Monsieur Armenante
J’ai supprimé tous vos commentaires sauf un !
Vous procédez comme votre modèle à une véritable distorsion de l’histoire et faites passez la Russie pour une victime.
Il est parfaitement inutile d’innonder les articles de propagande prorusse ; cela ne fera pas devenir Poutine plus sympathique c’est uncriminel et pas seulement de guerre …
Concernant le commentaire que je vous ai laissé, vous oubliez que l’économie américaine était largement investie dans l’allemagne de l’après grande guerre et qu’il n’y avait rien d’anormal à ce que des banques et industriels américains y interviennent. On ne savait pas, surtout avant 1933, ce qu’était véritablement AH … mais bien sûr Ford était pro nazi, Opel appartenait à des capitaux américains (General Motors) et a fabriqué de nombreux camions pour la Wehrmacht.
J’ai lu un livre de ce type (CHAPOUTOT Johann “Qui a porté hitler au pouvoir” fait d’annonces fracassantes, mais il n’y avait absolument rien d’intéressant … à part l’utilisation d’anachronismes et de supputations …
Cordialement

En mettant au jour un cloaque de mensonges, de tromperies et de duplicités, Antony Sutton révèle l’un des faits le plus marquant, et pourtant jamais rapporté, de la Seconde Guerre mondiale : que des banques de Wall Street et des grandes entreprises nord-américaines ont soutenu l’ascension de Hitler vers le pouvoir, en finançant l’Allemagne nazie et en faisant des affaires avec elle= https://www.mollat.com/livres/2651523/antony-c-sutton-wall-street-et-l-ascension-de-hitler-decouvrez-comment-l-elite-de-wall-street-a-finance-les-nazis

Pas une seule fois, je dis bien : “pas une seule fois”,

je n’ai contesté sur ce blog la justesse

de la “CAUSE” ukrainienne !

En revanche, à de très nombreuses reprises,

et Monsieur ARMENANTE également, je

me suis interrogé sur les “mérites” et

l’étrange personnalité de

L’UKRAINIEN PLAIDANT

CETTE CAUSE !

Aussi, si l’on peut très bien entendre

tout ce vous dites et déplorer tout ce que vous

constatez, ON PEUT AUSSI AJOUTER CE FACTEUR

AGGRAVANT, à savoir que Monsieur ZELENSKY, à un moment

donné, aurait pu, et même dû, se retirer pour céder la place à

un meilleur stratège que lui ! Et que l’on ne me rétorque pas

que cela aurait ouvert nécessairement

la voie à une “taupe russe”, puisque la contestation

de récentes élections en Roumanie démontre que des “observateurs

internationaux” savent les reconnaître de loin !

D’où cette question de ma part :

indépendamment de Messieurs Trump et Poutine,

et en ne considérant que le Président ukrainien en lui-même,

n’avez-vous pas été choqué, tout comme j’ai pu l’être,

au début du conflit,

par les folles exigences que ce Monsieur Zélensky édictait

par “visio-conférence” à nos parlementaires consentants,

allant jusqu’à suggérer, sans réflexion préalable, le retrait immédiat

d’entreprises françaises implantées en Russie (les magasins Auchan, entre autres) !

Quelle incidence une telle mesure, ici citée à titre d’exemple, pouvait-elle

avoir sur le conflit en cours ? Aucune, ou si telle avait été le cas, relativement

marginale et certes pas de nature à “enlever à elle seule le morceau” !

Et, ce Monsieur, contesté chez lui et soutenu, tout au long de l’épopée, par d’autres

gens également contestés chez eux (les inséparables duettistes MACRON et

TRUDEAU) a bien eu l’intuition TARDIVE qu’il indisposait lui aussi bon nombre

d’interlocuteurs ; PREUVE EN EST QUE POUR FAVORISER L’ADMISSION DE

L’UKRAINE AU SEIN DE L’OTAN, il alla jusqu’à proposer de démissionner lui-même

de la Présidence ukrainienne !

Quand on met cela, hélas trop tard, dans la balance, c’est qu’on est peut-être aussi

pour partie responsable de l’échec final et qu’on le sait… sans jamais le dire

explicitement !

Moyennant cette clé de lecture, l’algarade filmée,

avec Trump et Vance à la Maison-Blanche,

n’était peut-être pas aussi imméritée qu’on a pu le croire !