Philippe Gault, auteur sur Témoignagefiscal https://temoignagefiscal.com/author/philippe-gault/ Contrôle fiscal - les dérives du contrôle fiscal - la lutte pour l'abolition de l'esclavage fiscal Sat, 27 May 2023 18:30:44 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.7.1 https://temoignagefiscal.com/wp-content/uploads/2022/11/T-F-150x150.png Philippe Gault, auteur sur Témoignagefiscal https://temoignagefiscal.com/author/philippe-gault/ 32 32 Macron a dit une vérité ! Si ! Si ! https://temoignagefiscal.com/macron-a-dit-une-verite-si-si/ https://temoignagefiscal.com/macron-a-dit-une-verite-si-si/#comments Sat, 27 May 2023 18:30:44 +0000 https://temoignagefiscal.com/?p=18148 Continuer la lecture de Macron a dit une vérité ! Si ! Si ! ]]> Vues : 425

À hôpital de Vendôme fin avril, Macron était venu contempler l’état du chaos médical, et tient précisément ces propos : «  on est dans une période où on refonde, on est en train de réinventer un modèle. C’est plus dur de le réinventer quand tout n’a pas été détruit ».

Ça a du faire plaisir à ses interlocuteurs qui avaient à comprendre qu’ils étaient bons pour la poubelle, constituants par eux-mêmes d’un système obsolète.

Entre l’anéantissement du service de santé précédent et la finalisation de la mise en œuvre du nouveau, qui ne tiendra pas du coup de baguette magique, on soigne comment ?

Certes, dans tout domaine, les connaissances, la technologie et les pratiques évoluent très vite, et en médecine tout particulièrement. Donc il faut forcément évoluer pour être plus efficace, et rendre le meilleur service.

Les professionnels de santé sont tellement insatisfaits des évolutions des dernières décennies, en particulier en France, que dans leur grande majorité, ils ne sont certainement pas opposés à changer leurs conditions d’exercice.

Mais quand on parle de changement dans un secteur aussi complexe que la santé publique, il faut avoir l’esprit très clair sur les objectifs et s’exprimer avec franchise et honnêteté. Que peut avoir en tête Macron en tant que « nouveau modèle » ?

Il ne le dit pas, mais c’est très facile de deviner. On a pu observer son parfait déploiement avec le Covid et c’est l’influence devenue contrainte sur les pays occidentaux, de l’OMS, elle-même jouet des Big Pharma et de Bill Gates, qui donnent les ordres. L’idée est de « rationaliser » : un modèle d’humain, diagnostic par robot médical à domicile, analyse par intelligence artificielle, comparaison aux épidémies en cours, livraison rapide des médicaments approuvés par l’OMS donc rentables pour les Big Pharma, ambulance si complications, Rivotril si pronostic défavorable, inutile de dépenser du fric pour une agonie de trois mois.

Voilà, comme cela, on squize les généralistes qui prescrivent comme ça leur chante. La liberté de prescription, c’est pas possible dans un monde moderne et cartésien ! Les ordinateurs feront très bien le boulot des médecins. Même en chirurgie, les robots seront capables de beaucoup de choses.

Le modèle de la pandémie est parfait pour nos génies sans diplômes de médecine. On interdit les anciens médicaments éprouvés, on enferme tout le monde, on libère ceux qui prennent le nouveau médicament tout neuf forcément issu des dernières technologies et efficace à 95% (d’après la pub).

Le but est de conditionner l’esprit jusqu’à ce qu’il ne réagisse plus à partir de sa volonté libre ou d’une base rationnelle, mais comme une réponse à des impulsions implantées depuis le dehors.

Bill Gates en 2017 : «  une attaque aux armes biologiques se prépare et ce n’est qu’une question de temps. Nous devons nous préparer aux épidémies comme l’armée se prépare à la guerre ».

Ce monde est l’œuvre de grands paranoïaques. Le problème, pour eux aussi, c’est que la gestion du covid par ce « NOUVEAU MODÈLE » a été totalement inefficace et désastreuse par les décès évitables, les effets secondaires très nombreux et souvent graves, les conséquences économiques et sociales.

