L’attentat de Sydney est terrifiant, inacceptable, révoltant, mais exemplaire.
D’un côté il révèle les tares de l’appartenance aux multiples vocables sémantiques : communautarisme, nationalisme, sectarisme, etc… De l’autre côté il confirme l’espoir que l’homme peut dépasser cette appartenance.
Nous sommes imprégnés, depuis la nuit des temps, de cette nécessité clanique issue de notre faiblesse originelle qui nous a obligé à nous regrouper pour survivre.
Cette grégarité s’applique à nous aveuglément, de la nation au clocher, de la famille aux croyances. D’avantage — qu’elle a été — elle est devenue le handicap numéro un, celui qui pourrait éradiquer l’homme de la planète.
L’homme n’est rien de plus qu’un être vivant, en cela son destin ne doit prendre en compte qu’exclusivement deux états : la vie et le néant, tout le reste n’est que fausse route et obscurantisme.
Donc l’homme ne peut que respecter le vivant dans tous ses aspects et interroger le néant scientifiquement sans lui conférer des abstractions fatalement fausses. Le néant n’étant que la limite de nos connaissances, inutile de le remplir de bobards.
A Sydney
Une communauté, vieille de 3000 ans, se rassemble sur la plage de Bondi pour une fête traditionnelle : l’Hanouka.
Représentant une autre communauté, deux hommes, au cerveau dérangé par leur dépendance communautaire, ouvrent le feu sur les participants à la fête.
Soudain, surgit un homme dans la force de l’âge, M. Ahmed al-Ahmed, australien d’origine Syrienne, musulman, qui au prix d’un risque fou désarme l’un des tireurs.
Immédiatement différentes communautés accaparent le héros, car c’en est un, encore plus grand qu’il parait.
Le constat
Dans cette horreur totale de Sydney, paroxysme des dérangements intellectuels liés aux déviances inévitables des différents communautarismes, l’action de M. Ahmed al-Ahmed apporte la preuve que, au-delà des actions réductrices de l’appartenance, le simple respect de la vie, du vivant, projette l’homme vers l’absolu, vers la beauté, vers l’honneur, vers l’universalité.
Bien à vous. H. Dumas
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La “vie et le néant”, l'”être et le néant” :
décidément, de Jean-Paul Sartre à Henri Dumas,
il n’y avait plus qu’un pas philosophique à franchir !
Avec ce billet, d’inspiration semi-nihiliste, semi-existentialiste,
que personnellement je désapprouve,
c’est désormais chose faite !
Imagine-t-on refaçonner la France sur de pareils principes ?
Ce serait l’achever à coup sûr !
LA FRANCE CROIT EN DIEU
ET LE FILM “Sacré-Coeur”
QUI TRIOMPHE ACTUELLEMENT EN ATTESTE !
Curieux itinéraire spirituel à rebours,
en un peu plus d’une décennie-que celui
de Monsieur DUMAS !
Se souvient-il seulement que dans les commencements de son combat
contre le Fisc, il venait tout exprès depuis l’Hérault pour PRIER en plein air,
à Paris devant Bercy ?
Et PRIER POUR DE BON, puisque dans ses écrits d’antan,
il expliquait alors qu’il établissait une distinction très nette entre temps de prière et simple méditation ?
Que s’est-il passé depuis cette époque pour qu’il se soit opéré en lui un tel revirement ?
Je l’ignore ! Lui seul peut le dire !
Finalement, Monsieur le Libre-Penseur héraultais,
c’est tout près du lieu où je vis en Dordogne (à 14 kilomètres de distance exactement)
que vous devriez venir vous retirer : en la ville de Thiviers,
cité natale de…Jean-Paul Sartre, en Périgord Vert, elle-même située non loin d’une
autre se nommant, le croirez-vous?…”Saint-Germain-des-Prés” !!!
Dans cette dernière, on y installera un certain habitant de la rue de Rennes, qui ne sera ainsi pas trop dépaysé non plus !
Je suis bien content pour vous deux : vous pourrez vous voir souvent !
Quant à mon très admiré Donald Trump, je l’imagine fort bien plus au Sud du même département, en Périgord Noir :
au château de Rastignac, dont il se dit qu’il aurait
servi de modèle architectural…à la Maison Blanche !!!
En “géographie sacrée”, au moins,
toujours se manifeste…L’HUMOUR DE DIEU
(cette forme méconnue de sa présence réelle) !
Et c’est signé : “UN PAUVRE TYPE DE LA CAMPAGNE” !