Nicolas SARKOSY a dit : « Ce n’est pas la réalité qui compte mais la perception de la réalité ». On y reviendra.
Pour ne discuter que des deux mesures principales face à la Covid19.
Le port du masque, au hasard…
Si les virus sont volatiles ou aéroportés, la contamination dépend essentiellement de la charge virale contenue dans l’air localement autour du sujet. D’un seul coup, on peut se demander à quoi servent les masques en extérieur ! ??? Aussi et surtout, les masques chirurgicaux, pourtant bien plus efficaces que les masques en tissus, filtrent seulement 95% des particules mesurant plus de 3 microns. Les virus, eux, ont une taille comprise entre 0,01 et 0,3 microns.
C’est approximativement en moyenne comme si vous vouliez arrêter des balles de golf avec un filet d’une maille de 50 cm par 50 cm. J’espère que le filet n’est pas censé vous protéger ! N’allez pas croire non plus que la taille est le seul facteur. Non, le masque n’arrête pas non plus les balles de golf ou boules de pétanque. Il faut le préciser, les covidistes pourraient se faire mal !
Le pire, c’est noté sur les notices des paquets des masques : « ne protège pas des contaminations virales ou infectieuses ». Cela dit, le gouvernement a fait enlever cette mention sur les nouveaux paquets à vendre. Malins les gars !
Pour les plus obstinés, pour se convaincre que le masque protège, vous diront « Oui, mais les virus ne se transportent pas seuls mais avec de micro-gouttelettes… » blablabla…, NON les gouttelettes ne retiennent pas les virus. Voyez comme une seule expiration cause de la buée dans un verre. Comment croyez-vous que serait votre masque en à peine 5mn ? L’est-il ? Et même mouillé l’air passe, moins bien au travers du masque, mais passe quand même ! Les virus avec…
Ce ne sont que des données physiques. Elles ne sont pas contestables. Et pourtant….
Le masque est en réalité une bombe bactériologique. On le touche en permanence ! Pour le remettre en place, pour vérifier s’il est bien là, pour montrer qu’on le porte bien comme il faut, comme on nous l’a dit. « C’est bien. Tu es bien sage, tu veux un susuc ? »
Patate !
L’expiration a plusieurs fonctions :
- Rejet du CO2
Le port du masque peut donc induire selon la ventilation de la pièce, la température, une moins bonne oxygénation.
- Rejet de bactéries, microbes et autres déchets (micro-organismes…) liés aux principes de la respiration
Ceux-ci, plus gros que les virus, s’accumulent dans le masque.
Pensez-vous qu’il est bon pour la santé de potentiellement réinspirer des éléments dont le corps ait voulu se débarrasser ? En plus de ceux que l’on met avec nos mains sales !
D’ailleurs, c’est pour ça que l’OMS, pourtant pro-pandémie, dans son rapport du mois de juillet : « On ne dispose pas encore de données factuelles directes de qualité qui atteste de l’efficacité du port généralisé du masque par des personnes en bonne santé dans la communauté… il faut procéder à un bilan des avantages et des inconvénients à cet égard… . Les masques médicaux, chirurgicaux FFP N95 doivent être utilisés seulement par des professionnels de la santé ou soignant et seulement face à des malades présentant des symptômes. »
Mais bon, ça, ça ne fait pas les affaires de tout le monde ! Alors, on ne le communique pas.
Le covidiste répondra à tout ça : « Mais t’as pas vu ce qui se passe dans les urgences… ». Oh mon dieu ! La raison lui échappe. Je vois mal comment quelque chose qui ne sert à rien, pire, occasionne potentiellement des infections bactériennes pulmonaires, officiellement on ne les compte pas mais il y en aurait eu plusieurs centaines, qualifiées bien sûr plus tard de Covid19, peut désengorger les urgences ? Ce serait plutôt le contraire !
Le confinement…
Alors là c’est pareil. La logique ou raison est emportée par l’émotion, la croyance, la docilité…
À fortiori, enfermer des gens malades avec des gens sains, ne peut que faire accroitre plus rapidement la proportion de malades. Plongé dans un environnement avec une charge virale importante, le sujet sain n’aura pas le temps de faire en sorte de,
- Soit produire des anticorps qui représente environ 10% de nos défenses immunitaires humorales
- Soit renforcer ses défenses cellulaires (90%), par les lymphocytes B et/ou T
Impossible de faire entendre raison au covidiste. Pas plus que pour les masques. En plus d’être covidiste, il est « confiné ». À ce niveau, c’est un pléonasme.
Heureusement la preuve en image. Oui, nous avons de la chance, il y a, malheureusement qu’un seul exemple en Europe : la Suède. Sa politique a été de ne rien faire. Cool, hein ? La liberté, celle qui est faussement chérie par tout le monde y compris les covidistes… Y-aurait-il eu qu’un seul gouvernement intelligent sur la planète ?