Le bilan est catastrophique mais les responsables qui normalement devraient s’en rendre compte et remettre en cause ce qu’ils ont fait ne le font pas, malgré des milliers de résultats scientifiques attestant leurs mauvais choix et l’avis des grands noms de la médecine indépendante des labos.
D’un autre côté, reconnaître ses erreurs en l’occurrence les rend directement responsables de crimes. Il est facile de comprendre qu’ils s’accrochent désespérément à leur vision. Les « dominants » ont été beaucoup trop loin pour se dédire. Ils se divisent en deux catégories : ceux qui sont assez puissants, riches et égotiques pour se croire invulnérables, et ceux qui se rendent compte qu’ils pourraient avoir un jour à justifier de leurs actes devant un tribunal du peuple.

Il ne faut pas croire que les politiques de santé sont déterminées par de savants médecins compétents, expérimentés et pragmatiques. Ceux-là, on les fait taire, on les traite de charlatans, on les harcèle, on les détruit socialement, on les attaque juridiquement, on les démissionne. On fait discrètement disparaître du web les contenus trop peu conformes à la doxa. Un rien semble menacer la sécurité publique. Il n’en a jamais fallu si peu pour devenir un quasi-terroriste. La logique semble figurer désormais au nombre des délits. La dictature s’autorise le plus complet dogmatisme chaque fois que s’offre l’occasion de lyncher l’indocile.

Ce qui se passe, c’est l’utopie de nouveaux traitements révolutionnaires pensés par des chercheurs qui ne lèvent pas le nez de leurs éprouvettes et qui disent à leur patron qu’ils ont trouvé la solution. Comme le patron n’y connait rien, il met en place le business plan, la publicité, les contrats toujours secrets avec des politiciens élus ou pas, la distribution, la récupération et la mise à l’abri du fric. Et vogue la galère, jusqu’à ce que le monde entier constate que ces « vaccins » sont de la merde et que Albert Bourla, PDG de Pfizer, finisse par avouer publiquement qu’il s’était laissé persuadé par ses chercheurs, et que la technique de l’ARN messager n’était pas mature. Mais il s’en fout, car il a pris bien soin de refiler toute responsabilité quant aux effets secondaires aux acheteurs du pseudo-vaccin, dans des contrats que le citoyen européen ou ses représentants n’ont jamais eu l’honneur d’analyser. Ursula fait son marché à 71 milliards entre copains et hors toute procédure démocratique. Vous comprenez, il faut sauver d’urgence les peuples européens du méchant coronavirus qui tue 0,4% de la population à un âge médian de 84 ans, sans influence notable sur les statistiques démographiques. Si après ce feuilleton cauchemardesque, les citoyens ne conviennent pas de l’évidence de la décomposition cérébrale avancée des gouvernants qui jouent aux chefs suprêmes sauveurs de leurs peuples, il faut consulter et retrouver le mode d’emploi des neurones.

En fait, ils savaient depuis le départ que c’était de la merde. C’est pour cela qu’ils ont voulu garder secret le rapport d’essai clinique visant l’autorisation de mise sur le marché, et que l’OMS a attendu 5 jours quand même pour donner l’AMM conditionnelle, qui deux ans et demi et 13 milliard de doses après, reste conditionnelle, puisque les labos ne peuvent établir un rapport final d’essai de phase trois qui ne ressemble pas à une condamnation.

La faille monstrueuse de la pensée médicale de l’OMS, des labos et consorts, est de considérer l’homme, et on peut le dire de n’importe quelle espèce vivante, comme une copie conforme à son prochain. Alors bien sûr, il y a suffisamment de caractéristiques communes, liées au génome, pour que la reproduction soit possible. Mais au delà de cela, les variations sont infinies. Déjà, si vous regardez un Massaï, un suédois, un pygmée, un esquimau, un papou, on pourrait se poser la question de leur capacité à se reproduire ensemble, et pourtant c’est le cas. Ces différences anatomiques vont de pair avec une adaptation à l’alimentation disponible. Est-ce qu’un mangeur de mygales ou de vers blancs peut devenir mangeur exclusif de riz ou de phoques ? Question difficile. Mais ce n’est rien encore par rapport à la variabilité immunitaire, où chaque individu s’adapte et souvent s’immunise contre les pathogènes de son environnement, mais sera très exposé à des pathogènes d’autres contrées. Le sujet est trop vaste pour l’approfondir ici, mais pour en montrer un exemple dans les mémoires, il suffit de se refaire l’historique du SARS-COV-2, que la majorité de la population pouvait porter sans symptômes, une petite part présentait les symptômes, 200/100000 (sans vaccins, 400/100000 avec vaccins : données d’Ecosse) pouvaient être hospitalisés, et 0,4 % maxi pouvait en mourrir, en général en association avec des cofacteurs : diabète, obésité, insuffisances diverses. Dans ces conditions qui étaient parfaitement connues avant l’arrivée des pseudo-vaccins, comment justifier de traiter « quel qu’en soit le prix », toute la population de la même façon, y compris les enfants absolument pas concernés, les femmes enceintes sans études tératologiques, et tous les citoyens de moins de 50 ans qui n’avaient pas de risque significatif de Covid.

