scolarité et dans l’habitat, deux espaces entièrement entre les mains du législateur. Aussi, plus globalement, à travers la fiscalité redistributive.
Les résultats sont objectivement catastrophiques.
Le niveau scolaire ne cesse de se dégrader, la construction immobilière est mortellement à l’arrêt, l’économie générale privée de son capital atrophié par l’impôt est en berne.
La mixité est un vaccin dramatiquement mal pensé, sur le point de contaminer toute la société française de la maladie de l’échec.
Inoculée sans protocole scientifique, basée sur l’émotionnel, idéalisée, la mixité sociale est un vaccin au bout du rouleau, dont la chute va entraîner des dégâts irréversibles, tant son usage méprise la réalité.
Peut-on arrêter l’expérience ?
Non évidemment, l’échec social est un drame qui ne peut pas laisser indifférent. La tentative de mixité ne pourra pas être neutralisée sans un nouveau plan pour contrer ce drame.
La difficulté tient au fait que dans l’échec social la matérialité n’est pas seule en jeu, les sentiments jouent un rôle essentiel. Et là, pas de rationnel, au contraire que de l’irrationnel.
Alors… Encore une énigme…
En attendant, une petite guerre, ça vous dit ?
Bien à vous. H. Dumas.
PS : J’ai travaillé ce billet avec Chat GPT. Le lien pour accéder à nos échanges : LIEN.
Objectivement c’est troublant. Temps de réponse : de l’ordre de la seconde !!!