Toujours est-il qu’à partir des sources officielles (https://www.worldometers.info/coronavirus/) , on observe :
En France,
En Suède :
Si l’on compare la première moitié des 2 courbes (remarque pour le covidiste : il faut tenir compte de l’échelle !), on s’aperçoit qu’en France, il y a eu des pics très forts pendant la période de confinement parfois faisant plus du double du nombre de morts quotidien attendu, justement là où le confinement était censé faire effet, même bien après la période d’incubation ! Oh ben ça alors, quelle surprise !
En revanche, en Suède, la courbe s’étale jusqu’à presque fin-juillet, pour un résultat quasi identique en nombre de morts par million d’habitant in fine, ce qu’était censé faire le confinement !
Comme on dit dans mon village : « la messe est dite ! »
Pour les secondes moitiés des courbes, si l’on on se contente de les observer telles qu’elles, on s’aperçoit que la « seconde » vague en Suède est d’une amplitude en moyenne sur les 2 derniers mois, environ 2 fois inférieure avec une forme en cloche comparée à celle de la France qui toute proportion gardée a une structure beaucoup plus plate et un nombre de morts au moins équivalent à la première vague à l’inverse de la Suède, ce qui laisserait entendre qu’évidemment l’immunité collective en Suède ait joué davantage son rôle.
Que voulez-vous, la logique, la raison n’a plus sa place dans ce bas monde !
Le covidiste rétorquera : « Mais comment tu voulais faire autrement ? ». Alors là, les bras m’en tombent ! Plus confiné que ça, tu meurs ! C’est sûr, qu’adopter la politique du pire était sans doute la meilleure chose à faire !
Pour analyser plus précisément la seconde partie des courbes, il faut mettre en perspective l’analyse du nombre des cas.
En France, le nombre de cas (pas de malades ou morts) explose ! :
Notre minus Véran (la racine latine lui va si bien!) explique que l’on fait désormais 280 000 tests par semaine, ce qui représente 40 000 tests par jour. Pas rien ! Alors là, il faut bien l’avouer quand on sait ça, on observe que depuis mi-octobre jusqu’à mi-novembre on a presque 100% de tests positifs dis-donc ! Des fois, bien plus. Trop balaise !
Bon il faut savoir, au moins une petite chose en plus.
D’abord, l’inventeur des tests d’amplification en chaîne par polymérase dits PCR, le prix Nobel de chimie 1993 Kary Mullis avait de son vivant fait savoir que le test PCR ne permettait pas de détecter une infection virale. Je dis bien de son vivant parce qu’il est mort mystérieusement au mois d’août dernier comme par enchantement ! C’est bête, hein…
« Mais enfin bon, admettons » à la Jean-Marie Bigard dans le sketch de la chauve-souris, hihihi… Voyez-vous, les fameux tests PCR, jusqu’au mois de juillet étaient amplifiés à 25 fois contre 30 recommandé. Conséquence, on pouvait avoir de faux cas positifs, certes, mais aussi beaucoup de faux négatifs. Ça laissait l’opportunité d’avoir un taux de mortalité très élevé. En même temps il fallait faire peur. Bouh !
Et puis comme il n’y a plus eu de mort ou trop peu de la Covid19, comme annoncé à la sortie du confinement pour prétendre à une seconde vague, attendue, puis encore attendue… du coup, on nous a focalisé sur les cas positifs, puis après sur les cas contacts ! Mais qu’est-ce donc ? Ben oui, c’est tellement plus pratique.
Et donc depuis le mois de juillet, les tests PCR sont amplifiés de 45 à 50 fois ! En théorie, cela induit qu’il y ait 95% de faux cas positifs. Mais comptabilisés comme vrais, évidemment !
Le covidiste répondra : « Pffff, on n’en sait rien. C’est de la théorie ».
Mais là encore une fois, on a un exemple : les anglais ! Ils ont été assez cons pour faire le test grandeur nature. À Liverpool, il y avait un taux de cas positifs tellement hallucinant, 13,3% de la population en même temps (car il faut bien vous dire une chose, avec un R0 à 2 (R0 si bien expliqué dans l’article https://temoignagefiscal.com/le-coronavirus-ou-le-mange-cailloux/), on a déjà tous était contaminé par la Covid19 au moins 1 fois), qu’ils ont fait appel à l’armée et forcé la population à se faire tester avec des tests antigéniques, bien plus fiables. Oui, l’armée a des tests antigéniques et l’hydroxychloroquine aussi et nous les tests PCR et le Remdésivir qui tue. On l’a vu partout dans la presse… Résultat ? Il n’y avait plus que 0,7% de cas positifs, soit seulement 5,3% de vrais cas positifs comparés aux cas positifs des tests PCR. Pour le coup, silence radio. Bien entendu…
C’est chiant quand la réalité colle à la théorie. Hein ?
Et puis cas positif ne veut pas dire malade et encore moins mort !
On en déduit facilement que depuis juillet presque tous les morts déclarés Covid19, cas positifs n’en sont pas, comme on ne peut plus dire que les urgences sont blindées de cas de Covid19.