L’expérience médicale réelle part du principe que chaque personne est unique et doit être considérée comme telle. Les recettes thérapeutiques ne sont pas à rejeter bien sûr mais il faut toujours avoir à l’esprit que cela ne marche pas à tous les coups. L’idéal serait qu’un médecin généraliste puisse « suivre » en moyenne 700 personnes, avec des chances de les connaître suffisamment pour tenir compte des « variantes ». Cela n’empêche pas de développer toutes les possibilités nouvelles de diagnostic et d’information sur les évènements médicaux en cours, dans un format pratique compatible avec l’exercice de praticiens souvent trop sollicités, parfois pour des conneries. L’important est que la rédaction soit proposée par un conseil de thérapeutes réels et de scientifiques indépendants, et non pas par des fonctionnaires hors sol et des représentants de BIG PHARMA.

Cet opposition radicale dans les principes aboutit à la guerre civile occidentale. Big Pharma ne veut pas lâcher le morceau qui représente 1280 milliards $ en 2021, et continue d’arroser l’OMS, l’EMA, l’ANSM, et des milliers de bureaucrates, de politiques et de pseudo-scientifiques de plateau TV à conflits d’intérêt pour accentuer la pression mentale sur les populations. En France, les forces en présence sont une nomenclatura d’environ 1500 personnes, 35000 CRS disposant de fusils d’assaut, des centaines de blindés urbains, contre 56 millions (85%) de Français qui ont compris qu’on les traitaient comme du bétail. Je ne ferai pas de pari.

Au niveau de l’OMS, la pression est actuellement forte pour lui attribuer la capacité de décider des stratégies à appliquer obligatoirement en cas d’épidémie. Les nations occidentales n’auront plus à discuter de décisions prises par une organisation payée et infiltré par Big Pharma, sans recours démocratique, mais pour « le bien des peuples » ! Ceci prouve l’absence absolue de complexe de la caste des manipulateurs.

Tout cela passe aussi par le mépris de la liberté de traitement médical de tout citoyen, de la liberté d’opinion, de la liberté d’expression, des bonnes pratiques scientifiques, de la vérité en général. Mais il y a aussi assez de références pour évoquer des épidémies peut-être provoquées (gains de fonction artificiels, fuite improbable d’un labo P4, diffusion initiale dans un lieu idéal), avec de forts relents d’eugénisme.

Tout finalement est une question de valeurs. Elles sont déjà connues. Les droits de l’homme ne doivent pas être remis en cause. Tous les grands pactes internationaux qui en sont la formalisation sont un cadre pour vivre ensemble qui doit être absolument respecté. Sinon, c’est la guerre, comme dirait l’autre !







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Les Ricains jouent à la roulette russe. https://temoignagefiscal.com/les-ricains-jouent-a-la-roulette-russe/ https://temoignagefiscal.com/les-ricains-jouent-a-la-roulette-russe/#comments Thu, 27 Oct 2022 20:41:52 +0000 https://temoignagefiscal.com/?p=17691 Continuer la lecture de Les Ricains jouent à la roulette russe. ]]> Vues : 264

Gouvernés d’un coté par le cartel des industries de l’armement, de l’autre par la mafia des Big pharma, les USA s’embarquent dans des chemins hasardeux.

Que l’on puisse toucher au roi Dollar quelque soit l’endroit dans le monde les rend déjà très irritables. Que deviendraient-ils s’ils ne pouvaient pas imprimer du billet vert en cas de besoin, par exemple pour financer leur armée, si ce billet était déconsidéré dans le commerce mondial et n’avait plus valeur refuge ?

