La crise sanitaire liée au virus covid-19, et le confinement mettent le moral des français et l’économie du pays à rude épreuve. Des auteurs du site ont déjà évoqué l’impréparation scandaleuse au niveau de la gestion de crise sanitaire du pays par nos élites et l’exécutif, notamment au niveau des stocks de masques FFP2 déjà au plus bas avant même que le virus arrive sur notre sol, et dont le gouvernement a pallié le manque en réservant les masques au personnel soignant hospitalier, et en achetant en masse des millions de masques à la Chine.
Las ! Les masques sont allés au plus offrant, les américains, les russes et mêmes les canadiens détournant les masques à même le tarmac au moment de l’embarquement de ces précieuses cargaisons. Ce sont des centaines de milliers voire des millions de masques qui ont été ainsi détournés, les vendeurs chinois n’étant pas plus que leur gouvernement des modèles d’éthique. Celui qui aligne le plus de cash remporte l’affaire, comme dans une enchère ebay sauf qu’il n’est pas question ici de vente au plus offrant mais de détournement malhonnête de matériel sanitaire indispensable qui aurait du sauver des vies chez nous.. et le fera aux USA, en Russie ou au Canada… ou pas.
Maintenant en attendant les masques promis par Emmanuel Macron nous sommes invités à confectionner nous mêmes nos propres masques, et les recettes fleurissent sur internet, ceci visant à pallier dans l’immédiat la pénurie sachant que bien sûr ces masques de confection artisanale ne protègent pas autant que les vrais ; il y a aussi des recettes de gel hydroalcoolique à confectionner, celui-ci étant devenu pratiquement impossible à acheter dès le début du confinement (et même avant). Tout cela signe l’inadéquation de la réponse que peut apporter notre système de santé à une crise sanitaire d’une telle ampleur, par manque de préparation des autorités. On a l’impression qu’ils improvisent en pensant que cela va suffire, et ils essaient de donner le change à la population. Il ne faudrait pas que les sans-dents se rendent compte de l’incompétence ou de la légèreté de ses dirigeants !
On est arrivés à une situation dramatique.
Les soignants au front sont épuisés, risquent doublement leur vie (déjà des médecins et infirmières ont été contaminés par le covid, les premiers morts sont déjà tombés), des personnels plus modestes comme les aides-soignantes et les personnels d’EHPAD paient eux aussi un lourd tribut au virus. Certains doivent en prime se contenter de masques artisanaux confectionnés à la hâte, et de blouses et surblouses de piètre qualité (une vidéo montrant des infirmières de l’hôpital Timone à Marseille enfiler des surblouses tombant en lambeaux lorsqu’elles les passent est diffusée sur les réseaux sociaux).
L’état de notre système de santé est catastrophique, l’Etat n’ayant de cesse de raboter sans cesse les budgets alloués aux hôpitaux ce qui se traduit par un manque criant de personnels, un manque de matériel médical, d’équipements et de lits. Les services de réanimation se retrouvent au delà de la saturation, en IDF par exemple passant de 16 à 60 places environ, on envoie des malades IDF en régions (Bretagne et Charente), et des patients du Grand Est sont récupérés par l’Allemagne.
Les médecins en arrivent à trier les patients pouvant aller en réanimation : pas de vieux, ils ne supporteront pas l’intubation ! On condamne à mort certains patients, les anciens mais aussi ceux qui sont déjà trop atteints pour bénéficier des soins.
La crise du covid, outre ces scandales sanitaires d’une ampleur inégalée, révèle au grand jour les carences d’un système hospitalier que l’Etat maintient à bout de souffle depuis plus de 12 ans en parfaite connaissance de cause, en asphyxiant ses moyens financiers et en rognant sur les personnels médicaux (mais sans toucher aux hiérarchies pléthoriques de cadres médicaux et administratifs) ; on arrive à des paradoxes tels que pour faire des économies tel hôpital licencie des médecins et chirurgiens (trop bien payés !), et doit en engager d’autres en intérim, qui lui coutent bien plus cher !