Si en plus vous vous dites que quand bien même testé positif, la Covid19 n’est pas forcément la cause de la mort…, ça ne laisse plus beaucoup de place à la dangerosité de la Covid19 !
D’ailleurs comment pourrait-il en être autrement ?
Tous les ans à la même période, à partir de mi-octobre, les urgences sont saturées. Et si cette année, il y a 85% de cas de Covid19 (annoncés), où sont les cas d’urgence habituels ? !!!
Ben c’est vrai, cette année contre entre 10 000 et 14 000 morts de cas de grippe, il n’y en a eu que 72 !
Et les morts liés aux infections virales pulmonaires ? 60 000 par an. Disparus ! Les bronchites, les pneumonies, les rhumes… tout ce qui touchait des millions de personnes par an ? Comme la Covid19 peut toucher tous les organes, même le mec qu’a la chiasse, c’est la Covid !
La pandémie de Covid19 ne se serait-elle pas en réalité une pandémie de test PCR ?
D’ailleurs, cela fait l’objet d’une plainte pour crime contre l’humanité menée par le Dr Reiner Fulmich, avocat allemand. Vérifiez !
« Je vois des jeunes mourir… dans les hôpitaux… », avec son petit numéro Véran qui déboule à l’assemblée, cré cré en colère tout rouge, laissant ainsi supposer qu’il y en a des milliers. Heil Véran !
Savez-vous combien il y a de morts de la Covid19 de moins de 30 ans en France depuis le début ? 28. Des candidats poly-symptomatiques… Bref à regarder les courbes, il n’y a rien d’anormal.
Avec un âge médian de mortalité des Covid19 à 84 ans et une espérance de vie à la naissance de 79 ans, ne serait-il pas normal finalement de mourir de ça ou d’autre chose sachant que toutes les autres maladies ont disparu selon les tests PCR ?
Il est étonnant de constater que des décès, qu’ils aient été causés par un accident de voiture…, une fois testés, si le test est positif, ils sont comptabilisés Covid19. Plusieurs plaintes rapportées au ministère de la santé ont déjà été enregistrées par centaines. Si si, allez-y vérifiez…
https://youtu.be/nvzgPVha3hs (1mn 21s)
Une petite vidéo plus sérieuse de 2m39s du Prof. Christian Perronne, Chef de service des maladies infectieuses de l’hôpital Raymond-Poincaré à Garches expliquant l’intérêt vénal à diagnostiquer des cas positifs :
Mais aussi, diffusé sur LCI :
Enfin…, le test PCR, pour qu’il ait une véritable signification, quantitative, il aurait fallu avoir développé des contrôles des positifs sur des patients. Nos positifs sont juste basés sur des dilutions de molécules donc il n’y a pas d’indication physiologique donc ne sont pas équivalents à une charge virale. Se faire tester sans symptômes ne sert à… rien.
Et quand bien même on a des symptômes et qu’on est positif, il n’y a pas de protocole ! En même temps l’état s’est tellement acharné à décrédibiliser certains traitements, qu’il n’est plus possible d’en avoir un.
Une anecdote quand même… Une personne plus ou moins proche, paniquée par la Covid19 crie « je vais mourir… ». Mal de tête, température, toussote un peu et bien évidemment perte du goût. Bref la totale. Va voir son médecin… refuse de diagnostiquer quoique ce soit… boum, direct au test. Pas de bol, test négatif. Pourtant avec 95% de faux cas positifs… le médecin recommande un nouveau test pour être sûr. Re-test négatif. Ils sont nuls ces tests de merde ! Le médecin finit donc avec toutes les précautions d’usage par l’ausculter. Bilan une sinusite ! Une maladie de plus qui n’existe plus dans le vidal dis-donc !
Et si par malheur vous devez être hospitalisé et que le test PCR est négatif, hop radio des poumons. À partir d’un certain âge, qu’on ait fumé ou pas… ce serait étonnant qu’il n’y ait pas une tâche quelque part. Oh ben là, dans 100% des cas vous serez estampillé Covid19 ! Et paf, un de plus. Alors pour m’être intéressé à l’imagerie médicale (en rapport avec les probabilités), je pose la question : quelle est la différence entre une tâche sombre causée par « x » et une tâche sombre « susceptible d’être des suites probables d’une contamination par la Covid19 » ? Heureusement que le conditionnel existe, lui ! Réponse : la même différence qu’il y a entre un bon et un mauvais chasseur, pour reprendre le sketch des Inconnus !