Le problème est que partant d’une domination sans partage depuis 80 ans, ils voient la concurrence économique, politique et militaire monter en permanence, et ça les rend nerveux. Leurs interventions directes ou indirectes en Libye, en Irak, en Syrie, en Afghanistan, plus anciennement en Afrique et en Amérique du sud, se sont toujours terminées en catastrophe pour les pays concernés, mais pas pour eux, à part pour les triilliards de dollars dépensés qui auraient pu l’être de façon beaucoup plus intelligente pour la planète et pour eux-même d’ailleurs.

Comment l’Europe s’est laissé embarquer dans la guerre en Ukraine laisse pantois. Les tentatives de négociation au départ ont été sabotées. Les USA veulent absolument entretenir cet abcès. c’est-à-dire pourrir les relations entre l’Europe et le Russie, très dépendantes l’une de l’autre sur bien des choses, énergie, technologie, minéraux, industrie, commerce, tourisme, etc…

La progression en puissance des autres continents que l’Amérique du Nord et l’Europe relance la partie mondiale. L’Asie et les BRICS ne veulent plus du dollar. L’Europe voudrait garder son Euro, même dans la douleur et ce n’est pas gagné. Les USA auraient logiquement du garder dans son équipe l’Europe et son attachement à la Russie. Leur attitude en Ukraine montre leur volonté inverse. Cela pousse la Russie dans le camp asiatique.

Les USA pensent garder la mainmise sur l’Europe avec l’OTAN et des myriades d’agents bien placés, dont Macron, et en même temps réduire sa concurrence économique au minimum. Cette stratégie de faux amis qui culmine avec la destruction des gazoducs de la Baltique fâche déjà beaucoup l’Allemagne, mais pas qu’elle, et il faudrait que les nations européennes entrevoient rapidement où se trouve leur intérêt, avant d’être dévastées et réduites à la ruine, au gel et à la famine.

D’un autre coté, on sait très bien que pour arriver à se débarrasser de la mafia qui nous gouverne, il faut toucher le fond, à la vitesse requise pour que cela les fasse déguerpir, sans pour autant exterminer la population et un minimum économique. Mais notre mafia des ministères est tellement douée que le crash risque d’être désastreux. Mais on voit se développer dans les campagnes des systèmes économiques locaux avec échanges de services, trocs, monnaies locales. Les villages se réorganisent. De nouveaux systèmes énergétiques sont prêts à apparaître. La capacité d’adaptation ne doit pas être sous-estimée. Le résultat immédiat est un effondrement des ressources de l’État, car toute cette économie locale ne génère pas grand chose de taxable.

L’OTAN a montré qu’elle ne servait à rien dans la protection des peuples, et qu’elle n’est qu’un moyen de provocation pour maintenir une rivalité inutile et vicieuse au sein de l’Europe et au service des USA. La Russie a les moyens de se protéger, pas de coloniser quoi que ce soit, sinon des provinces russes-russophones qui lui appartenaient il n’y a pas longtemps.

Chaque semaine apporte son lot d’évènements loufoques ou débiles. Jusqu’ici, les peuples européens en ont pris plein la gueule. Peut-être qu’ils vont finir par comprendre que l’on peut rien attendre de positif avec Ursula et Emmanuel 1er et leurs cliques. Cela commerce à hurler dans tous les coins, même en Allemagne, en Europe du Nord, en Angleterre. Je vous le disais depuis deux ans, voilà la première guerre civile internationale, peut-être dans les deux mois.

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Lettre à mon sénateur https://temoignagefiscal.com/lettre-a-mon-senateur/ https://temoignagefiscal.com/lettre-a-mon-senateur/#comments Wed, 17 Aug 2022 20:06:37 +0000 https://temoignagefiscal.com/?p=17583 Continuer la lecture de Lettre à mon sénateur ]]> Vues : 336

Monsieur le sénateur.

J’ai écouté votre déclaration récente sur Public Sénat à propos de l’obligation vaccinale des professionnels de santé.
Je suis professionnel de santé et j’ai étudié dans ma spécialité les bactéries, les virus et l’immunologie pendant toute ma carrière et j’ai refusé catégoriquement l’injection dans mon organisme d’un traitement génique expérimental dont le rapport bénéfice risque est aussi catastrophique.

