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LA SPOLIATION,UNE SPÉCIALISTE BIEN FRANÇAISE DE DE NOS ÉLITES depuis 1940.

Le papier d’Henri m’a remis en mémoire ma propre spoliation.
Peut-être un parallèle avec la Rotonde ou d’autres?
Des milliers d’autres…

Commençons par ma perquisition perso à l’aube.
Extrait de mon livre “La Locomotive ou la fin des années rock”.
Page 180


…Le 12 octobre 1995, alors que je dors du sommeil, dit du juste, dans mon appart, à 6 heures du matin, la sonnerie de ma porte se met à retentir d’une façon pour le moins impérative.

J’émerge difficilement, m’étant couché vers les 4 heures.
La sonnerie est accompagnée de coups « appuyés » pas vraiment discret sur ma porte d’entrée.
Je passe une robe de chambre en quatrième vitesse, me demandant qui peut bien venir m’emmerder à cette heure chez moi.
Je regarde par l’œilleton et je vois un couple genre témoin de Jehova.
Celui-ci ayant les oreilles performantes a dû m’entendre arriver et l’homme dit d’une voix forte et pas joviale du tout : Police, ouvrez !
Ouaou, c’est la police et pas des Jehova’s boys.
Bon français discipliné à l’autorité, j’ouvre donc.
Le mec se présente : Lieutenant Trucmuche de la police judiciaire et inspectrice Machepro de la DNEF. Nous avons un mandat de perquisition.
Veuillez nous laissez entrer, et il me fout un papelard sous le nez en l’agitant. Ce doit être son mandat que je n’ai même pas le temps de le lire, ils me poussent et entrent chez moi.
Qu’est-ce qui m’arrive encore ? Ma voiture doit être mal garée ? Non je plaisante. Une perquise, je dois au moins avoir tué quelqu’un.
Ils n’ont pas l’air d’être du style causant, ils doivent avoir vu trop de films gestapistes.
Je les emmène au salon et, toujours poli je leur offre un café. Ils refusent sèchement. Ce ne sont pas des souriants. Ils ne doivent pas apprendre l’amabilité à l’école de police. Tant pis pour eux. Ils doivent penser que j’essaye de les corrompre à la tasse de café Senséo…
Moi, il m’en faut un. Je vais donc le faire à la cuisine. Le lieutenant Trucmuche m’accompagne d’un air soupçonneux, il me colle au train comme une sangsue, des fois que je planque ou détruise des « preuves » ou pire, que je tente de m’enfuir en sautant par la fenêtre. Il n’a pas dû réaliser que nous étions au 3eme étage.
Je suis toujours un peu dans le colletard, et surtout je n’ai toujours pas compris ce qu’ils espéraient trouver chez moi. De la drogue, des armes, de l’argent…
Je n’ai aucune idée de ce que veut dire DNEF. Pour moi, à cet instant précis, je présume que c’est un service quelconque de la police judiciaire.
Je retourne avec mon café au salon suivi comme mon ombre de mon « alter égo ».
On s’assoit tous les deux, pendant que sa collègue farfouille avec une ardeur accrue par le faîte qu’elle ne trouve apparemment rien à se mettre sous la dent dans mon appart.
Poliment, car je n’ai pas envie de prendre un coup de bottin sur la tête, je demande à ce lieutenant ce qu’ils viennent faire chez moi.
Il m’apprend que DNEF signifie Direction Nationale des Enquêtes Fiscales et que c’est la DNEF qui mène le bal.
Lui n’est là que pour constater que les droits du perquisitionné, donc moi, en l’occurrence, sont bien respectés. Et il le dit sans rire. Ce doit être un flic pince sans rire, une rareté dans cette profession.
Quelle blague. Il a plutôt l’air d’être là pour m’enfoncer que pour me défendre.
D’ailleurs, ayant mon permis de conduire entre les mains, celui-ci doit lui sembler plus que louche car il téléphone à un service quelconque pour qu’on lui confirme que je ne l’ai pas volé.
Mierda, mon permis était vrai. Je l’ai échappé belle. Il était prêt à me passer les menottes. Loupé ! Il m’aurait bien embarqué à 6 heures du mat pour faux document officiel !
Une heure après, vers sept heures et des brouettes, la visite guidée de mon appart se termine. Bien sûr, ils ne remettent rien en place. Il ne faut pas les confondre avec des femmes de ménage.
Les adieux sont plutôt froids.
La représentante de la DNEF parait vraiment déçue. Elle qui devait s’attendre à embarquer des tonnes de documents, ne repart qu’avec deux ou trois vieilles factures Darty et un carnet de chèques entamé. Rien de sérieux à se mettre sous la dent. Ça ne valait pas le coup de se lever à l’aube pour une récolte si squelettique.
Elle m’annonce en partant, d’un air vengeur, que ses collègues sont en train de perquisitionner en ce moment à la Loco.
Et paf, prend toi ça dans les dents !…

La suite est donc classique:
Redressement fiscal faramineux et totalement abusif (je ne vais pas ici vous raconter pourquoi. Trop long. La préparation et l’exécution de ma spoliation s’étalera sur 20 ans de harcèlement, de mise à mort de la Loco.

Suite logique j’atterris chez un “administrateur” marron qui se sucre et finit ouvertement par m’achever. Et je suis vendu pour une poignée de cerises à mon “cher” voisin le Moulin Rouge.


Extrait page 341
J’avais bien compris que la Loco finirait comme le Titanic.
D’ailleurs ma volonté de combattre au fil des jours s’émoussait, je devenais apathique.  J’étais peu à peu gagné par une certaine fatalité. Celle de la défaite. Cette fatalité qui m’empêchait de dormir en me tenant éveillé, grelottant et trempé de sueur et que j’avais réussit à cantonner à la nuit débordait maintenant largement sur la journée.
L’ambiance au bureau était une ambiance de fin de « règne ». L’humour qui avait toujours eu une grande importance avait déserté sans demander son reste. Le 22 octobre 2009, le jugement du tribunal de commerce tombe.
Il est en tout point conforme aux désidératas des fossoyeurs légaux d’entreprises. Ils vont enfin pouvoir se gaver sur le dos de la Loco et sans retenu. Ils n’auront plus à prendre des mines compassées. Ils seront entre eux. Par ici la bonne soupe. C’est le repas final.
Comme prévu, le Moulin Rouge emporte le morceau. Tous ses concurrents, pour des motifs divers (!) se sont, soit retirés de la course soit ont été « écartés » de celle-ci. Il fait une économie de quasi 6 millions d’euros. Le veinard ! Il va payer 1,2 million au lieu de 7 pour un achat normal.
Maître Michel Chameaux peut être fier. Ça a été une affaire rondement menée.
Il nous a amené où il voulait. A la liquidation. Et en douceur. Il a écarté tous les repreneurs potentiels. Personnellement j’en connaissais deux qui lui avait écrit faisant des propositions meilleures. Celles-ci se sont « égarées » encore dans les tuyaux et n’ont donc pas eu de réponse.
En voici une :
Bonjour Emmanuel,
Pour faire suite à notre conversation de ce jour, voici un résumé succinct           de l’offre que nous sommes en mesure de vous faire :

 –    A ce jour, rachat de 54% des parts de la Loco (27% à vous et à votre   frère et 27% à la famille Yee),

-Comblement du passif à hauteur de 3 millions d’euros,

– A une date ultérieure à définir, rachat des 46% de parts restantes et versement du solde du prix de cession dès signature de l’acte.
Loïc Landré.
Une autre a été faite par
M. TONY VANCRAEYENEST , elle a subi le même sort…

Petit retour en arrière pour bien comprendre le cheminement de la tuyauterie.
Il semblerait que le Moulin Rouge  ait acheté à la SCI Moulin Rouge, mon propriétaire depuis l’origine, tout le bloc d’immeubles qu’il possédait et qui comprend  les murs de la Loco, du Théâtre Ouvert, du pub O’Sullivan etc… C’est une énorme opération immobilière.
Cette opération d’achat, dont certains initiés partageaient le secret, était certainement prévue depuis plusieurs mois. Elle s’est finalisée, plus ou moins pendant la période de notre fermeture administrative et notre mise en vente dans le « Parisien ». Encore une coïncidence ?
Ni Colombo et encore moins Hercule Poirot ne croyaient aux coïncidences.
Et là, on en a une belle.
Le Moulin Rouge ne pouvait pas rêver mieux pour récupérer, à (très) bas prix, un local de 2500m2 qui le jouxtait. Il s’enlevait une épine du pied pour l’avenir et pouvait disposer d’un énorme endroit en prévision d’une possible extension du Moulin Rouge.
L’achat de la Loco faisait partie d’un vaste projet immobilier et y avait toute sa place. Le Moulin devait à tout prix pour la cohésion de celui-ci mettre le grappin sur la Loco et donc dans un deuxième temps empêcher d’autres repreneurs de lui mettre des bâtons dans les roues.
D’où, certainement, leur disparition au final.
Pour que tout se passe bien au niveau de la synchronisation de l’opération des aides lui étaient certainement nécessaires.
Fermeture administrative, liquidation devaient possiblement s’imbriquer dans un temps donné et suivant un ordre parfait.
Nous, nous étions devenu, sans nous en douter une seconde, un pion sur un échiquier qui nous dépassait et que d’autres déplaçaient en fonction de leur intérêt.
Les rumeurs sur cette opération ont commencé à crever la surface le 8 octobre.
Je m’étonnais et m’interrogeais sur la disparition de tous les repreneurs sauf le Moulin Rouge, je trouvais cela assez étonnant.
Cette discrète disparition dégageait un fumet malodorant.
J’ai voulu en avoir le cœur net, uniquement pour ma gouverne personnelle, histoire de ne pas mourir trop con. Je suis donc allé trouver le manager du pub O’Sullivan que je connaissais.
Le pub O’Sullivan nous jouxtait à gauche comme le Moulin Rouge nous jouxtait à droite. La Loco avait un mur mitoyen avec les deux, d’où l’intérêt pour le O’Sullivan de postuler aussi à notre reprise. Le O’Sullivan, notre voisin faisait partie d’une chaîne.
Financièrement il était très à l’aise et leurs pubs fonctionnaient très bien. Il souhaitait s’agrandir et la Loco s’intégrait aussi très bien dans une future expansion. Et le prix à la casse était vraiment « attractif ». Je savais tout cela, j’en avais parlé avec le manager qui était un mec sympathique. Ne le voyant plus sur les rangs des repreneurs, je lui en demandais la raison.
« Tu ne sais peut-être pas, Emmanuel, mais le Moulin Rouge est devenu tout dernièrement notre propriétaire, à nous aussi comme le tien.
Sachant que le Moulin était devenu notre proprio et qu’il était devenu aussi celui de la Loco. On nous a déconseillé d’essayer de vous racheter. Avoir dès le départ le proprio du O’Sullivan et de la Loco contre soi n’était pas une bonne chose. On nous a fait comprendre que si nous voulions continuer à vivre en paix, en bonne intelligence, comme par le passé, on ferait mieux de rester chez nous.
C’est ce qu’on a fait. On n’a pas voulu déclencher une guerre, avec notre nouveau proprio commun, que nous aurions à tout le coup perdu. Il nous aurait emmerdé jusqu’au trognon comme proprio des murs du O’Sullivan et comme proprio des murs de la Loco.
Nous on est là pour gagner de l’argent, pas pour en perdre. Comprendo ?
On s’est donc écrasé en douceur et on a passé notre chemin
Les autres repreneurs ont dû jouer dans le même film… »
C’était, à mon avis, la seule explication de la désertion des 8 repreneurs. L’achat de la Loco s’était avéré pour eux une opération à hauts risques qu’ils ont préférés oublier…

Peu à peu les liens entre le Moulin Rouge et notre “honnête” administrateur remontent à la surface en bulles nauséabondes:


Extrait page 352
Le Moulin Rouge, nous l’avons vite compris, a des objectifs différents. Libération dans son article du 30 octobre 2009 :
« …le Tribunal de Commerce a rejeté un plan de continuation de la direction actuelle et a préféré désigner le Moulin Rouge, déjà propriétaire des murs pour reprendre le fond de commerce estimé à 1,2 million d’euros. Le cabaret parisien prévoirait d’aménager les 2500m2 de la Loco en un centre regroupant un café, un musée, le tout dans l’univers attrayant du Moulin Rouge… »
L’article le plus intéressant parait dans le N°11 de Bakchiche car il dévoile un aspect peu reluisant de toute l’affaire de notre liquidation qu’il pense avoir été « programmée » :
« … un redressement judiciaire et la dette de quelques millions (au fisc) est gelée. Pas franchement insurmontable, l’administrateur nommé, Me Michel Chameaux, est un expert de la nuit.
En 1997, l’avocat s’est aventuré à Pigalle. Nommé administrateur d’un cabaret mal en point… le Moulin Rouge. « Et nous avons redressé la barre raconte Me Chameaux à Bakchich hebdo. Une opération difficile mais qui s’est finalement bien passée » De quoi créer des liens et favoriser le rachat de la Loco par le Moulin Rouge ? « Pas du tout. Je ne vais pas vous dire que je ne les connais pas, mais ils étaient les mieux disants dans leur offre de rachat. Ils ont été choisis par le Tribunal de Commerce, tout simplement. »
Au moins a-t-il conservé de bons souvenirs de son boulot pour le Moulin, allant jusqu’à en afficher des posters dans son étude.
Souvenirs, souvenirs, qui ont fait tiquer les délégués CFTC de la Loco.
Les syndiqués soupçonnant une collusion…l’administrateur (Michel Chameaux) trainait une vilaine condamnation, tel un bas filé. Complicité de banqueroute, faux en écriture, d’abus de biens sociaux au préjudice d’une société des Hauts de Seine qu’il devait redresser… (Figure du tribunal de commerce de Nanterre, Michel C. a été condamné le 15 février 2008 à 18 mois de prison avec sursis par la 15ème chambre correctionnelle du TGI de Nanterre. Une décision de justice qui n’a pas connue beaucoup de publicité. De fait, selon le greffe, fin avril le jugement n’avait toujours été tapé. Maître C, qui a interjeté appel, exerce toujours son activité professionnelle et demeure vice-président de l’Ordre National des Administrateurs Judiciaires. Il avait été mis en examen pour abus de bien sociaux et faux en écriture il y a plus de deux ans dans le cadre de l’affaire dite ACA Europe. En tant que liquidateur, avec les deux anciens dirigeant, de cette société, il était soupçonné d’avoir falsifié des documents. Oh le vilain doute)…Le Moulin Rouge a finement joué le coup, en rachetant (juste avant) les murs de la boîte. Etgentiment mais fermement, signifié aux autres acheteurs potentiels que la nuit lui appartient.
Par la voix de Me Michel Chameaux, le nouveau proprio (des murs) leur fait savoir  «  Que la société du Moulin Rouge s’opposera à une déspécialisation des lieux »… »

La boucle était bouclée et on m’avait tout volé malgré mon acquittement DEFINITIF par le tribunal correctionnel de Paris des accusations de Fraude fiscal.