Et puis il y a les confinés qui somatisent à mort ! Sans faire de vilain jeu de mots. En moins de 3 jours ils ressentent tous les symptômes… perte du goût, mal aux reins… Ce sont des confinés avec palmes. Euh pas celles pour nager mais celles de la légion d’honneur. Espèce de confiné ! À moins qu’ils aient fini par être hypnotisés ? On verra plus tard…
Bon alors, selon les sources officielles, voici l’évolution de l’indice de surmortalité sur les 4 dernières années :
À la lecture de ce graphique, I faut comprendre qu’en-dehors de la période où on a été confiné, rien n’indique une surmortalité. Il n’y a donc pas de pandémie au sens strict du terme. Sauf si l’on parle de cas positifs, pire de cas contact ! Bientôt, il suffira d’être vivant pour que vous soyez soupçonné d’être un « assassin » si vous ne portez pas de masque… Dès la naissance, hop en taule ! Non mais, sale bébé !
Aussi, ayant éliminé toutes les autres pathologies ou presque, pendant le premier confinement, les hôpitaux et cliniques privées vides, on estime à environ 75 000 morts, les personnes qui n’auront pas été diagnostiquées à temps ou prises en charge pour d’autres pathologies.
Mais alors la surmortalité, qui reste tout de même très relative, constatée pendant la période de confinement ne serait-elle pas plus dû aux mesures prises contre la Covid19 que le virus lui-même ? J’aime à penser que oui. La démonstration est triviale, sauf pour les covidistes. Je ne vous ferais pas l’affront de la faire ici.
Bon, donc depuis le début de cette épidémie, pour être plus propre sur le terme à employer, il n’y a rien de cohérent. Rien. Une dichotomie énorme entre la réalité, la lecture des données brutes, même officielles, et les informations diffusées exponentiellement trompeuse.
Je dis « brutes », parce qu’il y a fort à parier que les vrais morts de la Covid19 ne représentent pas beaucoup plus d’un tiers de ce que nous comptons. Sinon certain !
Personne ne conteste les recommandations toutes aussi plus grotesques les unes que les autres.
Personne ne peut nier qu’on nous a empêcher de nous soigner normalement. Le covidiste dira « mais on ne savait rien à propos de la Covid19 au début ! ». Pourtant le gouvernement en savait bien assez pour nous interdire tout ce dont on avait besoin, aspirine, anti-inflammatoire, corticoïdes… , pour notre bien ! Quelle attention, on n’en demandait pas tant.
Il avait même été également interdit de faire les autopsies. Faudrait surtout pas savoir de quoi on meurt vraiment !
On ne reviendra pas sur l’interdiction de l’hydroxychloroquine au profit du Remdésivir qui vous flingue les reins à coup sûr et de l’étude honteuse Recovery, ou de la publication The Lancet.
152 études montrent l’efficacité de l’hydroxychloroquine par un abaissement de la mortalité par 2 au minimum, à appareillage équivalent. Pour le covidiste, je répète « à appareillage équivalent » et s’il ne sait pas ce que ça veut dire qu’il cherche ! Ça le sortira de sa TV ou infos de merde reçues par BFM… et de tous ces poisons !
Site de référence officiel pour ceux qui ont un peu plus qu’un verre d’eau tiède entre les oreilles de covidiste : https://hcqmeta.com/ (1 chance sur 1 quadrillion que l’hydroxychloroquine n’est pas d’effets positifs). Covidiste relit au moins 2 fois pour être sûr d’avoir compris le sens…
Entre les faux morts du Covid19 et le fait qu’on nous ait empêcher de nous soigner, nous aurions dû avoir entre 5000 et 10000 morts de la Covid19 ! Qui plus est, des morts de substitution par rapport à d’autres virus ou maladies compte tenu de la surmortalité (cf analyse au-dessus pour le covidiste qui a la mémoire d’un poisson rouge au profit de profondes croyances…).
Ah ! Une petite parenthèse, la vitamine C, D, zinc, magnésium… marche très bien en plus, d’aérer son logement, de se laver (pour de vrai), un minimum d’exercices physiques… enfin des trucs tout bête. Comme moi ! Sans être confiné, je dois bien être un peu con sur les bords. Si si, vous comprendrez un peu plus tard…
Une autre petite précision, le corps est pour moitié constitué de cellules humaines et l’autre de… bactéries, microbes, virus en tout genre. Ce qui fait que notre système immunitaire fonctionne est que notre corps est en permanence attaqué par les virus… Vouloir se protéger, ne plus être en contact avec les virus… serait de fait affaiblir notre système immunitaire.
C’est ce qui explique que selon votre état de santé vous serez sensible à un virus comme la Covid19, la grippe, un autre coronavirus comme le rhume… ou pas. Si on vous teste pour savoir si vous êtes infecté par le virus d’un rhume, il y a 1 chance sur 2 pour que vous le soyez, sans pour autant que vous en soyez malade !
Alors, votre patrimoine génétique fera de vous quelqu’un de plus ou moins résistant, certes, mais ne pas admettre que de ne pas prendre soin de soi est un facteur aggravant, c’est vouloir, une fois de plus, ne pas engager sa propre responsabilité. Pourtant, il n’en fait aucun doute.
Si vous ne faites plus d’exercices physiques, vos muscles fondent.
Si vous ne réfléchissez plus, vous devenez covidiste ou confiné au choix.
