La situation est objectivement désespérée.
Les dettes, quelles qu’elles soient, ne pardonnent jamais. Toutes les dettes. Et la France ayant fait confiance à des aigrefins déguisés en bons samaritains est aujourd’hui non seulement ruinée, mais aussi dégoutée de l’effort, tant ceux qui lui ont volé ses capitaux les ont soupoudrés a des fins électoralistes personnelles au point que les bénéficiaires ne voient plus l’intérêt du risque, de l’investissement et du labeur, qui sont pourtant les seuls outils d’accès au capital, au progrès.
Peut-on imaginer que la situation pourrait être redressée ? Non.
Pour cela il faudrait une telle remise en cause des réflexes pavloviens qui structurent la population de ce pays qu’elle n’y survivrait sans doute pas.
Face à ce défi la jeunesse préfère la drogue, dure qui se consomme ou douce qui se rêve, mais peu choisissent la lutte, l’affrontement avec la réalité.
Ne parlons pas des vieux qui croient qu’être soignés et payés à rien faire est un acquis. Ce qui est bien la preuve que ce n’est pas le temps qui passe qui rend intelligent, il faut autre chose…passons.
Alors, que va-t-il se passer ?
C’est très simple, il est urgent de mettre la poussière sous le tapis, pas question de contrition, pas question d’assumer ses vols, ses injustices, sa dictature égalitariste.
Comment distraire une population au point de lui faire perdre ses repères, de l’empêcher de réfléchir : en instillant la peur.
D’abord l’inquiétude, puis la peur qui se développe quand l’inquiétude est « à température ».
Mais de là à obtenir la panique qui occultera complètement la réalité, il y a un pas que les alerteurs de Covid, de catastrophes climatiques, de dénonciations en tout genre, ne peuvent pas franchir, même avec l’aide des complotistes.
La seule solution c’est la guerre.
Nos hommes de l’Etat commencent à avoir une attitude et une rhétorique guerrière. Vous ne trouvez pas ?
Ils savent que leur position les amène rarement en première ligne, que les contraintes de la guerre ont peu de chance de les toucher, nous sommes leurs remparts, comme toujours. Tout ça est juste à peine plus discret que dans le cas du Hamas.
Les politiques dans les tranchées, c’est peu probable, ce n’est pas la tradition. Mais ce sont bien eux qui déclarent les guerres. La plupart du temps pour dissimuler leurs échecs. Tout cela est d’une banalité affligeante. Et, au final, des centaines de milliers ou de millions de morts, seuls les bâtisseurs de monuments commémoratifs y trouvent leur compte.
Donc : la guerre, ce sera la guerre…Dieu me préserve de me tromper au point d’être un jour du côté de ceux qui la souhaitent, parce qu’une fois lancée…
Qu’il garde ma mémoire intacte pour que je me rappelle que les hommes de Bercy, incompétents et prétentieux, en auront été les initiateurs…
Bien à vous. H. Dumas
Ah Si. Le mal c’est ‘Bercy’ et les hommes qui l’habitent
Toutes celles et ceux qui sont passés par l’expérience du controle fiscal vous le confirmerons.
L’état, c’est ‘Nous’ et si l’on considère comme H. Dumas que l’état n’existe pas.
donc nous, ‘la populace’, n’existons pas.
il est alors difficile de démontrer que la terreur fiscale est exercée contre nous qui n’existont pas pour les hommes de l’état.
Mais non.
L’Etat ce n’est pas nous. Nous sommes la population de la nation, avec tout ce que cela inclut d’histoire et de culture.
L’Etat est la structure épisodiquement utile pour certaines situations dont la solution ne peut être que collective.
L’Etat est devenu du fait de l’amour inconsidéré des hommes de l’Etat pour le pouvoir, une escroquerie morale et économique qui s’est imposée en monopolisant la force des armes à son profit. L’Etat c’est la terreur qui se fait passer pour la bonté.
Non. Pas les hommes de Bercy. Tous les hommes de l’état, tous.
Ce n’est pas Bercy le mal, c’est l’état.
https://michelgeorgel.com/lequel-a-precede-lautre/
Vous avez raison. Mais Bercy est la vitrine justificative des hommes de l’Etat. L’outil qui dissimule leur réalité. À ce titre Bercy doit être débusqué et éradiqué.