La spoliation d’entreprise est un vol légalisé sous prétexte de fraude fiscale par les mêmes acteurs “irréprochables” qui avaient dépouillés “légalement” les juifs tout de suite après l’Armistice.
Nos “élites” sont toujours les mêmes.

Bonnes futures spoliations quand viendra  votre tour.

Et pour reprendre R.Armenante:
Il ne suffit pas aux agents du fisc de Bercy d’être heureux, il faut que les autres soient malheureux.
« Quand les nazis sont venus chercher les communistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste.
Quand ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je n’ai rien dit, je n’étais pas social-démocrate.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste.
Quand ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour protester. »
Pasteur Martin Niemöller

 

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UNE VÉRITÉ LIMPIDE ET SAISISSANTE.

J’ai trouvé cette vérité limpide et saisissante sur Face Book.
Je vous fais profiter de ces quelques mots qui résume notre esclavage et notre combat.

“Si vous voulez déboulonner des monuments concernant l’esclavage, y a les immeubles des impôts.”

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Le Dr Christian Zürcher dénonce des “statistiques falsifiées” et une deuxième vague “mise en scène par les médias et les autorités.”

https://covidinfos.net/covid19/le-dr-christian-zurcher-denonce-des-statistiques-falsifiees-et-une-deuxieme-vague-mise-en-scene-par-les-medias-et-les-autorites/1345/?fbclid=IwAR3DZgZCnAG6fB-E

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L’OCCIDENT VA DISPARAÎTRE par Michel Onfray.

Un  homme qui parle vrai et simplement.
A vous de juger.

https://fr.sputniknews.com/france/202007301044178082-loccident-va-disparaitre-michel-onfray-prononce-sa-sombre-prediction-et-fournit-des-explications–/?fbclid=IwAR1h7C5

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les “300”, parodies sur le Covid. Humour de vacances suite.

version française:
https://www.youtube.com/watch?v=quICbxJ9tSo

version espagnole:
https://www.youtube.com/watch?v=E4THwlHxo5o

Bravo pour cet humour décapant.

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tout chaud, la dernière version parodique de “la chute” sur le Covid (humour décapant)

https://www.youtube.com/watch?v=4kfCJjDBGAA&feature=youtu.be&fbclid=IwAR2RWbkM-LaxM15wYKlubV_h64vAo86x5_DP34LTrycWeptqUv4ZwZL_GrU

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J’AI DÉCIDÉ DE PORTER LE MASQUE (humour en vacances)

Rencontré sur F.B

J’ai vu la lumière et il est évident que je me suis trompée.
Les masques préviennent les virus mais sont également très sûrs.
J’ai décidé de porter mon masque à tout moment.
Je le porterai au magasin, dans ma voiture, sur la plage et je le porterai même à la maison.
J’ai également commencé à porter des préservatifs à tout moment, car la protection à tout moment est très importante.
Si j’ai appris quelque chose, c’est que notre gouvernement nous aime, ne nous ment jamais et a toujours notre meilleur intérêt à l’esprit.
L’histoire montre qu’il faut toujours faire confiance au gouvernement sans aucun doute.
Ils sont grands.
Je vais aussi prendre tous mes vaccins parce que pourquoi quelqu’un voudrait-il nous rendre malades?
Il est temps de faire confiance à toute la science, tout comme nous devrions faire confiance au gouvernement.
J’ai recommencé à boire du fluor parce que le gouvernement le recommande et j’utilise également cet incroyable dentifrice fluoré pour aider à renforcer mes dents.
J’ai commencé à consommer des aliments génétiquement modifiés parce qu’ils sont définitivement les mêmes que les aliments biologiques.
L’alcool fait partie de notre meilleure vie, alors je bois aussi tous les jours.
Plus important encore, je regarde à nouveau la télévision et je reçois toutes mes informations des médias grand public. Ils sont formidables pour nous donner des informations factuelles et j’aime la façon dont ils travaillent directement avec le gouvernement pour nous apporter la vérité et nous dire comment vivre nos vies, nous tenir au courant de tous les derniers points de vue que je devrais avoir, intérêts que je devrais partager, des gens que je devrais détester et des choses à faire pour garder mon identité cachée lorsque je rapporte les actions de mes voisins, amis et surtout des membres de ma famille.
Je veux être comme tout le monde, ce qui est une autre raison de se cacher.
J’adore me tenir sur tous ces petits panneaux sur le sol dans les magasins qui m’indiquent dans quelle direction je devrais aller, alors je me distancie correctement dans le but de protéger tout le monde. C’est aussi très amusant de suivre toutes les flèches dans ces magasins qui vous indiquent où aller, car c’est comme «WHOA! Où m’emmenez-vous ensuite ??? “Tellement amusant!
C’est une course exaltante.
Je suis également désolé pour tout le monde parce que j’ai publié beaucoup de choses qui ont été démystifiées par les vérificateurs de faits et les snopes, donc je suis vraiment désolé de me tromper et je suis heureux que ces sources fiables d’informations factuelles aient pu me corriger.
Il est bon de savoir que les médias veulent que nous ayons tous les informations les plus à jour et les plus exactes à tout moment.
Quoi qu’il en soit, qui est prêt pour ce vaccin anti-covid accéléré?
Je pense que la partie la plus excitante est d’obtenir un vaccin non testé qui contient de l’ADN fœtal avorté.
C’est comme si nous étions des pionniers de l’avenir scientifique et que nous faisons notre part pour que l’humanité se porte volontaire pour ce vaccin afin de prouver notre amour et notre loyauté à nos dirigeants gouvernementaux bien-aimés et transparents qui nous aiment tous sans condition.
Ils font en sorte que je me sente en sécurité, en sécurité et pris en charge.
Et vous?
Sans compter que nous pouvons probablement obtenir la micropuce en même temps afin que le gouvernement puisse nous protéger en nous surveillant encore plus étroitement à tout moment.
Je sais à quel point ce que cela signifie pour eux, alors ce DOIT être une action nécessaire.
Droite?
De plus, avec l’arrivée de la société sans numéraire, nous devrons être bons et suivre les commandes afin d’être payés via notre puce électronique, donc je veux vraiment faire un effort pour être le meilleur citoyen que je puisse être.
Tout dépend de la «nouvelle normalité» que nous contribuerons tous à créer.
C’est incroyable la rapidité avec laquelle tout le monde s’est conformé et cela vous fait réaliser à quel point tout le monde doit vraiment se soucier les uns des autres.
Je veux dire, pourquoi les gens qui sont obèses morbides, qui prennent du fast-food et s’arrêtent au magasin d’alcools, seraient-ils également masqués?
De toute évidence, tout le monde se soucie profondément de la santé et du maintien en bonne santé.
Arrêtez d’être égoïste et faites ce qu’on vous dit, ne sommes-nous pas tous dans le même bateau?
Je veux dire, quelle est la grandeur du Nouvel Ordre Mondial pour nous unir tous et nous rapprocher?
Cela me donne juste la chair de poule de me sentir tellement aimée par ceux qui contrôlent ……..
Et vous?
Joanna Wheeler
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L’ESCROQUERIE OFFICIELLE SANS FIN SUR LE COVID. et c’est pas fini…

MALGRÉ TOUTE LEUR PROPAGANDE DE DÉSINFORMATION, QUI MARCHE A PLEIN RÉGIME, IL NE FAUT CERTAINEMENT RIEN OUBLIER…
ET ILS SE PRÉPARENT A NOUS RE-CONFINER!

et aussi:

ET ILS VEULENT NOUS RE-CONFINER. Voici La Vérité Déconfinée…

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Emmanuel Todd : « Depuis le Covid, nous savons que le mensonge d’Etat règne en France »

Cette interview d’Emmanuel Todd contient bien davantage que la phrase mise en avant par « L’Express » par souci de sensationnalisme, le péché mignon des journalistes…. Le personnage n’est pas vraiment ma tasse de thé, mais il mérite assurément d’être lu. Artofus.

Avant de s’illustrer en essayiste corrosif, l’auteur des Luttes des classes en France au XXIe siècle et de L’Origine des systèmes familiaux est d’abord un chercheur.

 

– Il admet « avoir une prédisposition pour rentrer dans le conflit intellectuel ». Et on le croit sur parole : Emmanuel Todd, godelureau de 69 ans, est l’auteur d’une oeuvre qui comprend, outre de charnus ouvrages érudits, plusieurs essais sociopolitiques violemment abrasifs, ce qui le rend à la fois facile d’accès et complexe. Beaucoup se reconnaissent dans ses embardées lexicales contre les dirigeants politiques ou l’euro ; d’autres l’exècrent pour cette même raison. Mais peu connaissent, au fond, le chercheur traduit dans de nombreux pays, l’Indiana Jones de la statistique historique adulé des Japonais, quoiqu’il ne soit jamais allé au-delà de directeur de la bibliothèque de l’Ined en matière de reconnaissance universitaire hexagonale. Depuis plus de quatre décennies, cet historien, démographe et anthropologue explore l’influence structurelle des systèmes familiaux sur les sociétés. Partout, et depuis que l’homme est l’homme. Une vie n’y suffirait pas. Autant dire le bonheur, pour Emmanuel Todd.

Difficile, en présence d’un spécialiste des systèmes familiaux comme vous, de ne pas commencer cet entretien par l’évocation de vos origines. D’où venez-vous, Emmanuel Todd ?

Emmanuel Todd : J’ai grandi à Saint-Germain-en-Laye, banlieue bourgeoise, dans une famille ruinée par la guerre. Nous vivions dans un appartement un peu délabré, avec mes arrière-grands-parents maternels, Robert Alphen et Germaine Hesse, descendants de juifs émancipés par la Révolution française, qui ont beaucoup compté pour moi. Ma grand-mère, elle, était la veuve de l’écrivain communiste Paul Nizan, le personnage célèbre de la famille.

Du côté paternel, vous ne manquiez pas non plus de figures intimidantes…

Mon père, le journaliste Olivier Todd, un ancien de L’Express et surtout du Nouvel Observateur, est le petit-fils de Dorothy Todd, ex-rédactrice en chef de Vogue,lesbienne flamboyante. Quand j’étais enfant, mon père m’effrayait. C’était un séducteur, il me parlait avec brutalité – une partie de mon affection pour l’historien Emmanuel Le Roy-Ladurie, un proche de la famille dont j’ai suivi les cours plus tard, tient au fait qu’il était, lui, extrêmement gentil. Mais, à l’âge adulte, il m’a été d’un grand soutien intellectuel. Nous avions comme un accord tacite : à lui les femmes, à moi les livres savants !

C’est lui que vous avez cherché à impressionner en vous lançant au fil de vos livres dans une « esquisse de l’histoire humaine » de ces 100 000 dernières années ?

Venir d’une famille originale est stimulant, mais, au-delà des défis et des rivalités intrafamiliales, il y a les hasards de l’existence. Ma fixation sur l’Histoire a été précoce. Dès l’âge de 10 ans, je lisais des récits sur la Rome antique ou la Renaissance.

Comment avez-vous eu l’idée d’associer aussi étroitement l’histoire à la statistique ?

J’ai fait de l’histoire à la Sorbonne, parallèlement à Sciences po. C’est là que j’ai découvert l’école des Annales,qui embrasse le temps long en croisant toutes sortes de champs, dont la démographie historique. Les cours de Jacques Dupâquier étaient extraordinaires. Quand je le voyais sortir de sa sacoche des listes d’habitants et des extraits de registres paroissiaux, j’adorais ! Et c’est à Cambridge que je suis devenu une sorte de technicien des structures familiales. Je voulais quitter la fac, apprendre l’anglais. Je me suis envolé là-bas, où j’ai suivi les cours de l’historien Peter Laslett, grand spécialiste de la question, qui fut mon directeur de thèse. J’avais – j’ai toujours – un rejet absolu du verbeux.

« J’ai été élevé contre la culture française »

Alors que l’époque, elle, en avait à revendre, avec ses stars structuralistes…

En ce sens-là, on peut dire que j’ai été élevé contre la culture française. La tradition intellectuelle de la famille, c’était Les Chiens de garde, où Paul Nizan met en boîte la philosophie bourgeoise. Ce qui explique pourquoi mes livres comportent des lignes désagréables pour Foucaultou Bourdieu. Le fumeux est pour moi un marqueur du caractère petit-bourgeois de la culture hexagonale. Je n’écris jamais de façon très compliquée, mais je tente de jouer de tous les instruments : l’économie, la sociologie, la géographie, l’anthropologie bien sûr.

Dès votre premier livre, La Chute finale, vous réussissez un coup de maître en donnant l’URSS pour morte dans les trente ans à venir – ce sera quinze – sans n’y jamais avoir mis les pieds. Puissance de la statistique, culot monstre : tout Emmanuel Todd est déjà là, non ?