Et s’il y a bien une chose à accepter aussi, c’est de vieillir. Devenant plus faible, on finit par mourir, d’une maladie, d’une bactérie, d’un virus, parfois même aussi insignifiants soient-ils ! Surtout à 84 ans et plus !
Parce qu’une réalité saute aux yeux aujourd’hui, comme prévu au mois de mars, la Covid19 (SRAS COV 2) est devenu un virus insignifiant comme le SRAS COV 1 (2001), qui a pourtant fait plus de morts (réels) et lequel a été régulé de manière naturelle, sans aucun vaccin…
En revanche, c’est la loi des virus, s’il est moins virulent, il sera plus contagieux… C’est une loi naturelle lié à la survie de chaque espèce, même si le virus n’en est pas une.
Donc il faut être complètement confiné, pour se focaliser sur la contamination, les tests, puisque le virus fera moins de malade et par conséquent moins de morts jusqu’à ce que cela tende vers zéro, comme tous les autres coronavirus.
Mais ce sera le prétexte avancé pour la vaccination. On fera la même allégorie au sujet de la Covid19 que pour… la tuberculose par exemple. La tuberculose faisait 35% de morts. La Covid19 0,05% selon la « police » à 0,01% selon la réalité… Je vous laisse réfléchir sur son utilité sachant que cela tend vers 0.
Enfin le plus intéressant…
Nous disions « Ce n’est pas la réalité qui compte mais la perception de la réalité » – Nicolas SARKOSY.
Oui, parce que tout de même, la vraie question est : comment se fait-il qu’il y ait autant de covidistes ?
« Il ne faut pas sortir de Saint-Cyr » pour se rendre compte que globalement toutes les mesures prises contre la Covid19 n’ont été qu’aggravantes et que la dangerosité réelle de ce coronavirus est désormais quasi nulle.
Ah, je sens bien qu’en disant ça, devant la démonstration précédente, le covidiste était un tantinet septique, mais que là, d’un coup, la conclusion n’est pas possible.
C’est l’effet d’ancrage. L’idée se transforme en mème. https://temoignagefiscal.com/le-meme-du-coronavirus/
De la même manière que l’on créé le tube de l’été !
Mais qui sont ces covidistes ? Parce qu’il y a pourtant parmi eux des gens qui ont fait de hautes études ! Si si, même parfois polytechnique, l’ENA… même médecine ! Même chez cette élite supérieure, au moins 75% d’entre eux sont covidistes.
Ah, pardon, « je m’a gouré ». L’énarque, lui, il sait tout. Quand il a fini sa réponse, on ne sait plus quelle était la question, mais il a raison, c’est sûr. Glups ! C’est l’enavirus. Pour le coup, il n’y a pas encore de vaccin et celui-ci serait pourtant bien utile !
Avec cette histoire de Covid19, on tombe dans le simulacre de Platon. Il n’y a plus que des débats d’opinions. On s’éloigne de la raison vers la croyance. Et les croyants, comme on l’a vu, font systématiquement diversion.
Les foules sont plus sensibles par l’émotionnel que le rationnel… cela réduit drastiquement l’intelligence individuelle. On ne réfléchit plus ! On devient covidiste ! C’est valable pour toutes les religions d’ailleurs…
Personne ne vérifie les faits, surtout pas les journalistes d’ailleurs, des faits partiellement exposés. On est dans la tromperie. Et ça marche !
Comment ?
Pêle-mêle, des idées pour expliquer que les hommes ne résistent pas à l’idée de conformité qui font d’eux des fascistes.
L’expérience de Asch sur le conformisme (1951).
Il s’agit de mesurer l’influence du groupe sur l’individu. L’individu seul face à un test à reconnaître des évidences aura dans 99% des cas fait un sans-faute. En revanche, ce même un individu au milieu d’un groupe (acteurs) répondant volontairement de fausses réponses, seulement 25% des sujets commettront un sans-faute, avec un taux de 30% de mauvaises réponses. Les sujets étant débriefés à la fin de l’expérience, certains étaient intimement persuadés qu’ils avaient toujours donné la bonne réponse. D’autres avouaient s’être laissés convaincre par l’opinion unanime du groupe ; et enfin certains avaient la bonne réponse, mais ne voulaient pas dénoter par rapport au groupe. Cette expérience a été répétée plusieurs fois à différentes époques. On obtient toujours le même résultat.
L’expérience Milgram
Suite aux catastrophes endurées pendant l’Holocauste, Stanley Milgram s’est interrogé sur l’obéissance aveugle d’une grande partie des Allemands. Prenant le prétexte de réaliser une expérience, Stanley Milgram a demandé à plusieurs personnes de poser des questions à un homme soigneusement attaché à un générateur de décharges électriques. À chaque mauvaise réponse, les personnes devaient lui envoyer des décharges. Seulement, l’homme en question était un acteur et les chocs électriques étaient bel et bien faux. En revanche, les personnes choisies pour lui infliger ses punitions l’ignoraient bien évidemment. Le résultat de cette expérience a démontré que les cobayes, pour 75% des cas, ont obéi au doigt et à l’œil aux consignes de l’expérimentateur représentant l’autorité ; quand bien même l’homme attaché hurlait et pleurait de douleur et dont le seuil théorique de résistance à l’intensité mortelle approchait. Stanley Milgram en a conclu que les résultats étaient « inattendus et inquiétants ».