Mais ce n’est pas tout !
Outre cette impréparation scandaleuse, effrayante quant au nombre de morts annoncées et qui auraient été évitables dans d’autres circonstances, notre gouvernement prend des décisions lourdes de sens, et qui vont à contre-sens des mesures qu’il aurait fallu prendre, pire il légifère pour cela.
Il existe un médicament antipaludéen, l’hydroxychloroquine (Plaquenil) qui est efficace contre le covid (il diminue drastiquement la charge virale, c’est-à-dire la quantité de virus détectable dans le sang des malades), mais surtout quand il est pris au début de la maladie, dès les tous premiers symptômes ou à la détection. C’est ce qu’affirme le Pr Raoult, médecin spécialiste en Infectiologie mondialement reconnu (de même que toute son équipe), qui recommande de prendre ce médicament au début de la maladie, le plus tôt possible pour une efficacité maximale. Au début de la maladie, pas à la fin ! Nombre de médecins de terrains, d’hospitaliers le suivent, Macron l’a rencontré, mais le gouvernement tarde toujours à appliquer ces préconisations ! Nous arrivons au week-end de Pâques et mis à part la prolongation du confinement aucune mesure sérieuse n’a été prise, Macron a reporté son discours au lundi de Pâques. Bonnes gens il faudra attendre chez vous et tacher de ne pas crever en attendant.
Alors voilà de quoi il s’agit :
Ils ont édicté un décret (le 26 mars dernier) interdisant aux médecins de ville de prescrire ce médicament à leurs patients atteints du covid (et le Plaquenil a été en outre retiré de la vente en janvier dernier), et recommandant aux médecins hospitaliers (réanimation) de le prescrire aux malades en phase terminale, ceux les plus atteints (et à ce stade l’hydroxychloroquine n’est plus efficace !). Ce médicament est réservé aux patients les plus lourdement atteints chez qui il ne fera plus effet, et nous est interdit alors qu’il empêche l’évolution de la maladie vers ses formes les plus sévères. Il s’agit d’un contre-sens dramatique, et qui va coûter des vies humaines !
Il y a pire.
Un autre décret (du 28 mars celui-là) légalise quasiment l’euthanasie des patients agés (plus de 65 ans) présentant les symptômes les plus lourds : il impose aux médecins de prescrire du Rivotril aux personnes dont l’état clinque le justifierait. Ce médicament assure la sédation des malades pendant qu’ils s’asphyxient du fait de la maladie. On les laisse mourir en douceur, sans les soigner !
Ce médicament a une contre indication, qui est justement l’insuffisance respiratoire : ce n’est alors plus de la sédation, on achève ces malheureux !
Et notez bien que nous cotisons tous à la Sécurité sociale et (pour nos patrons et les entrepreneurs) à l’URSSAF : c’est bien cher payé pour avoir le droit de mourir dans de telles conditions, sans même être véritablement pris en charge à la toute fin, on vous administre juste un sédatif qui finit le boulot du covid.
Cela fait réfléchir…. On cotise (ou on se fait dépouiller) toute sa vie, et au moment où on en a le plus besoin notre système de santé anciennement le meilleur d’Europe, déjà bien bousillé par les gouvernements successifs, non seulement n’est pas en mesure de nous soigner efficacement tout en protégeant le corps médical, mais en plus les contre-mesures adoptées par l’exécutif pervertissent la prise en charge au point que les médecins n’ont plus le droit de soigner les patients les plus vieux et les plus atteints. Les médecins sont forcés de trier les malades au mépris de toute déontologie. On est trahis à tous les niveaux, et il faudra que nos gouvernants rendent des comptes.
Combien de victimes du covid, et combien de morts auraient été évitées par une politique de santé efficace ? La seule chose positive dans l’histoire est que ce virus met tout le monde à égalité : chacun y compris nos politiques peut l’attraper et en mourir. Faudra t-il cela pour que notre classe politique cesse de vouloir à tout pris intégrer la rentabilité des soins au sein de notre système de santé, et rendent médecins et hôpitaux à leur vocation première : soulager, soigner.