Cela pouvait paraître arrogant, en effet – mon père avait transmis le manuscrit à son ami éditeur, le philosophe Jean-François Revel -, mais, en réalité, j’étais très timide à l’époque, je venais de passer mon doctorat d’histoire, j’étais un très gros bosseur. Lors d’un séjour en Hongrie, je découvre un pays qui correspond un peu à la France des années 1950. Je lis dans un annuaire statistique de l’ONU que le taux de mortalité infantile russe remonte – du jamais-vu dans un pays industrialisé. Et là, j’ai l’intuition que le système est miné de l’intérieur. J’analyse, j’ajoute la chute brutale de la fécondité, qui indiquait une évolution rapide des mentalités, le taux de suicide élevé, l’économie… Ce n’était pas du culot, mais une sorte de certitude d’avoir raison à partir de quelques chiffres. Quant au fait de n’avoir jamais été en Russie… Je suis dix-huitiémiste, et le XVIIIe siècle, je n’y suis jamais allé non plus !

Cette intuition première vous conduit ensuite à recouper la carte du communisme avec celle de la famille de type communautaire…

Pour moi, le lien logique était extrêmement simple. Le communisme, c’est l’égalité et l’autorité. Deux valeurs qui sont aussi au coeur de la famille communautaire, dans laquelle les fils sont associés au père, et héritent à parts à peu près égales. J’ai élargi ce constat en mettant en rapport les types familiaux traditionnels avec les idéologies dans La Troisième Planète et L’Enfance du monde, au début des années 1980, puis en étudiant la différenciation de ces formes familiales en Eurasie dans le tome I de L’Origine des systèmes familiaux.

Quels sont les grands types familiaux dégagés par vos travaux ?

La famille des origines, celle d’Homo sapiens, correspond à la famille nucléaire, évoluant dans un groupe local. Elle se compose du couple conjugal et des enfants, qui s’éloignent à l’âge adulte. La parenté du père est équivalente à celle de la mère ; les familles se regroupent localement. Il faudra cinq mille ans pour que les types familiaux se différencient, à partir de l’invention de l’écriture, à Sumer, en Mésopotamie, vers 3300 avant l’ère commune. La densification de l’agriculture au Moyen-Orient va amener la différenciation. Cela donne, premier temps de l’évolution, la famille souche – des ménages où cohabitent jusqu’à trois générations, avec un héritier unique, le plus souvent l’aîné des garçons, et l’affirmation de l’autorité paternelle.

Dans un deuxième temps, tous les fils restent sous contrôle paternel, et l’on obtient la famille communautaire. La famille restée nucléaire intègre aujourd’hui tous les pays anglo-américains, la France, l’Italie du Sud, l’Espagne du Centre et du Sud. Dans la catégorie souche se classent l’Allemagne, le Japon, la Corée du Sud, le sud-ouest de la France. Et dans les divers types communautaires, la Chine, la Russie, l’Inde du Nord. Le monde arabe ajoute, troisième temps, le mariage entre cousins au communautarisme familial.

« Je suis tombé malade à force de me faire insulter »

Vos recherches montrent que les structures familiales et la religion sont des mécanismes souterrains qui déterminent les valeurs politiques et les performances éducatives des sociétés, même lorsqu’elles ont été transformées par la modernité. Pourquoi cette clef d’interprétation du monde vous a-t-elle valu autant de critiques de vos pairs ?

J’étais persuadé qu’on allait me récompenser pour mon travail, et au lieu de ça, on m’a accusé de porter atteinte à la liberté humaine ! Les universitaires refusaient de lire les données et de débattre. Ce fut un vrai choc pour moi. J’ai fini par admettre que les sociétés ne voulaient pas connaître la vérité sur elles-mêmes. L’Occident individualiste a besoin de croire en la liberté absolue de l’individu, alors que l’individualisme moderne est déterminé par la famille nucléaire.

« Le patriarcat n’est pas l’archaïsme que l’on pense, mais le résultat de l’évolution des sociétés depuis Homo sapiens », analysez-vous. C’est ce qui s’appelle aller à rebours d’une idée dominante.

Patriarcat, genre, domination masculine… Tout cela est bien imprécis au regard des données accumulées par l’anthropologie. Surtout, on imagine un statut de la femme qui, parti de très bas, est en voie d’amélioration. Or, sur les cinq mille dernières années, la tendance est inverse. Dans la famille de l’humanité primitive, les hommes et les femmes avaient des rôles bien typés : aux femmes la cueillette et la reproduction, aux hommes la chasse, la défense du groupe et des enfants.

Avec l’agriculture sont apparus de nouveaux conflits, et avec eux la montée en puissance d’un statut masculin dominant, ainsi que l’invention des systèmes patrilinéaires, marginalisant la femme. Le féminisme moderne est né sur la frange occidentale de l’Eurasie et aux Etats-Unis, monde périphérique où avait survécu le couple originel des chasseurs-cueilleurs. Notre modernité prolonge donc un archaïsme. Mais les progrès de l’avortement sélectif des foetus de sexe féminin en Chine, en Inde, en Géorgie ou au Kosovo suggèrent que l’Occident est loin d’avoir gagné.

Il y a comme deux Emmanuel Todd : le chercheur novateur et le coupeur de têtes, qui éreinte Nicolas Sarkozy, Emmanuel Macron et les élites. Le second n’aurait-il pas tendance à éclipser le premier ?

Je ne dirais pas « éclipsé », bien que je semble avoir une prédisposition pour rentrer dans le conflit intellectuel, c’est vrai. La Chute finale était déjà assez polémique, tout en utilisant un matériau très scientifique. La controverse et la science sont sur le même registre, celui de la clarté et de la franchise. Mais l’important est qu’on puisse bien distinguer l’une de l’autre. Prenons mon engagement contre l’euro. J’ai très tôt eu l’intuition qu’il ne fonctionnerait jamais, parce que ma connaissance intime des différences européennes rendait inenvisageable l’idée que l’Allemagne, l’Italie et la France puissent fonctionner de façon homogène avec une monnaie commune. Je suis rentré dans le débat en me disant que les gens devaient connaître cette vérité.

Votre essai Qui est Charlie ?, dans lequel vous souteniez que les manifestants du 10 et 11 janvier 2015 étaient majoritairement des catholiques culturels « laïcards », voire islamophobes, c’était la provoc de trop ?

Pas la provoc de trop, un dépassement de la limite. Je reconnais que je me suis posé en juge de mon propre pays : l’unanimisme des classes moyennes, leur bonne conscience m’avaient mis hors de moi. Mais mon constat statistique était rigoureux. Je suis tombé malade à force de me faire insulter. Reste que ce livre est l’une des choses dont je suis le plus fier. J’ai fait face. En général, je ne me considère pas comme un intellectuel, mais comme un chercheur ; je n’interviens dans les débats que lorsque je pense détenir des éléments qui apportent quelque chose ou contredisent des attitudes majoritaires absurdes.

Dans Le Destin des immigrés, par exemple, j’explique que notre modèle d’intégration bute non pas sur l’islam, mais sur la structure familiale arabe patrilinéaire et endogame ; autrement dit, sur une différence anthropologique. Mais Qui est Charlie ?, au-delà de ses coefficients de corrélation, a fait de moi un intellectuel français dans la plus pure tradition, qui intervient pour dire ce qui est, selon lui, juste.

D’un côté, vous constatez, rassérénant, que la démocratie, est la première forme politique de l’humanité. Mais de l’autre, vous la décrivez comme « originellement xénophobe ». Les démocraties dites illibérales d’Europe de l’Est, comme la Hongrie ou la Pologne, vous semblent donc tout sauf un accident de l’histoire ?

« La chute du système démocratique n’est pas un drame absolu »

La démocratie des origines, telle qu’on peut l’observer dans les communautés primitives, à Athènes ou dans les républiques bouddhistes de l’Inde ancienne, est une association des adultes de sexe masculin qui se réunissent pour prendre des décisions, désigner des chefs et les contester. Elle va de pair avec la famille nucléaire d’Homo sapiens. La montée en puissance des formes politiques autoritaires a correspondu à la complexification ultérieure des structures familiales. La démocratie concrète, c’est donc un peuple particulier qui s’organise sur un territoire particulier, et qui se situe par rapport à des voisins. Si l’on est sérieux en termes de concepts, la Pologne actuelle est à la fois plus xénophobe et plus démocratique que la France. Elle rejette les immigrés, mais elle organise des élections qui ont un sens, elle a une monnaie, son gouvernement peut prendre des décisions.

En France, nous disposons encore de la liberté d’information et de vote, mais comme notre gouvernement n’a aucun pouvoir sur la monnaie et le commerce à cause de la gangue européenne, notre pays n’est plus qu’une composante d’un système oligarchique multinational. On a évidemment le droit de préférer – aucune ironie ici – ce système à une démocratie américaine de type trumpiste, où la xénophobie anti-mexicaine a contribué à la victoire d’un candidat populiste…

Mais peut-on encore parler de démocratie dans le cas d’un président qui, comme Donald Trump, trompe ses électeurs en propageant de fausses informations, ou méprise la justice en graciant son ex-conseiller condamné à quarante ans de prison pour avoir menti aux juges à son propos ?

On est dans un système ouvert avec des imperfections, en crise même, et il faut aussi parler des délires mensongers de la presse de l’establishment américain.

Sauf que les médias ne sont pas élus, eux…

Les Américains restent largement informés, et la possibilité de l’alternance politique reste ouverte. Mais être démocrate, pour moi, c’est d’abord faire le ménage là où l’on peut agir, comme en France, où nous savons, depuis le Covid, que le mensonge d’Etat règne ! Cela étant, la chute du système démocratique n’est pas un drame absolu. L’essentiel de l’histoire humaine n’est pas la démocratie, mais de grands mouvements de fond, des flux et des reflux… Un vieux professeur m’a dit un jour, au sortir d’une conférence contre l’euro : « M. Todd, arrêtez de souffrir : même si vous ne pouvez pas agir sur l’Histoire, elle ne s’arrêtera pas ! » Me voilà arrivé à 69 ans, nous sommes toujours dans l’euro, Macron parle, parle, parle… Et pourtant, je reste jovial. L’Histoire, en effet, continue et reste passionnante. Et l’homme ira dans les étoiles…

*A lire au Seuil :

La Chute finale (1976)

L’Invention de l’Europe (1990)

Après l’Empire (2002)

L’Origine des systèmes familiaux, t. I, L’Eurasie (2011)

Le Mystère français, avec Hervé Le Bras (2013)

Où en sommes-nous ? (2017)

L’Express. 26 juillet 2020.
Propos recueillis par Claire Chartier,

https://www.lexpress.fr/actualite/emmanuel-todd-depuis-le-covid-nous-savons-que-le-mensonge-d-etat-regne-en-france_2131227.html

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ET ILS VEULENT NOUS RE-CONFINER. Voici La Vérité Déconfinée…

https://www.facebook.com/laveritedeconfinee/videos/280410373188181

 

🇩🇪🌍 Voici ACU, un collectif de centaines de chercheurs, médecins, juristes et tous types d’experts du système sanitaire, juridique, social et économique.
Cette initiative citoyenne Allemande vise à établir une (vraie) commission d’enquête sur les crimes gouvernementaux relatifs à la supercherie meurtrière mondiale autour du COVID19.
Ils dénoncent la fraude statistique, la corruption des institutions, les mesures liberticides disproportionnées et les dangers du vaccin ARN. Puisque le complot est mondial et vise toute l’Humanité sans distinction, l’enquête dépasse les frontières allemandes, elle vise l’État profond dans son intégralité : ACU est maintenant soutenue par des intervenants de différents pays.
Ceci est une présentation du projet par les Professeurs Haditsch, Schiffmann et Schöning.
Prenez le temps de regarder (⏱~30 mins) ou de lire la transcription (lien en fin de publication).
🗣” Étant donné que ni les parlements, ni les partis d’opposition, ni les partis au pouvoir n’ont convoqué de commission et que celle-ci n’en est même pas au stade de la planification, il est grand temps que nous prenions les choses en main.
[…] les agences gouvernementales n’exposent pas ces choses en grand et, en fait, cela semble être une mise en scène.
Car les données scientifiques montrent déjà qu’il n’y a pas de base pour ces mesures. Nous nous demandons donc tous, y compris dans le monde des affaires – même si ce sont surtout des vies humaines qui sont en jeu ici – à qui tout cela profite ?”
🗣 “C’est une ignorance effrayante de la part d’études internationales reconnues et d’experts de tous les domaines, qu’ils soient virologistes, bactériologues, épidémiologistes ou même économistes, qui ne sont tout simplement pas entendus ou sont ignorés. Pire encore, on les traite de menteurs, de charlatans ou de théoriciens du complot, ce qui ne manquera pas de devenir le mot d’ordre de l’année 2020.
Au lieu de cela, on annonce une vaccination qui peut être très dangereuse, une vaccination sans nécessité médicale.
Il n’y a même plus assez de personnes en
Allemagne qui tombent malades pour qu’un vaccin puisse être testé sur elles. Et il s’agit d’une nouvelle forme de vaccination, dite à ARN, qui, contrairement aux vaccinations précédentes, est capable de modifier le matériel génétique. Et peut causer des dommages incalculables aux
personnes.”
🗣 “Nous, les citoyens, devons retrouver notre souveraineté et nous en prenons aussi le droit, parce que nous l’avons.
[…] Cette enquête est nécessaire car, dès le départ, soit par négligence grave, soit délibérément, sans le devoir de diligence nécessaire, c’est-à-dire sans la moindre considération pour les dommages collatéraux, des décisions irresponsables et inappropriées ont été prises, qui ont également porté atteinte aux droits démocratiques fondamentaux et foulé aux pieds les devoirs éthiques.
Que ce soit finalement non intentionnel, c’est-à-dire basé sur l’ignorance, ou intentionnel – ce qui aurait alors été fait avec des motifs douteux – est en fait sans importance. En tout état de cause, cela disqualifie les décideurs eux-mêmes.”
▶️ Consulter/Télécharger la transcription (en français) :
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“L’Obsolescence de l’homme”, par Gunther Anders.