Vous allez penser « Quel gros con ce mec ! ». Oui parce que de ces expériences, j’en tire la conclusion qu’environ 75% d’entre nous sont bien structurés pour devenir de vrais fascistes. Et alors pour ceux qui aspirent à prendre le pouvoir (élus, hauts fonctionnaires…) on approche les 100%.
Pour vous en convaincre, on continue ?
La troisième vague
Cette expérience, similaire à celle de Milgram, consistait à étudier les mécaniques sociales du fascisme lors de la Seconde Guerre mondiale. Le Professeur Ron Jones mena l’expérience sur une classe entière de lycéens. Il fonda au sein du groupe d’étudiants un mouvement idéologique mettant en avant les mérites de la discipline et de la communauté. Les étudiants se sont montrés motivés et déterminés, plus attentifs également en cours et ont manifesté des signes de rejet envers ceux qui ne suivaient pas comme il se devait le mouvement instauré, ces derniers étant appelés « La Troisième Vague ». Le Professeur Ron Jones s’est vu obligé d’arrêter son expérience au bout du 4e jour voyant que cette dernière lui échappait complètement.
L’expérience de la prison de Stanford
Un groupe de 24 personnes sélectionnées pour n’avoir aucun antécédant… se prêtent au jeu de jouer aux prisonniers et aux gardiens dans des conditions réelles. Les résultats montrent que les prisonniers deviennent rapidement apathiques. L’auteur ne pensait pas que cela pouvait se passer dans une situation de jeu et les résultats sont allés bien au-delà de ses attentes. On note que c’est la définition de l’environnement social qui structure les conduites et les perceptions jusqu’à un point que nous sous-estimons. Gardes et prisonniers reproduisent la plupart des comportements avilissants que l’on peut rencontrer dans de vraies prisons.
Ne voyez-vous pas des similitudes avec ce que nous vivons aujourd’hui ? T’es complétement confiné ou bien ?
Malgré l’expérience du premier confinement, environ 75% des français (décidément, ce chiffre est persistant) selon les sondages étaient pour le second confinement.
Pour le premier, si peu étaient soit suffisamment intelligents et lucides à la fois pour comprendre que ce serait une catastrophe, à postériori, pour le premier, la catastrophe est pourtant belle et bien démontrée. Seulement c’est toujours pareil, admettre qu’on a eu tort, surtout dans ces conditions, ce n’est pas facile. Les plus salauds feindront de l’ignorer pour en remettre une couche ! Et c’est exactement ce que fait chacun à la hauteur du pouvoir qu’il représente.
Comment peut-on accepter un tel désordre, chao, économique, psychologique, sociologique pour… rien !?
En 10 points ce que l’on appelle l’ingénierie sociale :
Au début en février, rappelez-vous : « Le coronavirus, n’est pas dangereux » en regardant ce qui se passe en Italie. « Les masques ne sont pas utiles mais ne vous inquiétez pas nous montons en urgence un comité scientifiques » en montrant des scientifiques avec combinaisons intégrales comme s’il s’agissait du virus Ebola. C’est un double discours qui crée en réalité une dissonance cognitive et le peuple trouvera des réponses du bien-fondé des mesures gouvernementales complétement absurdes que lui-même va demander. Pour bien enfoncer le clou, on va même jusqu’à provoquer une frustration en créant le manque, la pénurie tel que le peuple sera avide de mesures de sécurité quand bien même fussent-elles liberticides ou absurdes tant raillées mais bien observées, jusqu’à la délation, pour toujours bien faire partie du groupe. Le masque ne sert à rien mais il se voit. C’est rassurant… pour les covidistes uniquement.
Edward BERNAYS écrivait en 1928 Propaganda « Comment manipuler l’opinion en démocratie ? »
En bref, en 10 règles :
- La distraction
La télé par exemple, elle distrait et met en état d’hypnose ! Sans savoir pourquoi on continue de la regarder.
Les informations répétées, aussi absurdes, finissent par rentrer dans le crâne.
Plus subtilement, il faut détourner l’attention de la nation et défaire les identités.
On diffuse la désinformation de manière complexe
- Créer un problème pour mieux le résoudre
Par exemple, on laisse monter l’insécurité pour mieux arriver comme un sauveur.
Il faut comprendre que nous avons 4 grands fantasmes fondamentaux :
L’intérêt matériel immédiat
La peur, aujourd’hui celle d’un virus invisible donc parfait pour disséminer la peur
L’érotisation, autrement dit l’envie
L’agressivité
La peur et l’envie étant finalement les deux principaux moteurs.
- La dégradation progressive
Autrement dit, le fascisme progressiste.
