Vous le savez, il s’agit de ce mur que les magistrats entretiennent à partir des photos de ceux qu’ils considèrent comme « cons », c’est-à-dire ceux qui ne sont pas fatalement en accord avec leurs méthodes, leur pensée, voire leurs jugements.
La chose pour moi se révèle à partir d’une affaire bégnine, une agression dont je suis la victime, en pleine nuit, au projecteur, sur l’autoroute, perpétrée par trois gendarmes en fonction, où je suis menotté pour avoir fait part de mon étonnement. Puis brutalisé, enfin pris d’un malaise et conduit vers une clinique amie des gendarmes. Contrairement à ce qu’espèrent les pandores, je ne suis pas sous l’emprise d’une alcoolémie indécente. Choqué, je fais part de la situation à la hiérarchie des gendarmes.
Il s’en suit un délire total où ces mêmes gendarmes m’accusent d’outrage et de rébellion !!!
La chose est grotesque. Je mets à votre disposition mes conclusions en nullité link, l’ensemble des pièces de procédure est très lourd, mais il est à votre dipsosition sur demande.
Après avoir bien compris la situation, vous pourrez lire le jugement rendu link où je suis condamné à 8.000€ et des poussières !!!!!!!!
8.000€, je suis convaincu que vous voyez ce que cela représente. Vous percevez bien le temps qu’il faut pour mettre 8.000€ de côté. En ce qui me concerne, c’est deux ans de ma retraite. Vous avez bien compris la pantalonnade à laquelle se sont livrés, tout seul, les gendarmes.
Non seulement je suis sur le « mur des cons », mais je suis vraiment traité comme un con, comme un moins que rien, comme une raclure, une racaille, j’ai honte pour mon pays.
Pour moi, ce n’est pas grave, je leur souhaite bien du plaisir à saisir mes comptes, mes pantalons, mes chemises, mes sandwichs etc… mais eux, ce sont des merdes tous complices, forces de l’ordre et magistrats, la preuve en est ici rapportée.
Ce billet est une nouvelle occasion pour eux de me poursuivre pour injure, diffamation, terrorisme, mise en danger de l’Etat, pourquoi pas m’interner, il y a-t-il une limite à la connerie ?
Bien cordialement. H. Dumas