Les français deviennent de plus en plus des veaux.
De Gaulle ne s’était pas trompé.
80 km/h, pas de masques puis obligation des masques, confinement et certainement re-belote, taxes et re-taxes etc…
Le tout pour notre bien!

“L’Obsolescence de l’homme”, 1956, Gunther Anders, extrait :
« Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes.
L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif.
Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser. On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.
En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur.
L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutiennent devront ensuite être traités comme tels.»
et aussi et toujours 1984 de G.Orwell
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BIENVENUE DANS LE MONDE D’APRÈS.

Même Georges Orwell ne pouvait l’imaginer.
Les chinois l’ont fait.
Ne riez pas, bientôt chez vous.

« Quand les nazis sont venus chercher les communistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste.
Quand ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je n’ai rien dit, je n’étais pas social-démocrate.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste.
Quand ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour protester. »
Pasteur Martin Niemöller

https://www.facebook.com/george.aroyan.9/videos/699999634067956

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La chute de la maison Traoré par Frédéric Mas.

Adama Traoré a été reconnu coupable du viol de son compagnon de cellule : l’affaire signe la fin de l’entreprise politique de la famille Traoré et nous donne une leçon sur le fonctionnement politique du pays.

 

Finalement, la presse s’est faite l’écho de l’agression sexuelle sordide perpétrée par Adama Traoré envers son ancien codétenu, qui a été dédommagé pour cela le 12 mars dernier. Sur les réseaux sociaux, au hashtag #JusticepourAdama a succédé celui d’#Adamalevioleur. Ce changement signe la fin d’une aventure politique construite contre les « violences policières », et qui a cherché à s’inscrire dans le sillon du mouvement de protestation venu du monde anglo-américain après la mort de George Floyd.

La décision de justice condamnant Adama Traoré date du 12 mars dernier. Il y a donc un petit moment que tout le monde connaissait les antécédents violents du personnage, en particulier au sein des médias. Cela n’a pas empêché ces mêmes médias de porter aux nues la « cause » d’Assa, la sœur d’Adama au point d’en faire une nouvelle Angela Davis adaptée à notre temps.

LES FÉMINISTES EN VACANCES

Alors que tous les mouvements et associatifs féministes officiels protestent contre la nomination de Gérard Darmanin pour une affaire de viol, les réactions face à la chute de la maison Traoré sont inexistantes. Sans doute faut-il mettre ça sur le compte des vacances d’été, et en déduire que les féministes les plus vocaux -pas tous, bien heureusement !- sont juilletistes.

Le comité Adama s’était allié aux écologistes le 18 juillet dernier pour manifester. À peine 3000 personnes se sont déplacées, essentiellement issues de groupuscules d’ultragauche, pour faire converger les luttes « antiraciste » et climatique. Parmi les manifestants, des élus de la République écolos, féministes, antiracistes etc. Cela aurait dû mettre la puce à l’oreille des commentateurs.

Comme l’écologie politique, qui sature l’espace médiatique mais fait un score ridicule dans les urnes, l’entreprise politique d’Assa Traoré était omniprésente dans les magazines, sur les plateaux télé et à la télévision, mais inexistante sur le terrain. Plus encore, les faits et les personnages, comme avant le tournage d’une scène de film, étaient maquillés pour que disparaissent les mauvais profils et que puissent défiler côte à côte les revendications les plus hétéroclites, et surtout les plus incompatibles entre elles, le tout toute honte bue.

LA COMPLAISANCE DES ÉLITES

Ce rebondissement dans l’Affaire Traoré est une leçon adressée à tous. La défiance n’a pas seulement pour origine le populisme ou le complotisme supposé des citoyens.

Elle s’étend aussi à cause des complaisances du « parti des médias » comme de pouvoirs publics prêts à tout pour un peu de popularité, y compris frayer avec ce genre d’entrepreneurs politiques.

La politique est devenue un business visant à obtenir de l’argent public et du pouvoir en jouant sur vos émotions et vos frustrations. Injustice, racisme, sexisme, violences policières, tout est bon pour alimenter les groupes d’influence, mais attention, ceux-ci resteront sélectifs. Tout cela reste essentiellement du théâtre.

Le « bon » antiracisme ou le « bon » féminisme sur le marché politique est celui qui portera ses représentants aux portes du pouvoir, certainement pas celui dont le citoyen ordinaire, celui qui vit loin des ministères, a besoin.

C’est la concentration de pouvoir au sommet de l’État qui attire la convoitise des entrepreneurs identitaires, c’est donc par la dépolitisation et la décentralisation qu’on limitera leur influence sur la vie des Français. Le marché reste ainsi l’antidote à l’instrumentalisation partisane de l’antiracisme.

La chute de la maison Traoré

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COMME LES “HAUTS FONCTIONNAIRES” DE BERCY, LES “SAGES ” SE SUCRENT EN TOUTE ILLÉGALITÉ SUR NOTRE DOS!

Après Bercy (https://temoignagefiscal.com/bercy-lempire-du-mal-et-la-citadelle-de-tous-les-abus/) , les  membres du Conseil Constitutionnel s’octroient, comme pour Bercy, des salaires et autres avantages (que nous payons) en toute illégalité comme dans les meilleurs républiques bananières…

Voir le reportage d’Antenne 2:
https://www.facebook.com/franceinfo/videos/1023206061468240

 

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CHIFFRES OFFICIELS (INSEE) des décès en France.

Où est l’augmentation avec le Covid?

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Cette ultraviolence avec laquelle les Français vont devoir apprendre à vivre.

CAUCHEMAR QUOTIDIEN.
Les actes de violence gratuite explosent de manière effrayante, fruits de la rencontre sur notre territoire entre des cultures insolubles. Un constat que le politiquement correct français n’autorisera jamais, ruinant nos chances de trouver des solutions.

Les faits ignobles de violence gratuite s’enchaînent et se ressemblent en ce début du mois de juillet.

A Bayonne, le chauffeur de bus Philippe Monguillot a été assassiné pour avoir demandé à des passagers d’acheter un ticket et de porter un masque. Dans le Lot-et-Garonne, la jeune gendarme Mélanie Lemée a été tuée par un chauffard multirécidiviste qui tentait de forcer un barrage. A Nantes, c’est une quarantenaire qui a été rouée de coups à six contre un lors du vol de son scooter. A Etampes, c’est un sapeur-pompier qui a été blessé par balles lors d’une intervention. A Montpellier, ce sont des jeunes qui ont été agressés au couteau dans le tramway, sans aucune autre raison que le plaisir de faire mal. Et des faits comparables se déroulent tous les jours, un peu partout.

Bien que totalement éludé par les journalistes chargés d’interroger Emmanuel Macron le 14 juillet, le sujet est dans l’air, et l’exaspération monte. Et comment ne pas être exaspéré après avoir constaté lors du confinement l’assiduité policière à verbaliser le quidam sur des chemins de forêt perdus ou des plages dynamiques vides, tandis que les jeunes de cités s’affichaient crânement autour d’un narguilé en bas de leur immeuble ?

Il y a déjà longtemps que nous ne sommes plus dans du simple deux poids deux mesures, ni dans l’habituelle faiblesse envers les forts et la force envers les faibles. Nous sommes au-delà, dans un séparatisme de fait, où une partie décroissante de la population française accepte encore de jouer le jeu de l’autorité, de payer ses amendes docilement et de respecter les lois, tandis que les autres s’affranchissent impunément de toutes les règles et tous les usages. Les principes élémentaires d’une vie en société – un territoire, un Droit applicable – s’effondrent sous nos yeux.

Une situation sans espoir

Malheureusement, aucune solution ne pourra être apportée à ce problème car pour ce faire, la France devrait faire une chose interdite par la Justice, l’Education nationale, les partis politiques, les médias, les militants et les réseaux sociaux : se confronter à la triste réalité des faits.

Le docteur Maurice Berger, psychiatre auprès de jeunes délinquants en centre éducatif fermé, nous éclaire pourtant sur cette violence gratuite dans son dernier livre intitulé : « Sur la violence gratuite en France », publié aux éditions de l’artilleur. Et contrairement au discours dominant, les causes n’ont rien d’économiques ou sociales, mais sont avant tout psychologiques et culturelles.

Les jeunes ultraviolents ont généralement été abandonnés, violentés ou méprisés par leurs parents. Si leurs besoins vitaux élémentaires de nutrition ou de propreté ont été assurés, leur besoins d’interactions, d’affection ou de jeux ont été totalement négligés. Ces jeunes se trouvent alors décalés par rapport au monde, parfois psychopathes, incapables de penser normalement, de se concentrer, d’imaginer, de faire semblant, ce qui explique qu’ils n’arrivent pas à situer les conséquences de leurs actes et qu’ils commettent dans le réel des atrocités dont ils auraient dû normalement comprendre le caractère ignoble lors de jeux. Plus terrifiantes encore sont les conséquences neurologiques, entre violence exacerbée et incapacité totale à identifier les émotions d’autrui ni ressentir d’empathie, qui peuvent les pousser à commettre les pires horreurs sans aucun remord.

Malheureusement, le docteur Berger a franchi une ligne rouge en donnant une précision qui lui vaudra d’être isolé et lynché : une écrasante majorité des enfants concernés est d’origine maghrébine.

Perdu. Tabou invoqué. Quiconque évoquera ce sujet sera voué aux gémonies, et le problème sera enterré. Il y a en France des sujets interdits.

La rencontre du feu et de l’huile

Nulle part pourtant il n’est question de mettre en avant un quelconque déterminisme racial ou une quelconque pensée raciste. Le sujet est au contraire pleinement culturel et la flambée de violence gratuite est le résultat de la rencontre de deux cultures insolubles. D’un côté, une culture patriarcale violente et négligente envers ses enfants, qui crée des bombes humaines à la chaîne ; et de l’autre une culture française lâche et laxiste dont la justice et l’éducation nationale se refusent à donner à ces enfants perdus les repères dont ils ont tant besoin.

Il n’y a malheureusement pas de recul possible en matière de multiculturalisme. Sous l’implacable pression démographique qu’elle orchestre elle-même par son Etat Providence, la culture française devient peu à peu une parmi d’autres sur son propre sol, incapable d’imposer ses principes et son droit aux autres cultures qui la réprouvent.

Tel est le prix à payer pour un pays qui oublie que sans normes et sans valeurs communes, il n’est pas de vivre ensemble possible, et que sans vivre ensemble aucune sécurité n’est envisageable (car la police peut bien être dévouée, il n’y a pas de meilleure sécurité qu’un voisin qui veut votre bien plutôt que votre mort).

Cette volonté de vivre ensemble, Ernest Renan la nommait « Nation ». Mais le mot aujourd’hui sent le soufre. Le Front National. Les heures les plus sombres. L’horreur, quasiment le nazisme.

L’alternative à l’Etat-Nation, c’est la société multiculturelle comme aux Etats-Unis, au Sri Lanka, en Suède ou en Belgique, qui subissent dans des proportions diverses des problèmes comparables aux nôtres.

Nous sommes donc engagés dans un mouvement démographiquement implacable, qui fait naître des problèmes graves dont nous nions l’existence avec la plus grande force, par pure idéologie. Dans ces conditions, aucun espoir de trouver une solution n’est permis, et les français vont devoir apprendre à vivre avec la violence gratuite au quotidien, partout, et tout le temps.

Depuis nous avons eu le meurtre d’Axelle Dorier à Lyon.
Fauchée puis traînée sur 800 m par une voiture après avoir écrasé son chien!

https://www.atlantico.fr/decryptage/3591183/cette-ultraviolence-avec-laquelle-les-francais-vont-devoir-apprendre-a-vivre-nicolas-moreau?fbclid=IwAR1xNgIcw-E5YTJk0lWmX4Pu4aiGNYS-Il7ywISP7T25DW

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Pour en finir avec la bureaucratie  Par Marc Vignaud et Géraldine Wœssne

La crise du coronavirus a révélé l’asphyxie administrative dont souffre la France, particulièrement au sein de l’hôpital. Comment l’État peut-il se réformer ?

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Plan de relance européen : la défaite en chantant par Natacha Polony

“On comprend à quel point les efforts désespérés des vendeurs de rêve pour nous dessiner un monde en rose où l’Union européenne serait soudain devenue la nation bienveillante d’un peuple unifié frôle l’escroquerie”, écrit Natacha Polony.

« Historique », « le moment le plus important depuis la création de l’euro »… Il devient chaque fois un peu plus difficile de trouver un nouveau superlatif pour qualifier les accords européens arrachés par un Emmanuel Macron visiblement conscient qu’il n’a plus que cela pour tenter de laisser une trace dans l’Histoire. On a même vu fleurir ces derniers mois l’expression « moment hamiltonien », reprise en chœur par des commentateurs ravis, pour nous faire savoir qu’enfin, l’Europe fédérale tant attendue était à nos portes.

Si l’on sort une seconde des clichés pour analyser, non seulement les termes de l’accord, mais ce qui l’a rendu possible et ce sur quoi il peut déboucher, on comprend en fait à quel point les efforts désespérés des vendeurs de rêve pour nous dessiner un monde en rose où l’Union européenne serait soudain devenue la nation bienveillante d’un peuple unifié frôle l’escroquerie. Résumons : le coronavirus est venu frapper de plein fouet des économies, celles des pays du sud de l’Europe comme celle de la France, que la désindustrialisation massive avait rendues totalement dépendantes des secteurs que, justement, cette épidémie vient percuter, en premier lieu le tourisme.