Si on ne savait pas depuis des décennies que les virus à ARN mutent tout le temps.
Si on ne savait pas qu’un adulte contaminé peut fabriquer des dizaines de milliards de copies du coronavirus.
Si on ne savait pas que le taux de mutation est de 1/10000, c’est à dire que chaque personne contaminée produit au moins un million de variants, dont 250 environ sont transmissibles, avec une sélection de ceux qui sont insensibles aux éventuels vaccins.
Si les immunologistes n’avaient pas prévenu que les vaccins réalisés d’après des variants de coronavirus déjà disparus allaient en plus limiter la capacité du système immunitaire à s’adapter naturellement aux mutations du virus.
Si Pfizer et les autres fabricants n’avaient pas voulu garder secrets leurs dossiers d’expérience en vue des autorisations de mise sur le marché.
Si ces dossiers, rendus publics après une décision de justice, ne révélaient pas qu’il y avait plus de morts dans le groupe vacciné que dans le groupe témoin et des manipulations de chiffres éhontées et frauduleuses pour arriver à donner un taux d’efficacité de 95% alors que d’après les mêmes données des scientifiques sérieux arrivaient à 12%, sans aller jusqu’à vérifier comment les sujets étaient considérés porteurs ou pas du virus en l’absence de tests pour une majorité d’entre eux.
Si des morts par « pneumonie » n’avaient pas été classées hors cause covid dans le groupe vacciné à l’inverse du groupe témoin.
Si les groupes témoins n’avaient pas été vaccinés à leur tour au bout de six mois pour masquer les différences d’effets secondaires à moyen terme.
Si Pfizer et les autres fabricants n’avaient pas refusé de prendre la moindre responsabilité sur les conséquences négatives de leurs produits expérimentaux.
S’ils ne montraient pas dès ces expériences de phase trois initiale que leurs pseudo-vaccins n’empêchaient pas quiconque d’être contaminé et contagieux ni malade.
Si l’AMM n’avait pas été délivrée malgré l’absence de phase deux expérimentale sur animaux, donc les citoyens servent de cobayes.
Si les contrats d’achat n’étaient pas restés secrets.
Si notre « Président »  n’avaient pas jugé nécessaire de prendre des décisions sanitaires par un conseil de défense pour justement garder secrets les arguments et les raisons réelles des décisions prises, donc douteuses, peut-être inavouables, certainement anticonstitutionnelles.
Si le mécanisme parlementaire n’avait pas été piétiné méthodiquement.
Si le traitement précoce présenté par l’infectiologue le plus réputé au monde, au lieu d’être considéré comme la bouée de sauvetage de la population, et alors qu’il sauvait 99,6% des contaminés quand l’hôpital public dépassé tuait 25 % des malades pris tardivement en charge, soit 50 fois plus de décès, n’avait pas été interdit par un ministre de la santé dont la santé mentale mériterait une approche psychiatrique.
Si d’autres infectiologues, tels que les professeurs américains Harvey Risch, Peter McCullough et Pierre Kory n’estimaient pas que les traitements précoces auraient pu sauver 500000 personnes aux Etats Unis.
S’il n’était pas facile de calculer que ces mêmes traitements auraient pu préserver la vie d’au moins 40000 français s’ils n’avaient pas été interdits.
Si on ne constatait pas dans les pays occidentaux, dès janvier 2021 en Israël, que les campagnes de vaccinations étaient immédiatement suivies de pics épidémiques, preuve de l’inefficacité totale des vaccins à ARNm anti-SARS-COV2.
Si 290 sportifs vaccinés n’étaient pas morts subitement en pleine compétition.
Si les sportifs vaccinés n’étaient pas incapables de retrouver leurs performances antérieures au « vaccin ARNm », ce que l’on a pu constater lors du Tour de France 2022 par exemple.
Si une étude sur les femmes enceintes n’avaient pas montré que 82% des vaccinées dans les 6 premiers mois de grossesse avaient fait des fausses couches.
Si certains ahuris dramatiquement irrresponsables ne poussaient pas à la vaccination des enfants alors que leur risque de développer un covid est nul et que leur densité de récepteurs ACE susceptible de fixer le sars-cov-2 est plus d’un million de fois plus faible que chez un adulte, les rendant insensibles à ce virus et incapables de le transmettre, alors que les effets secondaires graves se multiplient et qu’il n’est même pas pensable de faire courir un tel risque aux jeunes générations.
Si le recueil des effets indésirables n’était pas largement entravé dans de nombreux pays, soit par des démarches administratives complexes et volontairement mal organisées, soit par des classements expéditifs pour ne pas apparaître liés aux vaccins à ARNm.
Si les données des organismes de pharmacovigilance, largement ignorées des médias principaux, ne montraient pas qu’en trente ans d’usage de vaccins, jamais on avait vu autant de décès liés à la vaccination (voir VAERS).
Si plusieurs études aux États Unis n’évaluaient pas autour de 200000 le nombre de décès depuis un an liés aux pseudo-vaccins à ARNm.
Si le décompte des morts des pseudo-vaccins à ARNm en Europe n’en était pas en approche de 50000.
Si la mortalité en Europe des personnes des groupes d’âge entre 0 et 14 ans et entre 14 et 44 ans, qui n’avait guère variée jusqu’en juin 2021 malgré l’épidémie, s’est retrouvé significativement au dessus de la moyenne depuis juillet 2021, sans autre explication que l’effet de la vaccination extensive.
Si on ne pouvait calculer dès à présent que les années de perte de vie liées à la vaccination par ARNm sont plus nombreuses que les années de perte de vie liées au Covid lui-même, qui touchait en moyenne des personnes âgées de 85 ans.
