Vous êtes français, vous travaillez , vivez tranquillement à l’étranger et n’avez que de lointains contacts avec votre pays de naissance.
Soudain, Nosferafisc, le vampire de Bercy, entre chez vous subrepticement, vous attrape à la gorge et vous saigne à blanc.
C’est fini, vous êtes mort !
Enfin, ça c’est que l’on essaie de vous faire croire et c’est surtout la dernière idée du NFP, et plus particulièrement de notre futur possible premier ministre Lucie Castets, pour solutionner le problème des dettes que la France ne peut plus rembourser !
Et Madame Castets, qui est une haut fonctionnaire ayant œuvré à Tracfin, organisme chargé de traquer implacablement le fraudeur fiscal ou présumé tel, déborde visiblement d’idées en matière fiscale et surtout en matière de spoliation fiscale violente !
En gros, l’idée ce serait de faire comme les Etats Unis, c’est à dire de percevoir l’impôt sur le revenu sur ses ressortissants ; quel que soit l’endroit où ils se trouvent dans le monde !
Et la presse commence à agiter cette idée avec une gourmandise évidente ; histoire de bien flanquer la trouille aux personnes qui auraient des idées d’expatriation pour le cas où elles voudraient échapper à une dictature mélenchoniste et à une probable prédation financière !
D’ores et déjà, il faut savoir que le système américain n’est pas aussi efficace qu’on pourrait le croire car j’ai connu des américains expatriés qui échappaient au radar de l’IRS dont la puissance et la rapacité n’a d’ailleurs rien à envier à notre Bercy national !
C’est, avant tout, un fantasme de haut fonctionnaire qui se croit tout puissant partout sur toute la planète !
Ego, quand tu nous tiens !
Mais, il est vrai que, s’il y a un domaine où l’administration française prospère, c’est bien dans l’action de terroriser le contribuable ; d’autant qu’en France, il est hors de question de diminuer les dépenses donc … on n’a pas le choix, il faut impérativement augmenter toujours plus les recettes et, désormais eu égard aux grosses boulettes commises depuis 50 ans, de manière considérable.
Vous connaissez l’aphorisme d’Audiard : A quoi reconnait-on un con ?
C’est qu’un con ça ose tout !
A quoi reconnait-on un haut fonctionnaire ?
C’est qu’il est capable de tout pour échapper à ses responsabilités et maintenir son statut de privilégié vivant de la prédation qu’il exerce sur la richesse créée par les autres !
Car, dans leur esprit, les hauts fonctionnaires sont les dignes représentants de l’Etat et sont, de ce fait, irresponsables et intouchables. Ils feront donc tout pour sauver le système en omettant bien sûr de préciser qu’il s’agit d’abord du système qui leur procure tant d’avantages !
Donc, il n’y a qu’une seule solution, il faut taxer plus, tous azimuts !
C’est clairement l’annonce de la poursuite et de l’amplification de la folie fiscale française et d’un probable bon coup de matraque sur la nuque de certains notamment avec le rétablissement de l’ISF souhaité à la fois par le RN et par le NFP.
On a bien compris que cette idée est évidemment une manière de camoufler l’immense responsabilité de la haute administration française dans le désastre qui se profile et de rejeter le fardeau des dettes françaises sur les autres !
La réalité oblige à revenir vers plus de réalisme …
Le matraquage fiscal va inévitablement se heurter à l’effet Laffer ; c’est à dire que tout agent économique confronté à une spoliation fiscale va rechercher une stratégie de contournement ou d’évitement, voire de fuite ; ce qui aboutira à l’effet inverse et à la diminution de la collecte fiscale.
En outre, pensez-vous sincèrement que taxer les français expatriés va boucher le gigantesque trou financier français ; surtout que, si l’on se renseigne un peu, on s’aperçoit que ces expatriés ne bénéficient pas du régime social français dont les dépenses constituent l’essentiel des dettes françaises ?
Sérieusement ?
