J’aime aussi la question posée par Michel Gorgel.
Oui, j’ai une réponse. Mais attention, elle vaut ce qu’elle vaut, rien de plus.
La technocratie mondiale formée aux mêmes écoles internationales partage les mêmes croyances et exige les mêmes statuts, elle est la nouvelle noblesse décadente.
Les caractéristiques d’une noblesse décadente
– 1° – La vie du groupe, comme la vie individuelle, est faite de périodes favorables et de périodes défavorables, des émotions et des réactions liées. Ces cycles à l’époque de la noblesse décadente étaient dictés par la météo dont dépendaient les récoltes et par les guerres que déclenchait la noblesse.
– 2° – La noblesse décadente exigeait que, quelles que soient les périodes, sa vie garde le même confort, la même richesse, de façon linéaire.
– 3° – L’amortisseur était exclusivement la population.
La célèbre phrase de Marie-Antoinette « Ils n’ont pas de pain ? Donnez-leur des brioches » résume ce principe. Elle y a perdu la tête.
Tout est une question de sensibilité, de droit à l’expression de cette sensibilité, aux réactions liées.
S’autorisant seule la sensibilité, protégée, la noblesse décadente ne percevait plus ni les douleurs de la population, ni ses aspirations. Elle était absorbée par les seules nécessités de la régularité de son statut, quoiqu’il advienne.
Il y avait d’un côté elle, dans sa grande diversité, ses décisions, ses libertés, celles des collaborateurs de connivence avec elle.
Il y avait d’un autre côté la population, bloc amortisseur homogène à qui toute sensibilité, tout droit à l’expression étaient refusés.
Nous en sommes là.
La technocratie s’est auto-protégée au point de se déconnecter des réalités de l’homme, de se croire à l’abri de la vie.
La population lui sert d’amortisseur, ainsi cette dernière cumule ses propres difficultés plus celles que la technocratie lui impose pour se protéger.
La technocratie mondiale va être renversée, calmement ou violemment, elle le mérite. Nul ne peut se croire à l’abri des aléas de la vie et les faire porter intégralement aux autres sans révolte de ces derniers.
Les turbulences à venir valent le coup, quoiqu’il advienne.
Bien à vous. H. Dumas
Et une incohérence gouvernementale de plus : une grosse pointure de l’institut Pasteur de Lille n’a pas le droit de fabriquer des tests de dépistage du COVID !!! A quoi bon faire de la recherche en France ?
https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/coronavirus-un-geneticien-propose-de-fabriquer-des-tests-l-administration-refuse-6791169
Le ministère de la santé semble visiblement plus efficace à distribuer des subventions aux associations qui font l’apologie des drogues plutôt qu’à gérer la crise du coronavirus :
https://www.google.com/search?q=psychoactif+subventions&ie=utf-8&oe=utf-8&client=firefox-b
Je pense que l’occasion nous est donnée de rendre un petit hommage posthume à Carl Flügge découvreur des gouttelettes qui portent son nom : gouttelettes de Flügge, plus communément appelées postillons qui peuvent atteindre une distance de 6 mètres lors d’un éternuement et persister dans les systèmes de ventilation si l’on en croit les chercheurs assurément sérieux du M.I.T. :
https://fr.qwe.wiki/wiki/Carl_Fl%C3%BCgge
https://sante.lefigaro.fr/actualite/2014/04/15/22230-toux-eternuement-long-voyage-postillons
Cela dépasse largement la zone de contage de 2 mètres évoquée par nos hautes autorités de santé.
La publication pour les initiés :
https://www.cambridge.org/core/journals/journal-of-fluid-mechanics/article/violent-expiratory-events-on-coughing-and-sneezing/475FCFCBD32C7DB6C1E49476DB7A7446
J’espère que cette pandémie de CORONAVIRUS ouvre les yeux des français et devienne par retournement l’avenir des Français. Mais le système technocratique a rendu aveugle et sourd certains trop nombreux. La France est devenue un pays d’aveugles et de sourds.
La démocratie ce n’est pas un match que l’on gagne ou que l’on perd. Ce n’est pas un combat, c’est la défense d’idées et de projets. Ce qui ne se contrôle pas ne progresse pas, il faut donc moderniser les contrôles à tous les niveaux. Une démocratie sans contrôle est soumise à la médiocrité des Hommes. L’injustice est devenue un métier en France . Il faut ouvrir les yeux , depuis + de 30 ans les élus , la presse n’ont pas donné le goût de l’absolu aux français mais Les politiques n’ont eu de cesse d’imposer une médiocrité tranquille aux français. La France est devenue médiocrate , la démocratie, est devenue la dictature de la loi et la justice, est devenue la dictature des magistrats. La France est devenue un pays mafieux et corrompu , son administration fonctionne comme la Mafia . Beaucoup de citoyens, politiques et journalistes naissent aveugles , et ils ne s’en aperçoivent que le jour ou une bonne vérité leur crève les yeux. La démocratie , médiocratie, française a atteint ses limites , il faut impérativement apporter les changements nécessaires. Tout cela nuit au développement économique. La démocratie qui reposait sur le contrôle, s’est endormie sur la complaisance.