On trouvera bien des guignols pour expliquer que c’est la faute au libéralisme. Libéralisme qui envoie 11,5 % du PIB dans le système hospitalier, dont le montant croît chaque année tout en réduisant l’offre de soins et de personnels soignants.
C’est le libéralisme qui est responsable des 1038 milliards (plus 200 et quelques de dette) d’impôts levés l’an dernier qui ont fini essentiellement dans les poches des clients du socialisme dont le nombre croît à mesure que la pauvreté inhérente au communisme s’étend.
Le communisme, ça commence avec des mots, ça finit avec des morts. beaucoup de mors.
Bonjour theo, communistes et socialistes sont des spécialistes dans l’art de dépenser l’argent des autres (qu’ils en ont spolié). Ca finit aussi et surtout quand il n’y a plus de sous (et plus personne à plumer)
Cela fait plus de 30 ans que l’hôpital public ne fonctionne pas correctement, pléthore de personnel administratif, élus locaux dont la place n’est pas de présider les conseils d’administration parce qu’incompétents et clientélistes, médecins et étudiants étrangers maîtrisant mal la langue française employés dans la précarité en tant que vacataires, FFI (faisant fonction d’interne), PHPU (praticiens hospitaliers professeurs des universités) pour lesquels l’hôpital ne verse pas les cotisations retraite et chefs de cliniques qui réalisent des consultations privées aux tarifs élevés dans des locaux publics, radiologues qui détournent les produits de contraste pour leur activité en ville, intérimaires payés au prix fort, cégétistes en tout genre chez les administratifs, techniciens et infirmières qui pensent plus à la lutte des classes qu’à leurs métiers, appels d’offre d’achat des médicaments bidonnés, idem pour toute la logistique, cantine, chauffage et autres, règles de facturation des soins parfaitement obscures, mauvais suivi des malades, infections nosocomiales, accidents opératoires trop fréquents, délais d’attente beaucoup trop longs pour passer certains examens entre autres scanner ou IRM, services des urgences encombrés par les cas sociaux ou immigrés qui recherchent la gratuité des soins mais qui bien souvent non pas d’urgence. La liste est très très longue. En bref système très coûteux pour un tout petit résultat.
Une seule solution : la privatisation et la fin de la fonction publique hospitalière.
A ceux que cela choque et qui pensent encore du bien du soi-disant service public à but non lucratif et désintéressé et aux infirmières héroïques, n’oubliez pas qu’en cas de pépin dans une clinique en sus de la plainte auprès de l’ordre vous pouvez vous retourner directement contre le médecin responsable soit au civil soit au pénal, à l’hôpital public en revanche cela passe obligatoirement par le tribunal administratif et pour ce qui est du pénal, le parquet vous objectera le principe de la responsabilité collective c’est-à-dire en fait de l’irresponsabilité individuelle qui la source de tous les maux par absence de motivation personnelle.
S’ajoute à cela, tous les problèmes que l’énarchie a volontairement créé dans la médecine de ville : près de 6 mois d’attente dans la plupart des régions pour consulter un ophtalmo par réduction volontaire du nombre d’étudiants admissibles dans cette spécialité au concours de l’internat et de la suppression des CES (certificats d’études spécialisées) à la fin des années 80, déserts médicaux par refus d’organiser la répartition des médecins sur le territoire en fonction des besoins de la population au nom d’une pseudo-logique libérale revendiquée par l’ordre alors que dans le même temps les médecins généralistes sont devenus des quasi-salariés de la Sécu en acceptant des primes pour restreindre leurs prescriptions au détriment de leurs malades et en plus pénurie de plus en plus fréquente de médicaments essentiels dans les pharmacies parce que la sécu en exige des prix trop bas auprès des industriels qui s’en désintéressent ou préfèrent vendre à d’autres pays plus offrants ou encore parce que fabriqués dans des contrées lointaines telles que la Chine ou l’Inde.
Bonjour lol-lol,
Eh oui le constat est accablant, et l’état de notre système de santé affligeant, tant à l’hôpital que pour la médecine de ville.