On savait déjà, selon la version officielle diffusée par Bercy et complaisamment relayée par une presse aux ordres, que seuls les fraudeurs fiscaux étaient responsables des déficits budgétaires. On y ajoutera désormais les mauvais français qui se sont expatriés et qui ne paient pas leur obole obligatoire. Ils seront donc ajoutés à la liste des personnes déjà clouées au pilori fiscal !
Il devient de plus en plus évident que la haute fonction publique française est juste une organisation qui, sous couvert de lois votées par des gens qui en sont les premiers bénéficiaires et donc les complices objectifs, exerce, de plus en plus violemment, le racket fiscal en bande organisée dans le cadre du territoire qu’elle contrôle !
Seulement, il faut être conscient que, s’il est relativement facile de traquer les pauvres français coincés dans les frontières de l’hexagone, grâce aux nombreux fichiers interconnectés en toute illégalité auxquels les agents du fisc ont accès, c’est une autre paire de manches que d’aller traquer l’expatrié à l’étranger !
L’Etat français n’a en effet aucun moyen d’action à l’étranger et sa toute-puissance s’arrête à la frontière !
En outre, cette idée de racket fiscal mondial se heurte au problème des conventions fiscales internationales existantes ; lesquelles ont pour but d’éviter une double imposition et qu’il faudrait renégocier … ce qui prendrait des années !
Cette idée n’est finalement qu’une forme de communisme fiscal, un infect succédané de l’abominable système léniniste qui n’a eu de cesse de spolier les « possédants » afin de s’attribuer leur patrimoine, aussi faible soit-il, au prix, si nécessaire, de leur vie !
Les candidats à l’exil n’auront pas d’autre solution que de liquider tout ce qu’ils possèdent en France (immeubles, comptes bancaires), absolument tout, de façon à ne laisser, sans esprit de retour, aucun moyen d’action ou d’emprise au fisc français !
Et, à la fin, ils abandonneront la nationalité française … sans aucun bénéfice pour l’Etat !
Bien cordialement à tous !
Vous serez déclaré milliardaire à 3600 euros de salaire mensuel. Avant on disait koulak.
l’état (et ses affidés) pratique la taxation hystérique celle qui tue directement sans discution !
1-« Faire comme les Etat-Unis » : à cette différence près que les Etats-Unis, malgré la marée montante de gauchisme à laquelle ils doivent actuellement faire face, n’ont jamais renoncé pour autant à la liberté d’entreprendre, contrairement à la France où ce principe cardinal est tous les jours battu en brèche, au moyen de la nouvelle
lubie qu’est « l’économie sociale et solidaire » et au nom de la « lucrativité limitée », voire de la « non-lucrativité » ; d’où une meilleure acceptation, en apparence, par l’opinion publique du projet fiscal américain (néanmoins tout à fait FAUX et CONDAMNABLE dans son volet extra-territorial), lequel semble ne pas vouloir empêcher (avant dépouillement ultérieur et final) la constitution théorique et préalable des grandes, petites ou moyennes fortunes.
2-« Le rétablissement de l’ISF souhaité à la fois par le RN et par le NFP » :
démonstration du caractère interchangeable de ces deux courants politiques ; égalitaristes « débraillés » pour les uns, collectivistes « bien mis » pour les autres. Les « débraillés » vont lancer la balle mais ne feront pas long feu ; les « bien mis » les relaieront quand ils deviendront impopulaires. Les seconds feront mine d’avoir vaincu les premiers tout en continuant le travail de sape ! C’est un piège à double détente.
3-« C’est une autre paire de manches que d’aller traquer l’expatrié à l’étranger » : Voilà pourquoi on ne se lance dans ce type d’opération qu’à la toute dernière extrémité ; en temps normal, on plume en vase clos (travail facile et rapide par lequel on obtient considération et avancement). Prôné au nom d’un égalitarisme de surface, le fiscalisme à la française vise en paroles les très hautes classes,
mais n’atteint dans les faits que la classe moyenne, beaucoup plus à sa portée. L’image monumentale qui lui correspond le mieux est celle d’une pyramide depuis longtemps dépourvue de toute pointe et qui s’écroule peu à peu par le milieu.