Si on ne constatait pas une recrudescence très marquée des maladies auto-immunes, phénomène assez logique quand on sait que les cellules recevant l’ARN messager de ces thérapies géniques deviennent anormales pour les cellules de notre système immunitaire, qui vont les attaquer et les détruire, même si elles font partie d’une paroi vasculaire, déclenchant une thrombose, mais le nombre de cellules, tissus et organes concernés n’a rien de limité ainsi que les conséquences et effets secondaires même mortels.
Si la recherche récente ne montrait pas que les pseudo vaccins à ARNm entraînent des « tempêtes cytokiniques » comme pouvaient également le faire les premiers variants du sars-cov-2 et des dérèglements graves du système immunitaire.
Si on n’avait pas laissé parler dans les médias des médecins qui avaient des conflits d’intérêt majeurs avec les entreprises pharmaceutiques.
Si les médias les plus écoutés ne s’étaient pas comportés comme des organes de propagande digne des régimes les plus fascistes , et avaient entretenu un débat neutre entre scientifiques après avoir mis à l’écart ceux qui avaient des conflits d’intérêt.
Si les scientifiques les plus réputés par leurs recherches, leurs publications et leurs nombres de citations n’avaient été honteusement harcelés médiatiquement et scandaleusement agressés administrativement dans leurs vies professionnelles.
Si des milliers de professionnels de santé n’avaient pas été interdits d’exercer de façon arbitraire, en totale contradiction avec les articles 23, 10, 11 et 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme, signée par la France le 10 décembre 1948.
Si le directeur du NIAID, Antony Fauci, dont la position lui permet de distribuer selon son bon vouloir 57% du budget mondial de la recherche médicale, n’avait pas de ce fait à sa botte une majorité des chercheurs occidentaux, ne leur imposait pas de critiquer au maximum les vieux médicaments peu chers et déjà validés, et de favoriser au maximum des médicaments nouveaux, chers, expérimentaux et pas validés en efficacité et innocuité.
Si le même individu, collaborant avec nombre d’entreprises pharmaceutiques et la fondation Gates, ne finançait pas largement les revues scientifiques et les organisations de santé comme l’OMS, l’EMA, la FDA, etc….
Si le « scandale »  du Lancet n’avait pas montré que les plus grandes revues médicales étaient susceptibles de publier des articles entièrement frauduleux au service des Big Pharma.
Si les « Big Pharma » n’étaient pas coutumières de plaintes pour charlatanisme, tromperies sur indications, falsifications de données, corruption, en particulier Pfizer qui en vingt ans a dû payer plus de 4 milliards de dollars d’amendes et de dédommagements, sommes intégrées dans leur « business plan » sans aucun remord pour les millions de personnes qui perdent la santé ou la vie du fait de leurs impostures criminelles.
Si les tests PCR avaient été utilisés jusqu’à 35 cycles et non pas jusqu’aux 45 cycles largement utilisés qui donnaient de faux positifs.
Si les autopsies des morts susceptibles d’être liées aux vaccins n’avaient pas été interdites.
Si le consentement éclairé avant vaccination, obligatoire en particulier pour un traitement expérimental en essai thérapeutique de phase trois, avait été mis en place, conformément à l’article 7 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques, qui interdit conjointement la torture et les expériences médicales, pour ne pas voir se reproduire ce qu’avait fait les nazis sur des prisonniers.
Si la gestion de la pandémie par la peur d’une maladie « mortelle » ne ressemblait pas plus à un test de contrôle de la population à caractère autoritaire en dehors de toute règle républicaine, et à un test de Milgram sur le niveau d’obéissance des structures administratives, qu’à une démarche sanitaire devant une épidémie, elle déjà définie depuis des décennies.
Si tous ces faits que l’on retrouve dans les données épidémiologiques officielles, les publications scientifiques indépendantes de «Big Pharma » et des dossiers juridiques internationaux et surtout américains ne suffisaient pas pour se faire une opinion parfaitement claire et ne suffisent pas pour vous faire comprendre que ces faux vaccins expérimentaux constituent le plus grand scandale sanitaire de tous les temps, c’est que les décideurs gouvernementaux ne sont pas capables de s’informer efficacement de la réalité scientifique du présent, susceptible d’évoluer de jour en jour, ni de prendre des décisions adéquates concernant la santé personnelle de chaque citoyen en toute responsabilité des conséquences.
Si tous ces faits, dont un seul d’entre eux suffit pour mettre en question l’intérêt et l’autorisation de la pseudo vaccination aux ARNm, n’avaient pas existé, je me serais fait vacciner. Mais en l’état de nos connaissances, ces pseudos vaccins apparaissent beaucoup plus dangereux que le covid et il est hors de question que moi ou ma famille se fasse vacciner avec ces saloperies. Les vrais vaccins rendus obligatoires avaient suivi les procédures de validation et des années de recul pour être certains de leur efficacité et leur innocuité. Il y a eu des vaccins rejetés. Il est impossible de considérer les nouvelles thérapies géniques à ARN messager comme des vaccins classiques et sursoir aux principes de précaution inscrits dans les lois, y compris les droits fondamentaux de l’Humanité.
En restant à votre disposition pour tout renseignement complémentaire, j’espère que vous vous éloignerez de la caste des criminels corrompus qui sévissent au gouvernement et je vous adresse mes salutations.
Dr Philippe Gault