MARCHÉ DE DUPES

Cette désindustrialisation, dans le cas de la France, est la conséquence d’une idéologie délirante de ses classes dirigeantes, qui ont bradé ses fleurons au nom de l’ouverture à la mondialisation et qui ont choisi la banque et la grande distribution contre l’industrie et l’agriculture. Mais elle est également, comme pour l’Italie ou l’Espagne, la conséquence d’une surévaluation systématique de la monnaie unique qui ne laisse d’autre choix que la « dévaluation interne », c’est-à-dire, côté entreprises, le chômage de masse, et, côté Etat, les coupes budgétaires sur les infrastructures, les services publics et les investissements.

Le coronavirus a frappé une Europe qui ne s’était toujours pas remise de la crise de 2008, crise qui aurait dû entraîner l’éclatement de la zone euro, tant les déséquilibres étaient devenus intenables. Mais il fallait à tout prix empêcher que la Grèce, comme aujourd’hui l’Italie, ne sorte de la monnaie unique, lançant une réaction en chaîne. On sait comment les choix démocratiques du peuple grec, comme leur santé, leurs retraites, leur patrimoine national, ont été sacrifiés sur l’autel de cette noble cause…

Comment s’inscrit dans cette histoire l’accord de cette semaine ? Il est la simple continuation d’un marché de dupes. Non pas qu’il faille se scandaliser d’une mutualisation des dettes, comme le font ceux qui, de toute façon, ne veulent pas d’une Union européenne. Mutualiser les dettes devrait constituer le premier pas d’une véritable solidarité des pays européens entre eux, comme, au sein d’un pays, les régions les plus riches paient pour les plus pauvres afin de rééquilibrer les inégalités territoriales. Dans le cas de l’UE, ce serait d’autant plus nécessaire que, disons-le clairement, la prospérité florissante des pays dits « frugaux », comme celle de l’Allemagne, s’est largement faite sur le dos de leurs voisins. N’allons pas jusqu’à évoquer le confortable statut de paradis fiscal des Pays-Bas, mais bénéficier d’un marché totalement ouvert et d’une monnaie sous-évaluée de 15% pour la taille de son économie constitue un avantage pour lequel l’Allemagne – c’est tout le sens des choix d’Angela Merkel – est prête à beaucoup de « mutualisation ». D’autant qu’en fait de concessions, les pays « frugaux » ont arraché des avantages effarants. Par rapport au projet initial du président du Conseil Européen, Charles Michel, l’Autriche a obtenu une augmentation de ses divers rabais de 138% !

DINDON DE LA FARCE

Et la France, dans tout ça ? Le dindon de la farce, comme à chaque fois. Prête à tout sacrifier, non pour défendre les intérêts des citoyens français, son industrie, son agriculture, mais pour sauver le fantasme d’une Europe idéale. Puisque ce ne sont pas les pays frugaux qui paieront, ce seront, dixit Emmanuel Macron lui-même, la France et l’Allemagne. A ceci près que l’Allemagne, elle, y a tout intérêt. La catastrophe serait pour elle une explosion de la zone euro. Et pour l’heure, elle a les moyens de lancer un plan de relance sept fois plus important que celui de la France, et qui consistera, non à payer du chômage partiel, mais à investir dans les industries d’avenir.

Que faudrait-il faire ? Se battre, bien sûr, pour rééquilibrer une construction monétaire inaboutie, bancale, aux conséquences catastrophiques – mais on ne peut le faire si l’on aspire avant tout à rester dans l’Histoire comme l’architecte de l’Europe fédérale. Mettre dans la balance le poids de la France, non pour supplier les Pays-Bas de bien vouloir mutualiser une partie des dettes, mais pour leur interdire tout dumping fiscal, et pour exiger que la BCE fasse tourner la planche à billets, comme le fait tout pays indépendant qui veut sauver son économie.

La crise qui se dessine risque d’être pour la France un pas de plus vers la perte de ses capacités productives. Elle pourrait être salutaire si elle est l’occasion, non d’un rafistolage à coup de chômage partiel, mais d’un investissement massif dans la réindustrialisation du pays. Le début de la reconquête. Voilà qui serait vraiment historique.

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FILLON, COMPLOT ou PAS COMPLOT?

COMPLOT ou PAS COMPLOT?
A VOUS DE JUGER…

Les révélations de l’ancienne présidente du parquet national financier (PNF), Éliane Houlette, sont explosives. Elle admet avoir subi d’énormes pressions de la part de sa hiérarchie pour instruire, dans l’urgence, le dossier du candidat LR à la présidentielle, François Fillon, qui était promis à l’Élysée. Et cela grâce aux « fuites » relayées par Le Canard Enchaîné. Elle avoue donc que la victoire de Macron en 2017 est la conséquence d’un véritable coup d’État médiatico-judiciaire.

François Fillon. Photo © Thibault Camus/AP/SIPA

Philippe Fontana, avocat au barreau de Paris, commente les « pressions » qui auraient été exercées sur Éliane Houlette, alors patronne du parquet national financier, dans l’enquête sur l’affaire Fillon. Tribune.

On pressentait que la manœuvre judiciaire pour exclure François Fillon, favori des dernières présidentielles, avait été menée de main de maître, sans en distinguer alors avec certitude ses contours.

La décision de confier l’enquête au parquet national financier, créé par une loi du 6 décembre 2013, avait étonné, voire scandalisé ; elle fut en tout cas critiquée par certains des plus éminents spécialistes du droit pénal.

Le terme de « coup d’État » avait même été employé au grand dam des plus sceptiques, des plus cartésiens, des plus crédules ou des moins bien informés de nos concitoyens.

Cette incrédulité était renforcée par les déclarations du ministre de la Justice de l’époque : « Imaginer aujourd’hui que des instructions aient pu être ordonnées (…) est tout simplement absurde, parce qu’illégal ». Ces déclarations avaient été appuyées par le syndicat majoritaire des magistrats, l’USM.

Après les aveux devant la représentation nationale par Éliane Houlette, l’ancienne chef du PNF, des pressions subies par son supérieur hiérarchique, ce pressentiment s’est transformé en certitude.

Rétrospectivement, ses déclarations procurent du crédit à ses contempteurs, lors de l’affaire Fillon. Revenons sur le caractère illégal de ces pressions, leur portée et surtout sur la description du mécanisme dont l’assemblage des mouvements a été patiemment monté par la gauche judiciaire, à l’époque au pouvoir.

Les pressions dénoncées auraient été exercées par le supérieur hiérarchique du PNF, qu’est le procureur général de la Cour d’appel de Paris. En effet, aux termes des dispositions du code de l’organisation de la justice, le parquet financier est placé « aux côtés du procureur de la République du tribunal judiciaire de Paris ».

Elles auraient pris la forme de demandes d’informations incessantes, de rapports, de messages comminatoires, d’une convocation « a minima ». En outre, on apprend aujourd’hui l’existence d’instructions données dans le but d’orienter procéduralement l’enquête menée sur les faits imputés à François Fillon.

Tous ces moyens auraient donc été entrepris afin de changer la décision d’orientation du parquet et obliger le chef du PNF à requérir l’ouverture d’une information judiciaire et la désignation d’un juge d’instruction, avec, à terme, une mise en examen inéluctable de François Fillon.

La poursuite de l’enquête préliminaire, choix initial du chef du PNF, aurait fait obstacle procéduralement à cet acte d’un juge d’instruction, synonyme de mort politique pour l’ancien Premier ministre.

Il fallait que le remords d’Éliane Houlette la tiraille tellement pour qu’elle rapporte les pressions endurées. Sans son témoignage, cette pratique serait restée méconnue. En effet, dans un arrêt du Conseil d’État intervenu opportunément le 31 mars 2017, la Haute juridiction empêchait l’ancien Président Nicolas Sarkozy, victime des mêmes pratiques,  d’obtenir la communication des rapports transmis au procureur général d’Aix-en-Provence, par l’un de ses procureurs.

Dans leur forme, ces interventions sont abusives et illégales ; de surcroît elles interviennent postérieurement à la réforme engagée en 2013 par Christiane Taubira interdisant au ministre de la Justice de donner des instructions aux magistrats du ministère public, dans des affaires individuelles.

De tels procédés relèvent à l’évidence du dévoiement des dispositions du Code de procédure pénale ; ils ont été orchestrés par le procureur général de Paris, Catherine Champrenault, toujours en fonction. Sa nomination, choix personnel de François Hollande à ce poste stratégique, s’inscrit dans  un mécanisme qu’il importe de démonter.

La révélation des manœuvres du parquet précédait celles du siège, déjà relatées par deux journalistes du Monde, Gérard Davet et Fabrice Lhomme, dans un livre très documenté, paru avant l’audience du procès de François Fillon. Y étaient contés, avec force détails, que l’ancien militant du SM, ancien du cabinet de Ségolène Royal et actuel président de la Cour d’appel de Paris avait alors, au titre de ses prérogatives de président du tribunal de Paris, nommé un juge d’instruction réputé pour sa hargne envers le Président Sarkozy et les rapports peu amènes entretenus avec le barreau parisien, pour instruire l’affaire Fillon.

Revenons à la manœuvre entreprise par Catherine Champrenault, qui s’articule en deux temps. D’abord, dans un choix procédural : le procureur général de Paris a orienté la désignation du PNF au détriment du parquet de Paris, choix critiquable. À l’évidence, l’utilisation de fonds parlementaires ne relevait pas de la  compétence du PNF, la très grande délinquance économique et financière.

Or, le choix du parquet territorialement ou spécialement compétent relève du domaine réservé de l’arbitrage du procureur général près la cour de Paris, auquel le PNF est subordonné.

L’avantage, pour le procureur général, de confier la direction de cette enquête au PNF reposait sur sa compétence nationale.

Ainsi, touts les actes d’enquête pouvaient être conduits sans passer par l’intermédiaire des parquets territorialement compétents, tel celui du tribunal judiciaire du Mans, dont le ressort s’étend sur la Sarthe, par exemple. Le cours de l’enquête en eût été considérablement ralenti. Elle n’aurait évidemment pas abouti avant le premier tour de la présidentielle.

La personnalité  du procureur général était donc essentielle pour se livrer à de telles manœuvres. Si la grande majorité des magistrats respecte l’obligation de la CEDH non seulement d’objectivité, mais encore d’apparence d’objectivité, il existe néanmoins des magistrats politiques.

L’action du syndicat de la magistrature, le SM, est connue. Ses militants actuels ou anciens n’ont pas perdu leurs rêves révolutionnaires et contribuent, dès qu’ils le peuvent, à dénaturer l’œuvre de justice.
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Dès la création du PNF, Christiane Taubira  avait donc décidé d’écarter le procureur général de Paris, alors en place. Celui-ci, François Falleti, était non seulement connu pour sa grande humanité, mais également considéré comme un magistrat à la sensibilité de droite, ayant été choisi par cette majorité pour des postes au caractère stratégique. Cette tendance se confirma postérieurement, lorsqu’il s’engagea dans la campagne de François Fillon, en charge de la thématique « justice ».

La tentative de limogeage de François Falleti échoua, dans le plus grand des fracas.

Fait rare, sinon exceptionnel, ce grand magistrat avait dénoncé publiquement sa convocation, le 27 janvier 2014, par la directrice du cabinet du garde des Sceaux. Cette dernière lui avait suggéré, avec insistance, de le promouvoir au parquet de la Cour de cassation.  Cette convocation intervenait quelques jours avant la nomination du chef du PNF, après avis conforme du CSM, le 28 janvier 2014 et son installation en mars 2014.

Au moins, concédons à madame Taubira que ce genre de manœuvre n’était pas nouveau ; à défaut de promesse de Chancellerie ou de suppression de sa charge d’intendant de Picardie, faite à son lointain prédécesseur lors du procès Fouquet, on proposa à François Falleti un poste de premier avocat général à la Cour de cassation, plus honorifique qu’opérationnel. Il reste néanmoins plaisant de constater que dès que l’enjeu politique se profile, la tentation d’absolutisme renaît, y compris chez Christiane Taubira, chantre de l’indépendance de la Justice.

Le couperet de la retraite se chargea de François Falleti, en juin 2015.

Dès lors, le poste de procureur général de Paris se libérait au profit de Catherine Champrenault.  Cette promotion à l’époque ne passa pas inaperçue : cette magistrate fut propulsée du poste de procureur général de Basse-Terre, d’un rang intermédiaire, à celui de Paris, le plus prestigieux, par le choix personnel de François Hollande, effectué lors de son voyage en Guadeloupe, en mai 2015.

Seuls les aigris auraient pu attribuer le caractère fulgurant de cette nomination à son passé d’ancien conseiller de Ségolène Royal, qui avait d’ailleurs accompagné François Hollande lors de ce voyage en Guadeloupe, et à ses amitiés connues avec la gauche judiciaire.

En tout cas, le nouveau procureur général près la cour d’appel de Paris fit ce que ses amis politiques attendaient d’elle dans la conduite de l’affaire Fillon :

Après d’abord avoir choisi le PNF comme parquet directeur de l’enquête, Catherine Champrenault abusa ensuite de ses prérogatives de procureur général.

Au-delà de ses missions définies à l’article 35 du Code de procédure pénale : veiller à l’application de la loi pénale et au bon fonctionnement des parquets de son ressort, animer et coordonner l’action des procureurs de la République, un procureur général a effectivement aussi pour attribution d’établir des rapports particuliers soit d’initiative, soit sur demande du ministre de la Justice qu’il lui adresse. Mais pas au sens de ceux réclamés à Éliane Houlette par son supérieur hiérarchique.

Mais le comportement prêté à Catherine Champrenault dans sa mission de procureur général de Paris va bien au-delà de celui défini dans les travaux parlementaires précédant l’adoption de cette loi du 25 juillet 2013. Les parlementaires reconnaissaient aux procureurs généraux : « un rôle d’animation de l’action des procureurs de la République et de coordination de la mise en œuvre par ceux-ci des instructions générales de politique pénale, adressées par le ministre de la Justice. Les procureurs généraux deviennent ainsi les garants de l’application effective, cohérente et homogène de la politique pénale dans leur ressort : à cet effet, ils se voient confié un pouvoir de déclinaison locale des instructions générales du garde des Sceaux et ce, afin de tenir compte du contexte propre au ressort de la cour d’appel ».

