Notre époque est si désespérante pour ceux qui sont lucides, si fausse pour ceux qui sont crédules, si propice aux cyniques, que la tradition des vœux de la nouvelle année parait bien désuète, puérile, naïve…
La faillite et la guerre — qui va toujours avec elle — sont à nos portes. Si probablement chez nous, dans l’année à venir…
Alors, pourquoi espérer, faire des vœux, voire un seul vœu ?
Parce qu’un seul vœu suffirait : l’éradication de la violence.
Une conscience collective cherche, un peu partout, à éradiquer la violence.
Je pense que cette conscience est mondialement majoritaire dans la population de tous les pays ou races confondus. Il n’y a que dans l’esprit des hommes de pouvoir, des hommes des Etats, que secrets et violences sont encore les bases de leur fonctionnement.
Face à eux le monde s’organise par le biais des réseaux sociaux.
Les femmes sont au sommet de cette organisation, elles luttent avec de nombreux succès contre les violences millénaires qui leur sont faites. Leur victoire est probable, elle changera tout. A condition qu’après avoir vaincu la violence elles n’en deviennent pas le vecteur, ce qui serait catastrophique mais peu probable pour de multiples raisons.
Elles sont les plus nombreuses, mais elles ne sont pas les seules à lutter contre la violence. De nombreuses minorités font entendre leurs voix et s’insurgent contre la violence dont elles sont l’objet, certaines sont audibles, d’autres moins.
Mais tout le monde comprend que l’éradication de la violence est la seule réponse possible à l’augmentation de la population mondiale, accompagnée — cela va de soi – du respect dû à l’intégrité morale et matérielle de chaque individu.
Dans le cadre de ces réflexions, la lutte contre la violence fiscale est essentielle.
Les hommes de l’Etat font l’apologie de la violence fiscale, comme ils font l’apologie de la délation, du chauvinisme et de la guerre, autant de bases à leur pouvoir.
Mais leurs fusils et leur fausse justice pèsent bien peu face à la conscience universelle qui peut s’exprimer à travers les réseaux sociaux.
Pour l’instant ils ont su imposer une croyance absurde qui consiste à prétendre que déposséder autrui par la force, quels que soient les moyens employés, serait bénéfique à la population.
Oui mais, ils sont en faillite. Ce fait est incontournable.
Face à cette faillite ils devront retourner leur machine à piller contre tous, y compris les plus humbles, et alors la vérité apparaitra : ils pillent au seul profit de l’exercice de leur pouvoir. Cela se suffit dans leurs têtes.
Alors, dans ces conditions et face aux enjeux, ma journée de prison — et peut être celles à venir — pour faire taire ma dénonciation de la violence fiscale, sont bien peu de chose.
Je vous souhaite donc une année de liberté et de lutte contre la violence fiscale dont nous reparlerons, souvent — en fait constamment — et longtemps.
Bien à vous. H. Dumas
En 1980, quatre pays étaient dirigés par des femmes et étaient en guerre.
Et oui, « le pouvoir tend à corrompre, le pouvoir absolu corrompt absolument » Lord Acton
Mais les femmes veulent-elles la dignité ou le pouvoir. Je penche pour la première hypothèse.
Les hommes (ou les femmes) de l’Etat sont inutiles en démocratie puisque le pouvoir appartient aux électeurs.
Apprenons à voter et limitons le pouvoir des élus au mandat confié.
On ne peut pas lutter contre la violence qui est un engrenage infernal car suscitant un déchaînement encore plus fort pour combattre l’opposition. La violence démarre presque toujours par une injustice jouant à n’importe quel niveau : international, civil, fiscal, financier, etc…
Les lois fondamentales ne sont pas mal rédigées ou ni inadaptées, mais elles ne sont pas respectées, ni par les organes des pouvoirs, ni par les structures judiciaires.
Retrouver une justice efficace et honnête à tous les niveaux de la société humaine, et beaucoup de problèmes et de violences disparaîtront.
Finalement je suis arrivé à la conclusion que la violence n’est pas un problème collectif mais un problème individuel.
Les hommes de l’Etat en l’utilisant de façon collective (en apparence puisqu’in fine elle concerne le seul dernier maillon de son expression) font croire que son éradication pourrait être de la responsabilité du groupe.
C’est faux, son éradication est aussi un problème individuel.