C’est la suite logique à mon papier du 3 mars 2014 » quand Bercy et les R.G servent des intérêts particuliers« :
eb30@hotmail.fr
Madame le Procureur financier Eliane Houlette en A/R Pôle Financier
5-7 rue des Italiens
75009 Paris
Lezan le 31 mars 2014
PLAINTE POUR DENONCIATION CALOMNIEUSE, ARTICLE 226-10 DU CODE PENAL.
AVEC CONSTITUTION DE PARTIE CIVILE.
Les faits :
En 1986 nous avons ouvert la LOCOMOTIVE, discothèque située Bld de Clichy 75018 Paris.
La liquidation de cette discothèque fut prononcée le 17 novembre 2009.
Cette discothèque fonctionna 23 ans. Elle fut la discothèque la plus grande de Paris avec ses 3 étages.
Elle fut dirigée pendant 23 ans avec sérieux et compétence par ses quatre associés.
Ses dirigeants, durant cette période, ne furent jamais inquiétés par un quelconque service de police, ce qui prouve leur bonne gestion de la nuit.
Le 12 octobre 1995, les dirigeants de la Locomotive et certains de leurs collaborateurs furent perquisitionnés par la DGI. 17 perquisitions le même jour à la même heure dans toute la France.
A la suite de celles-ci aucun délit ne fut relevé contre aucun des perquisitionnés.
Le 25 septembre 1996 un contrôle fiscal fut diligenté contre la Locomotive. Celui-ci engendrera
un redressement fiscal qui finira par la détruire ainsi que ses dirigeants.
Ce redressement sera contesté, l’accusation de dissimulation des recettes annulé par le Tribunal Correctionnel de Paris mais toujours maintenu par le Trésor Public.
Après divers procès, Tribunal Administratif et 2 Cours d’Appel Administrative, le redressement fut considérablement réduit.
Malheureusement ces procédures administratives ont dépassé la vie de l’entreprise.
L’Acte créateur :
18 ans après les perquisitions, je suis rendu destinataire du document ci-joint, justifiant mon dépôt de plainte.
Ce document est « blanc » d’un service de police.
Il est daté du 11 juillet 1995. Il est, heureusement, signé par 3 responsables de service de police dont la brigade financière (BF).
La réalité de ce document peut donc être confirmée.
Je vous demande donc, Madame Le Procureur, de vous procurer la confirmation de ce blanc.
La dénonciation calomnieuse :
Ce document est tissu de mensonges calomnieux.
99% de ces « informations » sont fausses.
Cinq personnes sont citées à plusieurs reprises dont, en gros plan, les quatre associés de la Locomotive.
Chun Lun Yee, Emmanuel Bolling, Fréderic Bolling « sont connus pour… »…
Connus de qui ? Ont-ils été condamnés ? Ont-ils un casier ?
Ces affirmations calomnieuses suggèrent le pire sans rien prouver.
Si ces affirmations avaient étaient réelles, jamais nous n’aurions pu avoir, en nom propre, l’autorisation d’ouvrir une discothèque.
L’autorisation de nuit d’une nouvelle discothèque est très difficile à obtenir.
Elle est obtenue (et peut être retirée à tout moment sans explication) suite à l’accord de la Préfecture de Police (de Paris), du service des stups, de la DPJ, du service des cabarets.
A l’unanimité.
L’enquête dure plusieurs mois.
Et le gérant, Frédéric Bolling qui obtient cette autorisation de nuit, personnelle et non cessible serait « connu » depuis longtemps pour racket.
Et ses associés de dangereux criminels.
Tout cela est faux.
Notre 4eme associée. Linda Lee Ying Wu , qui « selon certains renseignements… »
Et en page 3 (annexe), on invente même un frère à Frédéric Bolling. Emmanuel Bolling est son oncle.