Catherine Champrenault se défend aujourd’hui en regrettant auprès de l’AFP ce 18 juin que : « ce qui est le fonctionnement régulier du parquet soit assimilé à des pressions ».

Or, il n’est pas exact que le caractère des demandes de cette dernière, relatées par Éliane Houlette soit assimilable au fonctionnement régulier du parquet. À moins que, pour le procureur général de Paris,  le caractère partisan de sa mission ne l’emporte sur tout, y compris sur les dispositions législatives organisant le ministère public. Bien au contraire  puisque, depuis la loi du 25 juillet 2013 votée à l’initiative de Christiane Taubira, les instructions du ministre de la Justice dans des affaires particulières sont proscrites.

Par ailleurs, les instructions du procureur général à ses procureurs doivent être écrites et versées au dossier, selon les dispositions de l’article 36 du code de procédure pénale.

Dans l’affaire Fillon, cette obligation, cruciale, n’a pas été respectée, au détriment de l’indépendance de la justice et surtout de l’égalité des armes entre les parties à la procédure, éléments inhérents au procès équitable.

Les instructions écrites et versées au dossier ont été remplacées par des pressions explicites, mais dont le caractère oral avait pour avantage de ne laisser aucune trace dans la procédure, au prix de leur illégalité manifeste.

Le zèle de Catherine Champrenault, malgré ses dénégations, est donc très éloigné de la définition du rôle d’un procureur général donnée par le législateur. Si les déclarations d’Éliane Houlette s’avéraient fondées, Catherine Champrenault devra rendre des comptes, soit à la représentation nationale, soit à l’autorité judiciaire du détournement de ses pouvoirs à des fins politiques, auquel elle se serait alors livrée. Dans cette affaire, François Fillon, quinaud, aura été empêché selon des méthodes partisanes, par un magistrat engagé.

Or, la gauche judiciaire les a toujours théoriquement dénoncées et condamnées. La duplicité de la gauche judiciaire et de son « parrain », Jean-Louis Nadal est marquée de l’évidence entre son discours et sa pratique. Alors procureur général près la Cour de cassation, celui-ci avait prêché,  en septembre 2007, dans une contribution officielle, l’obligation du principe de neutralité pour le ministère public, dont il donnait une définition qui prend toute sa saveur aujourd’hui : « s’interdire de prendre des décisions pour des motifs extérieurs à la mission de protection de l’ordre public incombant au ministère public ».

Les vers de Victor Hugo « … vous, premiers présidents et procureurs généraux, accourez en carrosse, à pied, à cheval en robe, la toque au front, le rabat au cou, la ceinture au ventre… Ôtez votre gant, levez la main et prêtez serment à son parjure, jurez fidélité à la trahison », seraient-ils éternels ?

Ils expliqueraient sans soute l’assourdissant silence de l’autorité judiciaire, si prompte à brandir l’étendard de son indépendance, aujourd’hui si galvaudée.

Le conseil supérieur de la magistrature, que le président de la République, gardien constitutionnel de l’indépendance de la justice, vient opportunément de saisir, saura-t-il condamner les errements dénoncés ? Ce serait une avancée dans la protection de l’état de droit ; cela ne rendra pas aux Français une élection dont le résultat apparaît aujourd’hui comme volé. Seule la démission du président de la République pourrait aujourd’hui la racheter.

Les juges avouent : ils ont truqué l’élection de Macron.

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La République otage des hauts fonctionnaires ? Par Claude Robert.

Tandis que le président Macron avait émis le souhait de fermer l’ENA, la cooptation bat son plein. Ses clones administratifs trustent les postes et remplacent ceux qui s’en vont.

Sans doute faut-il penser que se débarrasser de ce « Premier ministre bis » était un véritable exploit car Le Monde a titré ce jeudi : « Comment Castex a obtenu le départ de Marc Guillaume, énarque faiseur de rois et coupeur de têtes ». Et d’ajouter, en sous-titre, que ce secrétaire général était pourvu d’un « rôle jugé démesuré par certains ».

Considérablement riche, tant d’un point de vue du contenu manifeste que du contenu masqué, cet article (Le Monde 16/07/20) suggère en effet que :

  • ce changement de secrétaire général revêt une importance toute capitale. À coup sûr, le cours de la fin du quinquennat en sera transformé, puisque tel est le message que veut faire passer Matignon ;
  • même au plus haut niveau de la hiérarchie gouvernementale, l’organigramme officiel se trouve en butte à un sociogramme1, une espèce d’organigramme parallèle dont la puissance s’apparente à celle d’un véritable cabinet fantôme ;
  • les personnalités priment sur la politique gouvernementale, celle-ci n’étant finalement qu’un terrain de jeu pour des individualités issues d’un même sérail, celui des hauts fonctionnaires.

UN CHANGEMENT DE TÊTE POUR FAIRE CROIRE À UN CHANGEMENT DE POLITIQUE

Ce serait un horrible crime de lèse-majesté que d’accuser Le Monde de recopier les communiqués de presse du gouvernement. Pourtant, sans sourciller, le journal reproduit cette magnifique profession de foi de Matignon : « Le nouveau chemin tracé par le président, la nouvelle méthode et les priorités affirmées par le Premier ministre, entraînent aujourd’hui des changements à tous les étages ».

Idem dans cette autre partie de l’article : « C’est le Premier ministre, Jean Castex, qui aurait obtenu le ‘scalp’ de Marc Guillaume, assure-t-on volontiers dans les allées du pouvoir. Une manière pour le nouveau chef du gouvernement et son directeur du cabinet, Nicolas Revel, de poser leur autorité d’emblée, tout en se donnant toute latitude pour imprimer leur marque Rue de Varenne ».

Plus surréaliste encore, on peut lire un peu plus loin : « Macron a voulu mettre fin au centralisme, au jacobinisme, à cet entre-soi énarchique, observe un familier de l’Élysée. Pour cela, il envoie balader le représentant de l’establishment. C’est courageux ».

Tout juste si les problèmes du président ne prennent par leur source chez ce secrétaire général du gouvernement à cause de sa « rigidité pendant le confinement et sa gestion technocratique de la crise sanitaire » (sic). On croirait lire un communiqué de presse de l’Élysée taillé sur mesure autour du bouc émissaire idéal !

Ainsi, force est de constater que l’article retranscrit mot pour mot, au premier degré donc, les déclarations officielles, déclarations dont le but n’est pourtant que de parer ce changement de personnes de toutes les vertus possibles. Imaginons que les sources proches du pouvoir aient raconté exactement l’inverse. On peut craindre que la teneur de l’article en ait été toute différente…

Ne soyons donc pas aussi candides : malgré les 65 semaines d’émeutes des Gilets jaunes, le gouvernement Macron n’a aucunement infléchi sa politique, continuant contre vents et marées à servir ses propres intérêts. Quelle tristesse de constater que le Grand débat n’a accouché que d’une Convention pour le Climat, dans des conditions d’ailleurs statistiquement et donc démocratiquement douteuses !

Aucune convention pour la réforme de l’État, aucune convention pour la baisse des prélèvements obligatoires, aucune convention pour l’assouplissement du Code du travail n’a été évoquée un seul instant, malgré les urgences économiques et sociales du pays !

Comment un journaliste du Monde peut-il donc laisser supposer qu’un simple changement de secrétaire général du gouvernement pourrait infléchir quoi que ce soit ? Est-ce que le journaliste a écrit cela tout simplement parce que tel était le souhait de l’Élysée ou de Matignon ? La question est grave. Mais elle se pose inévitablement.

UNE ORGANISATION DE FONCTIONNAIRES TIRAILLÉE PAR LES LUTTES INTERNES DE POUVOIR

Qu’elle soit une entreprise ou une administration, toute organisation digne de ce nom se profile dans l’optique d’atteindre le plus efficacement possible les objectifs qu’elle s’est assignée. Ceux-ci constituent sa feuille de route et chaque membre de l’organisation participe quotidiennement au respect de celle-ci, quelle que soit sa fonction et sa position. L’organigramme dans son ensemble est dévolu à cette tâche, gage d’une efficacité maximale.

Sur ce sujet, le nombre de témoignages cités dans l’article parait un peu plus consistant, et laisse pantois quant à cette guerre de tranchée quotidienne entre l’organigramme officiel et le sociogramme réel :

« ‘Le Léviathan’ , ‘Dieu’, ‘Premier ministre bis’, ‘Imperator’, ‘Monsieur non’… Marc Guillaume a accumulé les surnoms ces dernières années […] Le SGG, qui se trouve au cœur de la machine à arbitrer les décisions du quotidien, a surtout un rôle-clé de conseil juridique du gouvernement […] C’est celui qui souffle au politique ce qu’il est possible de faire ou non. Celui qui prépare le conseil des ministres puis rédige le compte rendu, auquel personne ou presque n’a accès. Qui relit, voire réécrit, les projets de loi avant de les envoyer pour avis au Conseil d’État. Ou encore qui propose des noms pour diriger les administrations ou occuper les plus beaux postes de la République. Il a droit de vie ou de mort administrative sur toi, glisse un directeur d’administration centrale. C’est à la fois un faiseur de rois et un coupeur de têtes. La personnalité de l’occupant du poste joue beaucoup ».

En comparaison d’une organisation qui se respecte, le gouvernement français ressemble donc beaucoup plus à un navire sur le pont duquel plusieurs capitaines se sont déclarés et s’affrontent sans relâche. Pour une raison ou pour une autre, ceux-ci ne partagent ni la même destination ni le même calendrier.

Il y a certes un capitaine officiel, mais de toute évidence, certains rivaux clandestins et recrutés bien avant lui2 veulent également tenir la barre et orienter le gouvernail.

On imagine combien la trajectoire finale du navire gouvernemental n’est que la résultante des tiraillements dans un sens puis dans l’autre. Et on découvre combien est grand, pour ce navire surchargé, le risque de faire des cercles dans l’eau.

L’ÉTAT, TERRAIN DE CHASSE DU SÉRAIL DE LA HAUTE FONCTION PUBLIQUE

Ce que ne dit pas l’article non plus, c’est que le secrétaire général du gouvernement qui remplace le précédent tant décrié provient du même cheptel : la prestigieuse ENA, l’école du pouvoir qui façonne depuis 1945 le profil de nos dirigeants. Moins glorieux aussi : l’école qui administre depuis la fin des années soixante-dix le puissant déclin économique de notre pays.

Une simple visite sur le site de Contrepoints montre l’effroyable casse que les décisions de nombreux diplômés de cette école ont pu provoquer, plombant voire même désintégrant des pans entiers de notre industrie. Pourquoi changer une équipe qui perd ?

Tandis que le président Macron avait émis le souhait de fermer cette matrice diabolique, la cooptation bat son plein. Ses clones administratifs trustent les postes et remplacent ceux qui s’en vont.

Pourtant, rien ne justifie de donner les clés du pouvoir d’un pays mal armé contre la concurrence internationale à des fonctionnaires dont pratiquement aucun n’a été formé et aguerri au sein de l’univers compétitif de l’entreprise.

Sans doute est-il nécessaire de le rappeler : l’entreprise est le haut lieu de la création de richesse d’un pays, l’unique endroit voué au culte de l’efficience. Qui pourrait donc remettre sur les rails un pays dont les parts de marché industrielles mondiales ont fondu de moitié en une vingtaine d’années ? Certainement pas des ronds de cuirs !

La persévérance d’une telle rente de situation est révélatrice du blocage de la société française en son sommet. Cela semble certes iconoclaste de le dire, mais l’Hexagone est dirigé par une caste de clones dont le profil administratif n’est absolument pas taillé pour enrayer notre déclin économique et social.

Pire encore, cette caste bénéficie d’une telle situation de domination qu’elle peut se maintenir au pouvoir indépendamment de ses ratages et de son train de vie. Elle s’offre même le luxe de s’affronter au sein de cet immense terrain de jeu qui s’appelle l’État, au frais du contribuable bien sûr, et avec l’aval de bon nombre de médias !

Sur le web

  1. Sociogramme : organigramme bis, non officiel mais opérationnel dans l’activité d’une organisation, basé sur des relations personnelles, sur des intérêts communs, ou sur des appartenances à des groupes spécifiques qui ne coïncident pas avec l’organigramme officiel et son fonctionnement normal. 
  2. Le secrétaire général du gouvernement évincé avait été recruté par Manuel Valls, soit plusieurs années avant l’arrivée du gouvernement Macron-Philippe puis Macron-Castex. Ni lui ni sa remplaçante n’ont été élus. Ils sont inconnus des citoyens. 

La République otage des hauts fonctionnaires ?

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LE « WASHINGTON TIMES » TITRE : LE CORONAVIRUS : LE PLUS GRAND CANULAR POLITIQUE DE L’HISTOIRE !

La réponse au coronavirus est hypothéquée. Et avec le temps, ce battage publicitaire se révélera être un canular politique.

En fait, COVID-19 sera considéré comme l’une des réponses les plus importantes, les plus honteusement exagérées, exagérées, exagérément et irrationnellement gonflées et carrément trompeuses à un problème de santé de l’histoire américaine, qui a été porté en grande partie sur les lèvres de professionnels de la médecine qui n’ont pas à gérer une économie ou un gouvernement national.

Les faits sont les suivants : COVID-19 est une véritable maladie qui rend les uns malades, s’avère fatale pour d’autres, principalement les personnes âgées – et ne fait rien pour la grande majorité.

C’est tout.

Voilà, en un mot, ce qu’il en est.

Ou, pour reprendre les mots de Dan Erickson et Artin Massih, médecins et copropriétaires de l’Accelerated Urgent Care à Bakersfield, en Californie : Réouvrons le pays – et maintenant.