1ere cause : ce sont de technocrates qui administrent la santé publique, non des médecins. Ils privilégient en premier lieu l’intérêt financier de l’Etat (la rentabilité des soins et des établissements) , non la qualité des soins et les conditions de travail des soignants, tout se faisant en flux tendu et devant répondre à un plan comptable.
En ce qui concerne l’hôpital publique il est certain que la situation en est très dégradée au point de vue de leur fonctionnement et des pratiques de certains médecins, au point d’aboutir à une véritable gabegie, sans parler du reste. Que faire pour assainir tout cela ? Sinon privatiser, au moins esasyer de moraliser les pratiques (empêcher consultations et opérations chirurgicles privées), diminuer le nombre de cadres hospitaliers et le nombre de leurs sous hiérarchies, revenir à une centralisation des services internes et de la logistique. Nombre d’hopitaux recourent à de la sous-traitance dans un souci d’économie et cela aboutit à un désastre quant à la qualité des prestations attendues, qui déclinent toujours très vite (restauration, cantine, blanchisserie, archives médicales entre autres). Il y aurait beaucpup à dire sur le sujet. L’un des problèmes est que comme vous le dites on aplique la dotrine libérale (si ce n’est pas ultralibérale) à l’hôpital et au système de santé, qui doivent répondre à des critères de rendement (ce qui n’empêche nullement de nombreuses filouteries en interne). Non seulement les médecins de ville dépendent étroitement de la Sécu (pour leurs primes de respect du nombre de presicriptions), mais ils sont littérallement fliqués et peuvent se voir appliquer des sanctions s’ils reçoivent trop de patients ou délivrent trop d’arrêts de travail. La logique comptable avant tout, avant le simple professionnalisme médical que visent à assurer nombre de praticiens, la déontologie et l’intérêt des patients !
Très bel article qui est totalement effrayant, qu’en imaginant la possibilité de se faire assassiner en rentrant aux urgences pensant se faire sécourir. Imaginez-vous sur le brancard dans le véhicule du SAMU (car si vous êtes malade, c’est parce qu’on vous a bien dit de resté chez vous et que SEULEMENT quand vous avez de la fièvre et que vous avez des difficultés respiratoires Spot télévisuel) et que vu votre état, on va vous mettre en Réanimation pour rapporter un d’argent, mais bien sur vous êtes déjà dans le couloir de la mort. N’y a t-il pas un peu de préméditation aux meurtres de masse la dedans ?
Si tous les malades du COVID était traité à temps, donc au DEBUT, par le médecin généraliste qui connait très bien son travail, cela couterait moins 20 euros de traitement pour la Chloroquine/Plaquenil (4 euro 17 cts) et Azithromycine (5euros 36 cts).
Mais sachant aussi que 24 h00 de soins intensifs et réanimation coute la somme de 3350 euros pour un jour, donc 100000 euros pour un mois et plus ce que tout cela coute après la sortie de réanimation pour le quidam qui a eu un peu de chance. Pour celui qui n’aura pas eu cette chance, il aura toujours rapporté un max avant de mourir. Carte Vitale ou Carte Platinum ?
La question est: A qui profite le crime ? En sachant que toutes les cliniques privées on été exclues pour le partage du gâteau ?
Comme vous l’avez compris, je ne suis pas un spécialiste de l’écriture, mais cela ne veut pas dire que je suis un con. Donc si quelqu’un avait les compétences pour reprendre mon écris et en faire un plus étoffé, plus solide, pas de souci pour moi, vous avez l’autorisation de reprendre mon écrit.
