Mme Marion Saint-Michel est très claire, très pédagogique, très convaincante.
Mais elle se trompe de cible, Macron n’est qu’une potiche du système, son pouvoir est inexistant.
M. Alexandre Jardin se rapproche davantage de la vérité, il comprend que le problème est systémique, mais il ne va pas au bout.
Car le bout c’est vous, c’est moi, c’est nous… Personne n’ose le dire.
Et pourtant, c’est la population qui dépense sans compter, qui travaille avare de ses heures et de ses minutes. C’est elle qui fait faillite. Elle le sait parfaitement. Elle est effectivement perverse.
« Et par-dessus tout ça,
on vous donne en étrenne
le Béarnais qui se promène…et qui n’en finit pas… »
Que dit-il le Béarnais à grand renfort de communication ? Il dit ce que tout le monde sait : « nous sommes en faillite et le mur approche ». Même pas sûr que nous ne soyons pas en mille morceaux avant l’été.
Que fait-il ? Rien. Comment pourrait-il faire alors que toute la population s’active à dépenser sans compter, à travailler au compte-goutte et à surveiller que le voisin ne gagne pas plus que soi. Pas de juif à dénoncer ? Qu’à cela ne tienne, dénonçons les milliardaires, c’est pareil… qu’ils disparaissent ceux-là… de l’air, à la potence…
La vérité embarrassante.
Une majorité déstabilise l’économie du pays, elle n’est pas désignable tant nous tous sommes impliqués.
En revanche, le système mis en place est parfaitement identifiable, mais avant de le changer il faudra modifier les croyances et les comportements. Est-ce possible sans passer par la case « cul par-dessus tête » ou non ? Là est la question.
Le système
Il s’agit de la plus grande corruption jamais vue. Nous tous sommes achetés, d’une façon ou d’une autre, c’est-à-dire obtenons des avantages non liés à notre travail ou à notre situation, calés parait-il sur nos besoins….
Une armée, qui ne dit pas son nom, s’active à cette tâche. Tous la vénèrent et lui donnent tous les droits, y compris la torture, c’est : BERCY.
Cette armée s’est emparée, avec l’accord tacite de la majorité, du pouvoir, à tous ses niveaux. C’est le régime de la FISCALOCRATIE, c’est notre régime.
Le remède
La lutte contre la faillite — pour le retour vers la liberté et sa conséquence la responsabilité, et enfin la richesse pour le pays, donc pour tous — passe par l’anéantissement de Bercy. Par les urnes évidement. Puis la mise en œuvre d’un impôt volontaire, mais public.
Pour éradiquer la guerre il faut cantonner les militaires et leurs armes, pour éradiquer les folles dépenses il faut cantonner Bercy et ses outils de pillage.
Encore un peu de courage et de lucidité…
Quant aux serviteurs zélés de notre fiscalocratie, Macron et compagnie, juste la porte et… un léger coup de pied au cul… ce sera suffisant pour l’histoire, inutile de leur couper la tête.
Bien à vous. H. Dumas
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