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Vaccins mortels https://temoignagefiscal.com/vaccins-mortels/ https://temoignagefiscal.com/vaccins-mortels/#comments Mon, 24 Jan 2022 00:16:27 +0000 https://temoignagefiscal.com/?p=17075 Continuer la lecture de Vaccins mortels ]]> Vues : 473

Voici un tableau récent et clair issu de l’organisation de pharmacovigilance des USA sur les décès juste après injection des vaccins à ARNm ou ADN contre le SARS-COV-2. D’abord par an depuis 30 ans (tous vaccins), puis par mois depuis un an, et par jour qui suivent l’injection.


La première courbe sur trente ans montre à quel point lancer des produits expérimentaux, mal conçus et testés trop vite, sans responsabilité et avec fraude dans les données aboutit à une catastrophe.

5500 personnes sont décédées dans les 48 heures suivant l’injection.
Tout cela est rassurant ! N’est-il pas ? Les vaccins sont en train de devenir plus dangereux que les derniers variants, surtout que la mortalité par Covid touche des personnes âgées alors que la criminalité vaccinale expérimentale touche tous les âges, même si cela reste plutôt les vieux qui ne supportent pas.

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Les limites et les bornes https://temoignagefiscal.com/les-limites-et-les-bornes/ https://temoignagefiscal.com/les-limites-et-les-bornes/#comments Wed, 22 Dec 2021 05:01:11 +0000 https://temoignagefiscal.com/?p=16896 Continuer la lecture de Les limites et les bornes ]]> Vues : 919 La citation « au delà des bornes, il n’y a plus de limites », m’inspire beaucoup. Elle s’applique à différents domaines, mais s’épanouit particulièrement ces temps-ci.

