Elle arrive, seule. Personne ne la déclare, contrairement à ce que veut faire croire l’histoire.
Elle résulte d’un besoin de pillage, si prégnant qu’il devient évident. Alors elle arrive.
Il y a ceux qui savent s’inclure dans l’économie, qui savent en capturer les fruits, il y a les autres qui ne savent pas. Les premiers s’activent puis deviennent des possédants, les seconds, en manque, les trouvent alors arrogants.
Les premiers craignent le pillage, ils ne partagent pas, partageraient-ils rien ne changerait.
Les seconds se font à l’idée que leur position est injuste, qu’ils ont une légitimité à prendre ce que personne ne veut leur donner, à piller.
L’histoire touche aussi bien les individus que les groupes d’individus, elle n’a pas de frontière, elle est universelle.
Elle est là, sous forme de braise, elle n’attend que les circonstances favorables pour s’embraser, elle n’a besoin de personne pour prendre, pour devenir un brasier qui dévorera les hommes.
La guerre éclate soudain, en apparence. En réalité, tout le monde la voit arriver depuis toujours.
Elle surprend, dit-on. C’est complètement faux, tout le monde la connait, en connait le fonctionnement, mais nul ne pouvant changer quoique ce soit à sa réalité, il vaut mieux faire mine de ne pas la voir, c’est moins désespérant.
Elle est arrivée par la Russie, persuadée que ce n’était pas elle, elle se répand au Moyen-Orient, toujours persuadée que ce n’est pas elle.
Mais c’est bien elle. Erdogan la sent, il la veut. Il va l’avoir. Quel sot…
Elle va gagner le monde, le temps du pillage est arrivé, total, destructeur, vital malheureusement.
Il y aura des vainqueurs et des vaincus, les premiers auront raison, les seconds auront tort. Ce sont les pillards qui perdront, à terme le pillage s’autodévore.
Face à elle, la nature fait profil bas. Elle est la nature…
Nous aurons connu toutes ces belles choses d’avant-guerre, serons-nous là pour en parler ? C’est peu probable en ce qui me concerne.
On aurait pu tous s’aimer ? Vous croyez ? Et le fisc ?…
Bien à vous. H. Dumas
Cher Henri, autrefois ont nous punissait pour avoir menti, aujourd’hui on nous punit parce qu’on dit la vérité !
Pour les mensonges il faut de la mémoire, pour dire la vérité il faut du courage !
Un pays est cultivé non en raison de sa fertilité ou de son économie, mais en raison de sa liberté, et les français ont perdu peu à peu leur liberté.
Un peuple de moutons finit toujours par engendrer un gouvernement de loups.
Le Fisc en effet fait la guerre à bas bruit aux français. Je vous adresse à nouveau la réflexion que j’avais posté en 2015 qui résume ce qu’est devenue la France suivant mon point de vue=
La France est dans le côté obscur de la force : Du 16 juin 2015 40.000 vues=
https://temoignagefiscal.com/la-france-est-dans-le-cote-obscur-de-la-force/?fbclid=IwAR0xIiBH9PShDnKtYHFSNIwL1Kz36dO4lsR5OXen6RwNnG9aYMXuVQTezCo
-Parlement”… mot étrange formé de “parler” et “mentir”. (Pierre Desproges).
Bonne journée !
Mais Qui gouverne réellement la France ?
Actuellement l’argent ne sert principalement qu’à acheter les consciences et financer les mauvaises actions… C’est le cycle qui nous a mené au déclin c’est ainsi car la majorité l’a choisi .
Car Avec : Une dette publique qui s’élève à plus de 3300 milliards d’euros et qui représente + de 100 % de notre PIB, et Les intérêts annuels de cette dette qui dépassent les 50 milliards d’euros et qui engloutissent plus de la moitié de notre impôt sur le revenu, Un État au bord de la faillite qui dépense + de 20 % de plus que ce qu’il collecte, Une fiscalité écrasante et spoliatrice : les plus riches s’expatrient, les classes moyennes souffrent et les plus précaires sombrent, Des administrations et collectivités aux effectifs pléthoriques et ingérables… et des services régaliens comme la santé et la justice qui dysfonctionnent, des contre-pouvoirs qui ont disparu…etc …
Et j’en passe, la liste est longue. En un mot, la France ressemble de plus en plus à Rome et son Empire avant sa chute fracassante il y a plus de 1 500 ans.
La France est donc à un tournant de son Histoire. Nous sommes au pied du mur.