Ce n’est donc pas le système MACRON comme certains le disent mais le système politique français qui est en cause.
La France disparait peu à peu et la pandémie va enfoncer le clou. Le bruit des bottes fait mal, mais le silence des pantoufles est pire encore.
C’est probablement pour ne pas être absorbé intégralement et sans résultat par « les services publics de haut niveau » que ce capital se fait discret.
Laissons le libre, il reviendra, c’est évident.
Je ne connais pas de « service public de haut niveau », nulle part sur la planète…
Je connais des services privés de haut niveau, hélas je connais aussi des services privés qui sont des escrocs, mais cela est du ressort de la justice.
Quant à la dette, une grande part est issue des fameux services publics l’autre privée est un délire consumériste…
la maxime pour contenter le bon peuple
du pain-BENI par la fed et la BCE
et la FDJ qui prolonge les delai de paiements pour la populasse qui croient au jackpot .
et 5000 milliards de la planche a billet pour les marches financiers .
ne pas oublier que le banquier qui vous prête 10€ ca ne lui coute que 10cts .
alors imaginez ce qu’ils vont faire de ce pactole les fonds de pension américain et le shadow Banking !! 🙂
concrètement une entreprise emprunte à une filiale étrangère d’une banque bien française et la rembourse avec intérêts. La somme remboursée est défrayée de son bilan, son résultat baisse et avec, les taxes et impôts perçus par l’État. Cet argent remboursé se crédite dans la filiale et n’est plus au résultat de la banque, abaissant également les impôts qu’elle doit.
Cet argent est prêté à deux types d’acteurs : aux entreprises, mais surtout à la branche « marchés » des banques afin de spéculer. Les volumes sont énormes. Ils sont volontairement énormes car pour influer sur un cours de bourse, il faut miser gros pour déclencher le suivisme des algorithmes du trading haute fréquence. En misant plusieurs centaines de millions, vous déclenchez une détection et un emballement des algorithmes des salles de marchés. S’en suit un effet moutonnier, l’action prend 6 à 7% en quelques minutes et vous revendez rapidement, empochant la plus-value nette d’impôts.
Ces structures de shadow banking sont également employées à faire travailler et à blanchir l’argent optimisé et évadé. On y fait transiter tout le hors bilan – tout ce que les grosses entreprises défrayent comme vous le faites de vos frais kilométriques –, ainsi que tout l’argent des « prix de transfert » de nos multinationales (vente à perte depuis la France pour abaisser les résultats comptables, et revente depuis ces paradis avec plus-value).
Le volume mondial de cet argent gris est difficile à estimer et dépend du périmètre retenu (définition stricte, où seules les activités bancaires sont prises en compte, ou définition large, où l’on inclut tous les intermédiaires financiers), mais se situe, selon le Conseil de stabilité financière, entre 45 000 et quelque 100 000 milliards de dollars par an – voire 160 000 milliards si l’on prend en compte les activités des assurances et fonds de pension, soit près de la moitié des actifs en circulation dans le monde. Ces sommes colossales – à comparer au montant du PIB mondial, à 70 000 milliards de dollars par an – échappent à tout contrôle, tout comme autrefois, avant la généralisation des cartes bleues, un artisan ou un commerçant pouvait escamoter 50 % de son chiffre d’affaires. La France représentant 3 % du volume de shadow banking mondial, on peut estimer les montants entre 1 200 et 2 650 milliards d’euros – pour un PIB d’environ 2 300 milliards d’euros.
Contrôler et fiscaliser ces sommes permettrait de rembourser la dette, d’avoir des services publics de haut niveau et d’abaisser fortement la fiscalité sur l’ensemble des citoyens et des entreprises locales, ce qui nous rendrait bien plus compétitifs. Tout l’art des plus nantis et des banquiers est de faire croire que cet argent n’existe pas pour ponctionner le système collectif français, exiger des efforts et un moindre niveau de vie de la part des citoyens – tout cela pour avoir plus d’argent à miser en bourse.
Julien Lovato,
Consultant en stratégie et organisation
https://www.republique-souveraine.fr/shadow-banking-le-grand-secret-de-loligarchie/
Les services publics de « hauts niveaux » n’existent pas. C’est une fable!