Bonjour Bruno,
Pas besoin d’écrire comme un pro pour savoir s’exprimer et vous dites des choses très justes. Le calcul comptable serait plutot en faveur d’un traitement précoce à la chloroquine et à l’azithromycine, plutôt que d’attendre que les personnes atteintes soient très malades et doivent se retrouver en réanimation (soins évidemment beaucoup plus couteux !). Je ne suis pas spécialiste du recouvrement mais pour les personnes qui décèdent à l’hopital je ne suis pas sûre que cela rapporte tellement (sauf si on peut présenter la facture aux familles des défunts). Beaucoup de personnes agées sont seules, qui va payer pour elles ? Leurs mutuelles si elles en ont. Certes toutes ces personnes en réanimation créent un afflux d’argent frais (pour celles qui vont payer) qui va bénéifier à l’AP-HP et autres instances hospitalières (et donc à l’Etat qui est derrière et en assure le financement) mais cela est contrebalancé par les frais de fonctionnement de ces services surchargés et les dégâts physiques et psychologiques infligés aux soignants. Mis à part à qui profite le crime, il faut aussi savoir qui va être lésé : les particuliers et surtout les asssurances et mutuelles qui vont très certainement devoir payer des sommes folles. Inutile de dire que leurs tarifs risquent d’augmenter fortement (même s’ils sont à présent réglementés par l’Etat)
Ce que l’on pressentait arrive…Le sieur Macron n’a jamais réellement caché son intention de réduire la population trop âgée et qui coûte cher…..c’est plus facile que de réduire le nombre de fonctionnaires….c’est sûr!
Le virus lui donne une occasion inespérée de faire le vide dans cette catégorie de population….euthanasier plutôt que de tenter de soigner…
Et l’excuse est toute trouvée… ils sont vieux ,trop malades,donc devenus inutiles et ils ont fait leur temps.
De toute façon nous n’avons pas de médicaments pour les sauver…. ajouté aux manques de masques et de tests…..leur sort est fixé à l’avance..et à cette occasion le ‘tri » de triste mémoire refait son apparition…………
Il faut tout faire pour échapper à cette sorte de Saint Barthelemy …si l’on peut.
Toutes le conditions ont été réunies pour que ce virus apporte une solution « naturelle » …Tant d’imprévoyance, de laxisme,;de manque de décisions.,de courage (plutôt que de mentir)..y ont contribué largement.
Vous imaginez ..le moral des troupes…car les nouvelles vont vite,très vite… …non seulement on risque de mourir a cause du virus, mais si nous sommes un tant soi peu âgé et un peu trop malades, nous avons encore plus de chance d’être « condamnés à mort » et cette fois par manque de soins.,.
On pratique donc l’euthanasie avec la bénédiction du pouvoir.et de nos grands médecins de bureau parisiens, et on met son mouchoir par dessus.!
Appelons un chat un chat…c’est un crime organisé contre les personnes âgées…tout simplement.
Et tout crime mérite châtiment!
Attali exulte. Ses recommandations concernant les vieux sont appliquées. Vivement que Bousquet débarque chez lui.
Bonjour Diogene,
Je ne crois pas à une « théorie du complot » visant à éliminer les vieux (ou à saisir l’occasion de le faire) mais plutôt à l’impréparation de nos gouvernants, au manque de médicaments et de personnels qu’il faut alors optimiser et « rentabiliser », et à un choix de la facilité dans un contexte de péril et d’urgence sanitaires (trier les malades, choisir à qui ira le médiament salvateur). Je ne pense pas que ce soit une volonté de nuire délibérée, simplement Macron et ses ministres se retrouvent dépassés et prennent des mesures extrêmes sans en avoir mesuré la portée et les conséquences
Bouches du Rhone:5% déces parmi les covid hospitalisés
Maroc 5%…
…… chloroquine
Grand Est 39%
Paris13%
France 14,55%(13197 deces pour 90676ovid positifs)
pas de chloroquine
Eh oui, les chiffres parlent d’eux-mêmes : au Maroc le Pr Raoult est considéré comme le messie et la Chloroquine (ou l’hydroxychloroquine) est le traitement de référence du covid là-bas, et dans tout le maghreb. Dans ces pays, dans la région des Bouches-du-Rhône, décès à 5 % des cas de covid comptabilisés – et 3 fois plus en IDF, presque 10 fois plus dans le nord, où on donne le médicament trop tard !
Courageux. Bravo.