Il s’agit de vous donner des informations au compte goute pour que petit à petit vous acceptiez ce que vous auriez refusé si on vous avait tout dit d’un coup. C’est le coup de la grenouille que l’on met dans l’eau que l’on fait réchauffer progressivement. On s’habitue.
La vie normale ne pourra être retrouver qu’à partir du moment où il y aura un vaccin. L’idée du vaccin admise… Le vaccin étant ce qu’il est, il faudra continuer les gestes barrières, porter les masques et probablement faire de nouveaux confinements… Et ainsi de suite… et le bon peuple oublie, devant la télé…
NB : c’est exactement de cette manière que grossit notre administration, petit à petit comme le cancer. L’administration ne peut être par nature que fasciste et c’est bien pour ça qu’il faudrait ne lui laisser aucun pouvoir. Ce qui est loin d’être le cas aujourd’hui.
- La stratégie du différé, le « on s’en occupera »
On s’occupe de la « pandémie », on s’occupera de l’économie plus tard (sachant que l’économie ne se maîtrise pas) et le plus tard ne viendra donc jamais.
En revanche les lois liberticides… pleuvent… comme le fichage (encore 3 nouveaux décrets), l’interdiction de filmer, de s’exprimer, on ne compte plus les articles, vidéos censurés par des organismes dits indépendants…, des articles mêmes scientifiques disparus de la toile prouvant que la science n’est plus que politique…, on interne ce qui ne pensent pas comme l’omerta en hôpital psychiatrique…, on décrédibilise les autres…
Les parlementaires n’ont même plus la parole s’ils ne vont pas dans le bon sens. Le gouvernement impose.
En bref, bien qu’un mal nécessaire, la démocratie ne fonctionne plus. Il y a une concentration des pouvoirs. Nous sommes en dictature.
À l’ONU, les rapporteurs aux Droits de l’Homme s’inquiètent pour le respect de plusieurs libertés fondamentales en France presque exclusivement : https://flip.it/ngRah6
- S’adresser au public comme à un enfant en bas âge
On vous fait culpabiliser. Vous ne mettez pas votre masque même s’il ne sert à rien. Mais c’est une mesure qui se voit qui donne l’illusion.
Et si vous agissez mal, vous serez puni, banni du groupe, sans compter l’amende !
- S’adresser à l’émotionnel
Le virus devenu insignifiant, on entretien la peur de mourir. Il faut obéir comme on nous l’a appris depuis l’école… et avant. On agit sur la culpabilité, encore et encore…
- Encourager le peuple à se maintenir dans la bêtise et l’ignorance
L’esprit critique est anéanti par les normes, les procédures, la normalisation… le big data… Si vous n’êtes pas spécialiste du domaine, quand bien même la question ne relèverait que du simple bon sens, vous n’êtes pas autorisé à donner votre avis même fusse-t-il issu d’une démonstration logique.
On applique le formatage de tous les modes de communication. Aujourd’hui, on ne peut être que covidiste ou complotiste. La pensée devient binaire. Débile ? Oui.
- Se complaire dans la médiocrité
On a besoin de se sentir appartenir à un groupe. Pour bien comprendre selon la pyramide de Maslow :
- Besoins physiologiques primaires (boire, manger et dormir).
- Besoin de sécurité (peur de mourir), inhibe la raison au profit de l’émotion.
- Besoin d’appartenir à un groupe, à mettre en perspective les expérience de Hash, Milgram… . Avec le masque on fait d’un groupe une succession de personnes détachées des unes des autres. Si tu ne mets pas de masque alors tu seras banni du groupe, allant jusqu’à la délation par ceux qui souffrent des mêmes maux que nous.
- Besoin d’estime de soi. La culpabilisation est un sentiment qui au contraire détruit. Elle rend docile.
- Besoin de réalisation de soi, dans une économie détruite, ça devient plus compliqué.
Une économie prospère, permet de réaliser tous ces étages.
- Remplacer la colère par la culpabilité (encore)
Seriez-vous égoïste au point d’être responsable de la mort des gens qui vous entourent, que vous aimez, que vous croisez ?
- Les humains n’aiment pas le changement
Pour faire admettre le changement, il suffit d’un choc pour imposer de nouvelles normes. Faire admettre que nos habitudes ne sont pas les bonnes.
Diviser pour mieux régner. Pro-masques vs anti-masques, distanciation sociale. Le virus est l’alibi parfait, parce qu’invisible.
En ingénierie sociale, il existe d’innombrables essais sociologiques concernant la manipulation de masse. Nul doute que nos hommes du pouvoir en aient fait à un moment donné ou à un autre leurs livres de chevet.
