Notre Président par en guerre contre le chômage.
N’a-t-il pas perçu que le chômage est une conséquence et non une cause ? Que l’on ne part pas en guerre contre une conséquence, mais contre sa cause ?
Explication basique
Notre Président a tendance à être, disons-le, enrobé. Imaginons que cela lui vienne d’un goût immodéré pour le Nutella lors de son quatre heures. Mettons qu’il se fasse quatre grosses tartines tous les jours et qu’il les déguste avec gourmandise.
Or, il lui est apparu que, pour se présenter à nous, chercher nos suffrages, il devait avoir l’air d’un sportif, sans un gramme de trop.
Pour atteindre cette ligne de jeune premier qu’il nous a concocté, pensez-vous qu’il se soit contenté de psalmodier : « je veux perdre du poids, je veux perdre du poids… » tout en continuant à déguster quatre tartines de Nutella à tout ses quatre heures, voir huit pour calmer son angoisse de poids ?
Non, il a tout simplement arrêté le Nutella et obtenu la silhouette dont nous profitons aujourd’hui. Il a traité la cause et non vitupéré contre la conséquence.
Conclusion
Comment peut-il espérer vaincre le chômage, directement issu de quarante ans de socialisme, d’économie planifiée, en nous en collant une couche supplémentaire ?
Ne nous devait-il pas une analyse sur les causes du chômage, puis l’exposé de ses intentions pour modifier ces causes et ainsi nous permettre d’envisager effectivement une solution à ce chômage ?
Evidemment qu’il nous devait cela. Quand vont-ils cesser de nous prendre pour des abrutis, tous ces élus que nous engraissons à prix d’or ?
Ce qu’ils nous cachent, l’histoire le dévoilera à nos enfants.
Bonne année quand même. Henri Dumas