Et si l’on essayait d’y voir clair ?
Le rêve de Macron ? Ne jamais en finir avec les Jeux olympiques. Pendant cette période bénie, les Français ont oublié de le détester. Un jour férié va s’insérer dans le calendrier républicain pour commémorer l’évènement. La Saint-Macron va venir s’ajouter à la liste de nos saints, saint laïque certes, mais en ces temps où la religion s’efface, c’est tout de même mieux que rien.
La France s’est donc consacrée pendant près de deux mois à la fête olympique. C’est-à-dire à rien d’utile. Nous pouvions nous le permettre dans un pays prospère, sans pauvres ni dette, et qui brille dans l’univers par son sens de la fête comme le dit un film à succès. Fellini le disait déjà de Rome, « l’endroit idéal pour attendre la fin du monde ». Paris, Rome, même combat. L’empire romain nous a créés, restons ensemble dans le désastre.
Il y a quelque chose de fascinant dans cette course à l’abîme que rien ni personne ne semble pouvoir arrêter. J’ai vu une scène étrange sur BFM. Vers six heures du matin, l’économiste maison Nicolas Doze expliquait à l’auditoire que le système de retraite par répartition allait s’effondrer. Ayant parlé, il se tut. Un lourd silence s’établit. Les animateurs de l’émission, tous journalistes, restaient cois. Ce moment dura quelques secondes. Un siècle !
On peut lire dans les journaux que certains Américains ont choisi de fixer leur domicile sur un de ces paquebots de croisière qui sillonnent les mers du sud. Pourquoi se fatiguer à rentrer chez soi et payer le chauffage de sa maison quand le soleil brille toute l’année ailleurs ? J’avais écrit il y a quelques années un court récit qui mettait en scène précisément un paquebot de croisière où des passagers américains sommeillaient voluptueusement sur des transats, tandis que de zélés matelots s’affairaient à passer le pont à la serpillère. Ces matelots étaient tous âgés. Un des passagers américains eut la curiosité d’interroger l’un d’eux. Ce dernier lui expliqua que le personnel d’entretien de ce navire n’était composé que de Français sexagénaires, contraints, malgré leur âge, à travailler dur pour pouvoir survivre à l’effondrement de leur retraite par répartition, ravagée par la disparition de ses cotisants.
Je me souviens également d’une conférence que je donnais, il y a une dizaine d’années, à l’invitation d’un cercle d’investisseurs, et où j’expliquais ce qui allait se produire pour les retraites des Français. Mes auditeurs étaient pour la plupart des personnes d’âge mûr. A un moment, je vis un homme très digne dans son costume gris foncé se pencher vers son épouse et lui dire avec assurance, parlant de moi : « Il est fou ! » Bien entendu, je me gardai de lui reprocher son propos, sachant fort bien qu’on est toujours le fou de quelqu’un et surtout que dans un pays soumis, comme la France, à une dissimulation permanente des vérités économiques les plus élémentaires, il est au dessus des forces humaines de tenter de les révéler.
Le hasard des ondes m’a fait entendre il y a quelques jours l’économiste Marc Fiorentino tenir des propos semblables aux miens sur le plateau de « L’Heure des Pros ». « Comment, s’exclamait Pascal Praud, j’ai soixante ans et vous me dites que je ne toucherai pas de retraite ? » Fiorentino fit preuve de la gentillesse qu’on a envers les gens qui souffrent et répondit : « Non, pour vous ça ira. » J’ignore si Praud a été rassuré.
Macron n’aura été finalement que l’envoyé de Lucifer, chargé de distraire la population pendant que le venin du socialisme finissait d’envahir ses veines et la faisait glisser dans la mort. Celle-ci ne frappera pas tout le monde. Certains sont partis à temps vers des rivages libéraux où chacun travaille pour s’assurer des jours heureux, d’autres se sont bouché les oreilles et ont vécu dans une sorte d’innocence qui a préservé leur âme et l’a rendue insensible au venin, d’autres enfin vivent dans un état de révolte permanente où le bouillonnement de leur sang emporte au loin toutes les saloperies qui circulent dans le pays. Au moment de compter les morts, la pitié s’empare des âmes bien nées. Qu’a fait notre malheureux pays pour que tant de malheur s’abatte sur lui ? Quel crime a-t-il commis ? Quelle folie l’a-t-elle envahi ? La réponse est hélas simple : il a laissé l’Etat s’emparer de la vie de tous. L’Etat a tué tout le monde pour faire leur bien. On ne peut rien lui reprocher. C’est sa nature, comme disait le scorpion qui a tué la grenouille.
Il y a certes eu des hommes de l’Etat qui ont manipulé tout ça. On pourra toujours les juger et même les condamner. Mais cela ne ressuscitera personne. La seule issue acceptable pour les Français restés en vie, c’est la garantie que cela ne recommencera pas avec de nouveaux gouvernants. Pour cela, il faut ramener l’Etat au tiers de la production intérieure. Et surtout l’obliger à rester à cet étiage. C’est une simple affaire de loi à respecter. On sait que l’appétit des dévoreurs de richesse est sans limite. On ne doit faire confiance qu’à la réduction chirurgicale de leur estomac. Bon, il nous reste encore des médecins sachant opérer.
Claude Reichman
e5jabv
C’est fini; la France est morte. Ils ont assassiné la jeunesse Française, par millions, par dizaines de millions; au nom des libertés des femmes. Puis on nous remplace, doucement, mais surement, par une nouvelle population, certe jeune, mais improductive. Français de papier, remplaçants les Français de coeur. Une immigration conquérante, sociale , que ceux qui travaille, investissent, doivent financer. Après avoir massacré les jeunes Français, ils vont s’en prendre aux vieux Français; certain appelle à l’intifada , en plein Paris, ils se cachent même plus. Et quand quelque pélos, défilent en mémoire à un jeune massacré, par une bande de voyous, toute la haine administrative les charges, les arrêtes, les condamnes, les incarcèrent… , pourtant, ils trafiquaient rien,, volent, pillent, personnes… Toute la fachosphère, Pétainiste de la première heure, de l’Ultra gauche, représentait par le NFP, anti-sémites, raciste, révolutionnaire, soutenue par une droite et un centre, qui se sont coalisés, pour tuer encore plus de Français… , …
des hommes d état dites vous …
quelle stature 1m65 + des talonnettes un pseudo napoléon qui dors sans talent
tel une hidalgo en quête de moulin a vent –> la saint –C-ON plutôt