« Avons-nous besoin de nous abriter encore sur place ? Notre réponse est catégoriquement non. Avons-nous besoin que des entreprises soient fermées ? Non, catégoriquement. … [L]es données montrent qu’il est temps de lever le voile », a déclaré M. Erickson lors d’une récente interview.

Il a raison. Ils ont raison.

Les données pour garder l’Amérique fermée et les Américains enfermés n’existent tout simplement pas.

A vrai dire, il est douteux qu’elles aient jamais existé.

Les scientifiques à la tête de la charge d’arrêt des coronavirus ont prédit en mars qu’en Amérique, entre 100.000 et 250.000 personnes mourraient. Ils ont basé ces estimations sur une modélisation informatique.

Mais en même temps qu’ils fondaient ces estimations sur la modélisation informatique, ils reconnaissaient que la modélisation informatique est inexacte et qu’elle est du côté du battage publicitaire.

« Je n’ai jamais vu un modèle des maladies que j’ai traitées où le pire cas s’est réellement produit », a déclaré le Dr Anthony Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses et membre du groupe de travail sur les coronavirus du président Donald Trump à la Maison Blanche, lors d’une interview sur CNN en mars. « Ils dépassent toujours les limites ».

Vous avez compris ? Le message de Fauci : Les modèles informatiques sont imparfaits et inexacts et surestiment toujours le problème.

Mais de ces chiffres informatiques erronés et surestimés découlent toutes les actions constitutionnellement douteuses du gouvernement, qu’il s’agisse d’ordonner la fermeture d’entreprises, de mettre en quarantaine ou d’arrêter des citoyens américains ou de mettre en place des programmes de redistribution des revenus rapides, pitoyables et douloureux sur le plan économique par le biais de la législation sur les fonds de relance.

Depuis lors, environ 56 000 personnes sont mortes en Amérique à cause de coronavirus – ou l’ont-elles été ? Là encore, les faits sont peu convaincants.

Le gouvernement a ordonné aux hôpitaux il y a quelques semaines de cesser de pratiquer des opérations chirurgicales non urgentes pour faire place au nombre prévu de patients atteints de coronavirus. C’est ce qu’ils ont fait. Et ce faisant, ils ont coupé leurs sources de revenus. Le Congrès a donc voté une loi donnant aux hôpitaux des milliards de dollars pour traiter les patients atteints de coronavirus. Conflit d’intérêts ? Aïe. Oui.

Les comptes de coronavirus, déjà faussés par la modélisation informatique, ont ensuite reçu un autre traitement défectueux.

« [La Pennsylvanie] retire plus de 200 décès du décompte officiel des coronavirus alors que les questions se multiplient sur le processus de déclaration, l’exactitude des données », a rapporté l’enquêteur.

Ajoutez à cela la nature toujours changeante d’un virus qui se propage par voie aérienne et par contact, et honnêtement, soudainement, même la meilleure estimation de l’expert Fauci est à peu près aussi bonne que celle de Joe Neighbor. Le bon sens, combiné à la connaissance des virus passés, peut donc servir de guide.

Mais les experts médicaux entre guillemets ont refusé d’aller sur ce terrain, de faire preuve de bon sens et de comparer avec les virus du passé, sans faire de vagues sur le nombre de coronavirus.

Ce virus était différent, a-t-on dit aux Américains. Ce virus était bien plus contagieux que tout ce qui avait été vu ou étudié auparavant, a-t-on dit aux Américains. Et chaque fois que le nombre de cas a baissé et que les chiffres se sont révélés faux, eh bien, c’était en raison de l’éloignement social, de la mise en quarantaine et du port du masque facial que les Américains avaient fait, sur ordre du gouvernement – a-t-on dit aux Américains.

Cela n’avait tout simplement aucun sens.

Cela ne colle pas.

Cela ne justifiait pas, et ne justifie toujours pas, le déchirage total des droits civils.

Et maintenant, Dieu merci, certains membres de la communauté médicale commencent à souligner les omissions flagrantes de logique et de fait qui ont entravé cette répression excessive et trop poussée des coronavirus qui s’est étendue sur une période beaucoup, beaucoup trop longue.

Parmi les remarques d’Erickson : « C’est l’immunologie – microbiologie 101. C’est la base de ce que nous connaissons depuis des années : Lorsque vous prenez des êtres humains et que vous leur dites : « Allez chez vous, nettoyez tous vos comptoirs, lysolez-les » … qu’est-ce que cela fait à notre système immunitaire ? … La mise à l’abri sur place diminue votre système immunitaire. »

Et ceci : « Chaque fois que vous avez quelque chose de nouveau dans la communauté [médicale], cela suscite la peur – et j’aurais fait ce que le Dr Fauci a fait … au début. … Mais vous savez, regarder les théories et les modèles – ce que ces gens utilisent – est très différent de la façon dont le virus réel se présente dans les communautés.

Et ceci : « Pensez-vous être protégé des COVID lorsque vous portez des gants qui transmettent des maladies partout ? … Nous portons des masques dans un contexte aigu pour nous protéger. [Mais] nous ne portons pas de masques. Pourquoi cela ? Parce que nous comprenons la microbiologie. Nous comprenons l’immunologie. Et nous voulons un système immunitaire fort. Je ne veux pas me cacher dans ma maison, développer un système immunitaire faible et ensuite sortir et attraper une maladie. »

Et ceci : « Lorsque je rédige mon rapport de décès, on me pousse à ajouter le COVID. Pourquoi ? Pourquoi fait-on pression sur nous pour ajouter COVID ? Pour peut-être augmenter les chiffres et faire en sorte que cela paraisse un peu pire que cela ne l’est. Nous subissons des pressions internes pour ajouter la COVID à la liste des diagnostics alors que nous pensons que cela n’a rien à voir avec la cause réelle du décès. La cause réelle du décès n’est pas la COVID, mais elle est signalée comme l’un des processus de la maladie. … COVID ne les a pas tués, 25 ans de tabagisme tue ».

Cela est-il plus clair que cela ?

Sérieusement, l’Amérique. La seule raison pour laquelle l’Amérique est toujours en mode de fermeture est politique.

Soit les politiciens ont trop peur de faire un geste qui pourrait revenir les mordre politiquement, soit ils utilisent ce coronavirus à des fins politiques – pour, par exemple, faire passer des lois sur le contrôle des armes à feu, comme le gouverneur de Virginie, Ralph Northam. Ou pour, disons, faire flotter des espoirs de campagne sur l’économie ravagée actuelle, comme l’ancien vice-président Joe Biden et oh, tous les démocrates confrontés à des courses.

Mais pour le reste de l’Amérique – le reste de l’Amérique qui travaille dur et qui aime la liberté – il est temps d’adopter une approche radicalement anticonstitutionnelle.

« Si vous allez danser sur les droits constitutionnels de quelqu’un, vous avez intérêt à avoir une bonne raison – vous avez intérêt à avoir une très bonne raison, pas seulement une théorie », a déclaré Erickson. « Les données nous montrent qu’il est temps de lever… alors si nous ne levons pas, quelle est la raison ? »

C’est la question clé.

Au fil du temps, la réponse ne fera que devenir de plus en plus évidente. Le coronavirus est peut-être réel – mais le battage publicitaire est faux. Espérons qu’il s’agit d’un canular ponctuel qui ne se répète pas à chaque fois que la saison de la grippe approche.

The Washington Times : https://t.co/Wk9O1XwrT0?amp=1

Le « Washington Times » Titre : Le coronavirus : le plus grand canular politique de l’histoire !

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“L’énergie éolienne est profondément inutile pour lutter contre les gaz à effet de serre” (Environnement) par Joël JOUVE

Après l’épisode du confinement dû à cette pandémie, ralentissant ainsi notre économie et toutes autres formes de projets, comme il fallait s’y attendre, le municipales bouclées, les affaires reprennent de plus belle pour les promoteurs éoliens par une constante pression auprès des nouveaux élus.

 

Cela se traduit au sein de notre beau département par un nouveau projet au nord de St Bérain sous Sanvignes en plus de celui toujours existant, on en parle également du côté de Nochize, bref, ils font feu de tout bois encouragés par les récentes déclaration de la nouvelle Ministre de la Transition Ecologique Barbara Pompili qui veut développer à tout prix, à n’importe quel prix devrions nous ajouter, cette énergie, et après la scandaleuse signature en toute discrétion pendant le confinement d’un plan de relance de la PPE (Programmation Pluriannuelle de l’Energie) qui prévoit de doubler le nombre d’éoliennes, en engageant ipso facto des dizaines de milliards d’argent public au détriment des soignants.

 

Pour reprendre une expression du Président d’une autre Fédération anti-éolien, je cite «  ce sont à tout le moins des méthodes de forbans » 

 

Les éoliennes coûtent les yeux de la tête, ça ne crée pas d’emploi et en plus ça détruit nos paysages.

 

Alors que la France prévoit de multiplier par 2,5 la puissance installée d’énergie éolienne d’ici à 2030 soit 20000 nouveaux engins, c’est une aberration totale qui ne répond à aucune nécessité écologique dans la lutte contre le réchauffement climatique conséquence des gaz à effet de serre.

 

Faut-il encore le répéter, la France est l’un des pays le moins carboné au monde par notre production nucléaire qu’on aime ou qu’on n’aime pas, mais qui ne délivre pas de gaz à effet de serre, sujet pourtant Ô combien sensible chez nos amis écologistes, comprenne qui pourra !

 

Notre production d’électricité essentiellement nucléaire est largement excédentaire pour satisfaire tous nos besoins tant économique que domestique et on nul besoin de ce système à la « Madoff » entièrement subventionnée.

 

Les consommateurs français payent un surplus d’électricité dont ils n’ont pas besoin pour faire fonctionner une industrie qui n’est pas chez nous importée du Danemark ou d’Allemagne.

 

Les éoliennes françaises présenteraient une facture considérable pour l’Etat jusqu’à 40 milliards d’euros. Avec 70 à 90 milliards de soutien budgétaires, il y aurait de quoi renouveler tout le parc nucléaire français originel ou le faire passer à la 3ème génération se désole encore Julien Aubert député LR qui a travaillé au sein d’une commission dédiée à l ‘Assemblée Nationale.

 

Désastreuse pour les finances de l’Etat, l’énergie éolienne l’est aussi pour l’économie locale. Selon plusieurs études notariales récentes, la dévaluation des biens immobiliers à proximité des éoliennes se chiffre de 30 à 50 %

 

Alors ce serait ainsi et fatal que le clocher du village qui culmine à 15/20 m soit menacé d’être cerné par des éoliennes de plus de 200m ?

 

Les récentes victoires des populations soutenues par leurs associations de S’André le désert, de st Romain sous Gourdon, plus ancien de La Guiche démontrent à l’envie qu’il est possible et souhaitable de défendre nos territoires contre ce cancer éolien.”

 

Joël JOUVE

 

Président de Vent de Sottise

sur le web

https://montceau-news.com/environnement/611226-lenergie-eolienne-est-profondement-inutile-pour-lutter-contre-les-gaz-a-effet-de-serre-environnement.html?fbclid=IwAR2CTSjvcjA9jcxH6Qh3L2Y

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Sommes-nous Rome à la veille de sa chute ? Par Damien Theillier.

En accroissant démesurément le pouvoir de l’État au détriment de la responsabilité individuelle, nous faisons la même erreur que Rome il y a des siècles.

Par Damien Theillier.

AreWeRomeAre we Rome? Tel est le titre d’une étude fort intéressante de Lawrence Reed, président de la Foundation For Economic Education (USA). C’est aussi le titre qu’ont choisi les organisateurs de la FreedomFest à Las Vegas, cette année.

Pourquoi Rome a-t-elle décliné puis finalement chuté ? Reed explique que l’Empire romain fut un régime militaire parasite, qui ne pouvait survivre que par un afflux permanent de richesses pillées à l’extérieur, des prisonniers réduits en esclavage et des terres volées.

En effet, l’enrichissement de l’aristocratie romaine ne provenait que du butin des invasions et non d’une quelconque création de valeur. Avec la fin des conquêtes et les rendements décroissants des pillages, l’administration dut cependant recourir de plus en plus au pillage interne pour satisfaire son besoin de richesses, ce qui entraîna un appauvrissement général de la population de l’Empire

Au premier siècle avant Jésus-Christ, Rome est passée d’une république dotée d’un régime relativement libéral à la dictature de Jules César, avec un tiers des habitants au chômage. C’est l’époque où le parallèle avec notre époque est vraiment frappant.

Car aux premiers temps de sa grandeur, chaque Romain se considérait lui-même comme la principale source de ses revenus. Ce qu’il pouvait acquérir volontairement sur ​​le marché était la source de son gagne-pain. Le déclin de Rome a commencé quand un grand nombre de citoyens ont découvert une autre source de revenus : le processus politique ou l’État. Les Romains ont alors abandonné la liberté et la responsabilité personnelle contre des promesses de privilèges et de richesses distribuées directement par le gouvernement. Le pouvoir fournissait du pain et des jeux à ses citoyens, mais aussi du porc et de l’huile d’olive.

Les citoyens adoptèrent l’idée qu’il était plus avantageux d’obtenir un revenu par des moyens politiques que par le travail. Cela a conduit l’économiste Howard E. Kershner à énoncer la loi qui porte son nom : « Quand un peuple autonome confère à son gouvernement le pouvoir de prendre aux uns pour donner aux autres, le processus de redistribution ne cesse qu’à partir du moment où le dernier contribuable est dépouillé de tous ses biens ».

Vers 140, l’historien romain Fronto écrivait : « La société romaine est préoccupée principalement par deux choses, ses ressources alimentaires et ses spectacles ». Comme les revenus du commerce ne suffisaient pas à financer l’administration et les garnisons, les impôts augmentaient constamment. Les empereurs dévaluaient leur monnaie en mettant moins d’argent ou d’or dans leurs pièces. Cela provoquait l’inflation. La pression fiscale devenait alors insupportable !