Avec tout cela, les gens sont perdus et pour ne pas être rejeté du groupe, ils s’autocensurent pour se conformer à ce qu’ils croient être la pensée du groupe, les médias reflétant en principe l’opinion publique. Avide de sensationnalisme, au début sans forcément trop y croire, la population en redemande. La presse fournit quitte à distiller de fausses informations ou trompeuses. Vient alors l’encrage. Les politiques encouragés, voulant avant tout être réélus, s’exécutent et renchérissent encore plus le mouvement pour conforter leur pouvoir. Un vrai cercle vicieux. Nos élus, hauts fonctionnaires jouissent de leur pouvoir et le covidiste est rassuré.
Que tout cela se produise de manière concertée, planifiée (thèse complotiste) ou de manière naturelle, tant la bêtise des gens du pouvoir et de la population est insondable, cette manière de gouverner et de convaincre le bien-fondé des mesures prises que la population n’aurait jamais acceptées normalement est inacceptable.
Les covidistes sont par nature, des fascistes qui s’ignorent. Des égoïstes, des salauds incapables de prendre une quelconque décision, assumer une quelconque responsabilité. Des lâches.
Toute la magie de notre « chère » administration.
Dans la hiérarchie, chacun obéit se croyant à l’abri et espérant pouvoir tirer parti de quelques avantages. On monte des comités pour prendre des décisions… à plusieurs. Pas de responsabilité.
Il y a ceux qui obéissent, et pire, ceux qui sont partie prenante, comme les élus (députés, maires… et surtout les préfets), directeurs d’établissement publics (hôpitaux, établissements scolaires…) et mêmes des grandes entreprises (des PDG aux différents directeurs et managers…).
On se conforme tant à ce que l’on croit être l’avis du groupe, que cela fini par le devenir. C’est un phénomène auto-réalisateur.
Et plus on se sent en sécurité (comme les fonctionnaires ou assimilés comme dans les grandes entreprises) et/ou plus on se trouve haut dans la hiérarchie (plus les salaires sont importants) ce qui confère une certaine sécurité également, plus bien souvent on est un covidiste convaincu, incapable d’anticiper quoique ce soit perdant tout le sens des réalités, en somme le bon sens. Le confinement ne les inquiète pas… il ne change rien sinon même les covidistes peuvent en profiter. Après tout, 80% des gens occupés dans ces conditions font un travail qui ne sert à rien, alors rien ne changera… Ils peuvent se contenter d’écouter ce qui les arrange. Il y aura des exceptions bien évidemment.
D’autres en mal d’héroïsme ou de reconnaissance (comme ceux qui aiment le pouvoir, comme beaucoup de personnels soignants…) se feront un plaisir d’amplifier leurs actes avec zèle et finiront par croire à ce qu’ils ont envie de vivre. De vrais mythomanes.
À contrario, les plus fragiles, comme par exemple les plus anciens, souvent par jalousie, sont favorables aux mesures égalitaristes, comme le confinement… ils peuvent aussi fantasmer sur l’utilité d’un vaccin, lequel s’il était efficace, protégeant des virus, ceux-ci pourraient accroitre significativement leur espérance de vie. Il faut bien le dire, ils n’ont plus grand-chose à perdre, eux !
Bref, tout cela n’est que l’expression du comble de l’égoïsme, de l’orgueil, de la vanité ou encore de la jalousie. Tout cela au prix de la liberté.
Mais souvenez-vous des conclusions de l’expérience de Asch « certains étaient intimement persuadés qu’ils avaient toujours donné la bonne réponse », en analysant bien tous les effets de ce que l’on appelle l’ingénierie sociale, ne serait-il pas possible que la population mondiale soit hypnotisée au point d’être victime d’une hallucination collective ?
L’état d’urgence sanitaire à induit une dictature. C’est un fait. L’histoire montre qu’en général, toutes les libertés prises par les hommes du pouvoir ne seront jamais restituées.
Jean-Paul Sartre : « Jamais nous n’avons été plus libre que sous l’occupation allemande ». Provocateur, c’était un appel à prendre position pour la résistance.
On créé un problème, le virus, en amenant la solution, le « vaccin ».
Covidiste, si tu es sincère, que tu as cru aux masques, aux confinements…, va te faire « vacciner ».
Oui, à plus ou moins long terme, le « vaccin » est une solution à condition qu’il ne soit pas obligatoire et que rien ne force à l’être pour vivre normalement. Après tout, s’ils sont efficaces, ceux qui se seront « vaccinés » ne risquerons plus rien de ceux qui ne le sont pas. Chacun doit être libre de ses décisions et convictions. Tant qu’il s’agit d’un acte consenti et éclairé, les bases du libéralisme… je ne vois aucun souci à cela.
En revanche, je ne trouve pas normal que ce soit l’État qui sélectionne pour toi, covidiste, le bon « vaccin ». Tu devrais être libre de tes choix. Sachant qu’ils ont chacun des particularités différentes, cela te permettrait potentiellement de cumuler les « qualités » de chacun… On n’est jamais trop prudent !
Ne l’oubliez pas, l’État est un ami qui vous veut du bien, surtout à ceux qui prétendent en être les légitimes représentants, parce que la réalité, c’est que l’État n’existe pas. Il n’y a que des hommes.