Il est évident que ce « blanc », affirme que la Locomotive est le siège d’une organisation criminelle à Paris : racket, trafic de drogue, blanchiment d’argent, vols, escroqueries en tous genres…
Aujourd’hui, nous sommes en 2014, soit 20 ans après ces (fausses) accusations.
En 20 ans, aucun des 4 associés, présentés comme des grands criminels n’ a été accusé ou condamné.
L’intention coupable :
Elle est directement déduite de l’énormité des mensonges proférés dans ce document.
L’enquête qui sera diligentée devrait permettre de savoir pour le bénéfice de qui cette calomnie a été mise en œuvre.
Ses auteurs ne pouvaient pas ignorer les conséquences de telles accusations infondées.
Notamment que la justice ferait inévitablement participer les services fiscaux à l’enquête que ce blanc mensonger ne pouvait pas manquer de déclencher.
Le Préjudice
Il est aisé à constater.
Ce document calomnieux a entrainé un contrôle fiscal démesuré, qui a frappé mortellement l’entreprise.
Ce contrôle fiscal tend en réalité à couvrir la débauche de moyens engagés par la justice sur la foi de ce blanc calomnieux.
Respectueusement.
Emmanuel Bolling
PJ : le blanc
pfff:
petit joueur 🙂
j’ai été redressé sur ir
une première fois pour 2009
après ils ont attendu et fait d’un coup 2010/2011/2012
puis comme j’avais fait en en 2010 une procédure auprès le leur tribunal inquisiteur et bien sur perdu fin 2013… maintenant ils ont invoqué la procédure de 2010 pour revenir sur 2007/2008.
après on dira que nos services fiscaux ne sont pas « con-pétants « .
ce n’est pas grave, je suis au smic, bientôt au RSA et j’en profiterait pour faire baisser ma pension alimentaire et quand j’en aurais marre , j’irais m’immoler dans leur centre des impôts … nul doute qu’il apprécieront avec l’humour et le tact qu’on leur connait ..
j’ai en fait de la chance , ayant bossé avec ROSEBUD a la loco dans les années 90 , j’aurais pu me aussi me trouver avec les flic chez moi !!!
A ce jour l’épouse Yee Catherine délaissée est contrainte au paiement des dettes fiscales de Mr Yee, se retrouve à la rue démunie de tout pour non paiement des dettes par Mr Yee qui se cache dans son luxe. Est-ce normal? Non!!!
Yee Souid Catherine, épouse Yee fantôme contrainte aux paiements des dettes de MrYee en couple avec une femme , sur laquelle il s’appuit pour arriver ensemble à poursuivre leur enrichissement et éviter d être inquiété par les saisies pour que sa dette soit recouverte.MrYee fort de ses organisations laisse la mère de leur fils, soit son épouse fantôme subir les saisies et choisit de la sacrifier pour rester intouchable sur ses enrichissements protégés. Celle-ci se retrouve dans la misère suite aux saisies subies.Esce normal ?Pendant que MrYee accompagné de sa compagne continue à protéger ses acquis, et laisse une femme sombrer dans la misère sans s inquiéter outre mesure de son sort.Comment peut on accepter cela, l’ indifférence des nantis fuyant par tout moyen le recouvrement de leurs dettes fiscales , et préférant laisser une pauvre femme en subir les conséquences. Celle-ci se retrouvant à la rue , démunie de tout.Où est la justice, celle des escrocs, qui arrivent à imposer leur Loi, pour continuer à vivre dans l’opulence.
28 personnes un matin de 2008.
Petite entreprise, mais grosses dénonciations, ceci pour avoir dérangé certains notables commerçants, et autres obédiences.
8 mois de prison ferme. 18 millions de francs de redressement.
26 ans de cela, et comme précise mon avocat, vous êtes un…repris de justice…ceci dans un « bled » de 8000 habitants.
Tout simplement, une vie sacrifiée.
Bjr Emmanuel,
Qu’une chose à formuler
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