Sous le règne de l’empereur Antonin le Pieux (de 138 à 161), la bureaucratie romaine atteignit des proportions gigantesques, écrit Reed. Selon l’historien Albert Trever, « l’implacable système fiscal, chargé d’organiser la spoliation et le travail forcé, finit par être administré par une armée de soldats bureaucrates ». Partout, les bureaucrates à la solde des empereurs s’employaient à écraser les fraudeurs fiscaux.

imgscan contrepoints 2013-2317 RomeFinalement, sommes-nous une Rome contemporaine à la veille de sa chute ? Peut-on dire que l’histoire se répète ?

Considérons les sommes monumentales dépensées pour le sauvetage des banques, les augmentations vertigineuses de la dette publique, la concentration du pouvoir entre les mains du gouvernement central et les incessantes revendications de la part des groupes d’intérêt. Si ces éléments nous sont familiers au XXIe siècle, ils l’étaient tout autant des Romains de l’Antiquité.

En accroissant démesurément le pouvoir du gouvernement au détriment de la responsabilité individuelle, nous avons fait la même erreur que Rome il y a des siècles. Ceux qui ignorent l’histoire sont condamnés à la répéter. La plupart des gens qui chérissent la liberté s’opposent à l’État-providence pour des raisons morales, philosophiques et économiques. Nous ferions bien d’ajouter une autre raison, conclut Reed : les leçons de l’histoire !

À la fin, plus que la liberté, ils voulaient la sécurité. Lorsque les Athéniens ne voulurent plus contribuer à la société, mais qu’au contraire la société contribue à leur bien-être, lorsque la liberté qu’ils souhaitaient consistait à être libérés de toute responsabilité, alors Athènes cessa d’être libre.

sur le web:

https://www.contrepoints.org/2013/10/31/144556-sommes-nous-rome-a-la-veille-de-sa-chute?fbclid=IwAR1xNgIcw-E5YTJk0lWmX4Pu4aiGNYS-Il7ywISP7T25DW2x5U3PAShGFcE

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L’Europe de la discipline met une claque à l’Europe de la pleurniche par Éric Verhaeghe

L’Europe de la discipline (aussi appelée « Europe des radins ») vient de tenir la dragée haute aux dépensiers du club Med (France comprise), à l’occasion du Conseil Européen qui a commencé vendredi, et qui n’est toujours pas terminé à l’heure où  nous écrivons ces lignes. Macron avait promis de l’argent facile venu d’Europe. Manifestement, et comme nous l’annoncions depuis plusieurs semaines, la pilule ne passe pas auprès de ceux qui ont fait effort pour se désendetter depuis 2008.

Sans surprise (et comme l’avait indiqué le report d’un accord sur les retraites en France, vendredi), le conseil européen n’a, à ce stade, débouché sur aucun accord entre les pays du sud, consommateurs présumés des centaines de milliards d’aides, et les pays du nord, ulcérés par le grand gaspillage qui se prépare. Visiblement, le président Macron a marqué sa colère vis-à-vis de l’entêtement du hollandais Mark Rutte à refuser le principe d’une solidarité sans contrepartie au sein de l’Union. Mais Rutte n’est pas le seul à combattre : il emmène avec lui une nébuleuse à géométrie variable bien décidée à ne pas payer pour une Europe où la bureaucratie cache l’intérêt de quelques laxistes.

Les radins rabotent le plan franco-allemand

Pour l’instant, l’heure de l’accord n’a pas sonné, mais Mark Rutte peut se targuer d’avoir obtenu quelques concessions majeures dans la négociation.

Premièrement, les subventions ne seront pas supérieures à 390 milliards € sur un total de 750 milliards €. La France voulait un volume de 500 milliards et avait annoncé qu’elle refuserait tout montant inférieur à 400 milliards. Le reste de l’enveloppe sera alloué sous forme de prêts remboursables. Les initiés se souviennent qu’Angela Merkel avait annoncé que les délais de remboursement seraient courts…

Deuxièmement, Charles Michel, le président du Conseil, a mis sur la table une proposition de « frein » qui ressemble furieusement à un droit de veto de chaque membre sur l’utilisation des subventions. Il est probable que ce mécanisme soit lissé d’ici à la fin du sommet, mais tout indique que les Etats-membres auront l’obligation de justifier l’utilisation des subventions qu’ils recevront.

D’autres innovations pourraient apparaître d’ici à la fin du sommet. Rien n’exclut que l’attribution des prêts soit soumise à l’obligation de pratiquer des réformes de structure.

Le double jeu de l’Allemagne

Officiellement, Angela Merkel est hostile aux positions de Mark Rutte et à sa détermination à ne rien lâcher. Dans la pratique, la position allemande est un peu plus compliquée que cela.

Le 10 juillet, Angela Merkel avait tenu un sommet bilatéral avec le même batave Rutte. Elle y avait donné une conférence de presse, où elle avait expliqué :  » Malgré tous les ralentissements économiques, une aide qui n’est pas liée aux réformes et aux changements et qui est orientée vers l’avenir n’aide pas ». Nos lecteurs le savent, puisque le Courrier des Stratèges est le seul à avoir diffusé cette information.

Mark Rutte n’agit donc pas en cavalier solitaire. Non seulement il fédère derrière lui tout ce que l’Europe compte de radins, comme le Danemark, la Suède, l’Autriche, la Finlande… pays où la responsabilité individuelle a encore un sens. Mais il bénéficie du soutien anticipé d’Angela Merkel, dont il constitue, à certains égards, le discret porte-parole.

L’Europe de la discipline contre l’Europe de la pleurniche

Au demeurant, on peut difficilement reprocher à Mark Rutte de défendre des positions ordo-libérales, puisque le traité lui donne la possibilité d’exercer cette liberté. Les Hollandais, co-actionnaires d’Air France-KLM, sont bien placés pour comprendre dans quel trou noir les milliards qu’ils sont sommés de déverser en France (deuxième bénéficiaire prévu après l’Italie, rappelons-le) seront engloutis. Il faut être sacrément gonflé pour reprocher aux pays qui ont fait l’effort de se désendetter depuis 2009 de ne pas vouloir trinquer désormais pour ceux qui n’ont pas eu le courage (France en tête) de s’astreindre à la même discipline.

Ni la Hollande, ni l’Autriche, ni même l’Allemagne, ne veulent se serrer la ceinture pour engraisser nos ARS, nos agences pléthoriques, nos bureaucrates en tous genres amateurs de procédures castratrices et d’impôts en tous genres, nos retraites déficitaires chaque année, nos technocrates arrogants. On pouvait s’y attendre.

La France paie son égoïsme foncier

Qui sommes-nous d’ailleurs pour demander la solidarité des autres, quand nous sommes les premiers à les laisser tomber en cas de problème. En France, tout le monde a trouvé normal de faire passer les intérimaires français avant les salariés polonais de Peugeot. Dans l’affaire de l’usine de Douai, tous les « partisans de l’Europe » ont plaidé l’égoïsme national avant la solidarité européenne.

On ne dira pas autre chose de la récente directive sur le transport routier, qui sonne le glas de ce secteur en Roumanie. La France n’a pas hésité à utiliser sa position de force pour ruiner un petit pays pauvre.

Et maintenant, nous attendrions de ceux sur qui nous marchons allègrement dans nos bouffées d’égoïsme un engagement en faveur de la solidarité avec nous ? La grosse blague.

L’hypocrisie des européistes leur pète à la figure

Ce sommet européen est un « moment de vérité » comme l’a dit Emmanuel Macron à son arrivée à Bruxelles, mais dans un sens différent de celui qu’il croit. Depuis plusieurs décennies, la France aime l’Europe quand l’Europe lui rapporte. Tant que la PAC protège notre agriculture, tant que nous pouvons limiter la libre circulation des travailleurs pour faire venir des Africains clandestins plutôt que des Polonais ou des Roumains, tant que nous pouvons emprunter à taux négatif grâce à la signature allemande, nous aimons l’Europe. Et nous l’aimons encore plus quand elle nous annonce 35 milliards de subventions pour payer le chômage partiel durable sur lequel Macron compte pour être réélu.

En revanche, quand l’Europe nous demande d’aider la Grèce à bloquer les colonnes de migrants qu’Erdogan envoie, quand elle nous demande d’aider la Pologne, la Hongrie, et quelques autres, on préfère parler « Etat de droit », « démocraties illibérales », et autres affichages commodes pour ne pas bouger le petit doigt. A jouer les solidaires en étant parfaitement égoïstes, hein, on récolte des tempêtes.

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L’Europe de la discipline met une claque à l’Europe de la pleurniche

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JE NE PORTERAI PAS DE MASQUE! sur FB.

Quand je me promène dans les rues et que je vois toutes ces personnes portant des masques, se lavant les mains à l’entrée de chaque magasin, cela me rend malade de voir à quel point les gens sont dociles et ignorants.
Dociles car ils obéissent aux paroles de médias et de gouvernements qui leurs mentent à longueur de journée, propageant un climat constant de peur et d’insécurité.
Les terroristes ont disparu curieusement depuis quelques mois, ils ont dû se faire confiner. Ils ont été remplacé par un ennemie bien plus intéressant, omniprésent, invisible, tout puissant, telle une rumeur ou Dieu lui-même, l’ennemie parfait. Grâce à lui le rêve de tout mégalomane peut se réaliser.
Cela commence par un confinement chez soi, cela évite les frais de prison, de gardiennage, les prisonniers devant se nourrir eux-mêmes, c’est tout bénef. Puis on réduit le confinement aux voies respiratoires, source de notre énergie et de notre santé, ce qui entraînera d’autres maladies et la vente de médicaments, (j’en connais qui se frottent les mains d’avance).
Ça continuera par le confinement de notre liberté en nous obligeant à divulguer constamment nos déplacements, nos rencontres, comme en chine. Et ça finira par une planète prison grandeur nature, ou notre esprit sera à son tour confiné aux propos en accord au régime totalitaire en place.
Et tout cela avec les remerciements et le consentement d’une population heureuse d’avoir échappé à une possible grippe, (MDR), une population tellement empoisonnée par les métaux lourds qu’elle consomme depuis des décennies dans sa nourriture, son air et son eau, qu’elle n’est plus capable d’avoir un raisonnement digne de ce nom.
Elle est pas belle la vie ! Depuis que l’on nous bombarde de films de zombies, on ne s’est même pas rendu compte que les zombies, c’est nous, le regard hagard, par la crainte d’être contaminé, ou penché constamment sur son portable.
Les zombies des films, c’est l’étape suivante, une fois que la 5G sera déployée, les individus vaccinés, pucés, la catastrophe climatique actualisée. Nous deviendrons alors ces monstres si bien décrits dans ces films.
Vous pensez que j’exagère ? Observez bien, renseignez-vous, vous verrez que nous allons tout droit tète baissée vers cet avenir fabriqué pour nous.
En même temps quand une espèce est incapable de vivre en osmose avec les lois naturelles, incapable de penser par elle-même, elle est vouée à disparaître, car inadaptée, c’est ainsi.
Revenons aux masques. Ces derniers sont inutiles et dangereux, inutiles car les virus sont si petits, (0.1 micron) qu’ils passent à travers les mailles des masques les plus sophistiqués,(0.3 micron). C’est un peu comme si la grosseur de la maille correspondait à un tunnel de métro pour nous, il y à de l’espace.
Il nous faudrait porter une combinaison totalement étanche pour nous en protéger. Par contre le fait de re-respirer notre gaz carbonique, ou de respirer mal n’est pas bon pour notre santé, cela peut créer de nombreux troubles et complications comme l’hypoxie. (Allez voir sur internet).
Ce masque est aussi le symbole du masque social que nous portons tous, des apparences, il montre bien combien nous cachons qui nous sommes vraiment.
Pour les gels idem, notre corps contient 300000 milliards de virus, et il y en a autant au m³ dans l’air ou l’eau qui nous entoure, ces derniers vivent en osmoses depuis la nuit des temps avec les bactéries. En détruisant notre flore bactérienne sur nos mains en les lavant avec ces gels, nous détruisons notre système défensif et compromettons notre intégrité. Il suffit de voir le chiffre explosif de cas de maladies nosocomiales dans les hôpitaux, pour se rendre compte que si l’hygiène est nécessaire, le trop est l’ennemie du bien, si nous tuons la vie qui nous protège par trop d’hygiène, c’est la mort qui prend la place.
Les mesures de distanciation quant à elles, n’ont pour objectif que de créer une distance psychique entre nous. Finir de casser cette solidarité, qui nous a permis dans le passé de lutter contre des directives et lois injustes.
À présent, toujours sous des prétextes de respect, de bonnes intentions, cette pratique, nous éloigne davantage de l’autre, nous des humanisant davantage.
N’oubliez jamais que si le mal existe, et je le crois, ce dernier a pour principales armes la ruse et le mensonge, et celui-ci sait se déguiser en bon prêtre ou en Prada pour arriver à ces « faims ».
C’est pour toutes ces raisons que je ne porterai pas de masque, ni ne rentrerai dans un magasin où on m’oblige à en porter, cela peut paraître exagéré, mais le faire serait un acte de soumission aux diffuseurs de peur. Résister à la peur cela commence là.
Pour finir, ne pensez pas que je suis irrespectueux des personnes et que mon comportement met la vie de certain en danger. Je suis au contraire très respectueux de la vie, mais je ne gobe pas n’importe quoi.
Si ce virus existe il faudra bien apprendre a vivre avec, en l’assimilant comme nous l’avons fait avec tous les autres. S’il n’existe pas, à quoi bon tout cela, si ce n’est pour cacher des choses inacceptables. Dans les deux cas le masque est inutile.
Merci d’y réfléchir et de partager si cela résonne.
Belen Garcia
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