Quelles sont les bornes dans une société civilisée : les droits de l’homme, une philanthropie naturelle, une justice sans défaillance, un respect du prochain qui trouve sa réciproque, des débats constructifs, la recherche de l’intérêt commun qui ne piétine pas les droits individuels.

Inutile de chercher longtemps pour savoir pourquoi les politiciens actuels et historiques, d’ici et d’ailleurs, ont toujours été gênés par les bornes sociétales, et se sont permis de les franchir, d’abord discrètement, puis plus franchement, et maintenant sans le moindre scrupule, associant les impostures avec les mensonges qui voudraient faire croire le contraire, associant les crimes contre l’humanité avec la bonne conscience d’en sauver une partie, associant finalement la folie avec le pouvoir et l’argent, ce qui finit souvent par se marier.

Depuis Janvier 2020, nous assistons au scénario d’un voyage au delà des bornes, voyage qui avait bien sûr commencé bien avant le coronavirus, mais maintenant nous y assistons sur grand écran panoramique et il laisse pétrifié.

Les bornes en matière d’épidémie étaient parfaitement connues, définies et répertoriées, notamment isoler et soigner les malades. Ce qui s’est vraiment passé à Wuhan ne sera jamais connu. Virus échappé du labo, c’est bien possible. Une origine « naturelle » crédible n’aurait pas gêné les chinois. Leur confinement rigoureux montrait à quel point ils savaient que c’était sérieux. Cela a été un facteur potentiel de panique. Mais notre ministre de la santé nous a dit alors que la diffusion du virus hors de la Chine était improbable, elle a du oublier les précédents, comme d’imaginer que la récupération des français de Chine risquait d’importer le virus, l’imbécile.

Les mésaventures du paquebot contaminé Diamond Princess mis en quarantaine dans le port de Yokohama a été l’occasion d’en connaitre beaucoup plus sur la contagiosité et la virulence du SARS-COV2. Cette expérimentation involontaire en milieu fermé ou presque, a permis de dégrossir les connaissances sur ce virus, bien qu’un nombre limité de personnes aient été testés, surtout les passagers âgés. L’équipage a donné simplement l’existence ou non d’une période de fièvre. Donc l’évaluation du nombre réel de contaminés sur le bateau est approximative, donné pour 712 personnes, sur 3711 passagers et membres d’équipage. Le nombre de morts, uniquement des passagers, âgés, était de 7 au bout d’un mois et 14, au bout de deux mois. Soit 1% et 2%, mais une étude a ré-évalué le nombre de contaminés asymptomatiques et porté le taux de décès à 0,5%.

Sur le porte-avion Charles de Gaulle, 1046 marins ont été testés positifs sur les 1700 de l’équipage. Un seul a été hospitalisé, sans suite, la plupart n’ont pas eu de symptômes. La propagation à bord aura été extrêmement rapide.

Ces expériences navales nous ont appris que le virus n’était pas très dangereux, sauf sur les personnes âgées, mais pas plus qu’une grippe, mais qu’il se transmettait très facilement, ce que l’avenir ne cessera de nous confirmer.

À partir de ces observations et des données venant de Chine, puis de son expérience montrant que l’azythromicine et l’hydroxychloroquine en bithérapie faisait chuter la charge virale en six jours au lieu d’un mois, le professeur Raoult déclarait que le problème du covid était réglé. On connaissait sa virulence (du virus!), on avait le traitement. Le lavage des mains en plus et tout se serait passé comme d’habitude, les généralistes auraient prescrit le traitement de façon précoce dès les premiers symptômes, le virus n’aurait pas pu se diffuser à la même vitesse, générer la même angoisse, la vie aurait continué et l’économie n’aurait pas subi l’uppercut du siècle.

Certes, le démarrage de l’épidémie en Italie et en Alsace a été violent et extrêmement médiatisé.

C’est à ce moment là que le système a vraiment franchi les bornes.

Tout ce qui avait été prévu pour maitriser une épidémie n’était plus disponible, ni en matériel, ni en personnel. On ne va pas revenir sur la longue liste des manques. Devant notre incapacité sanitaire officielle, et la panique générée par des médias qui ne cherchent que le spectaculaire, le confinement est proclamé.

Dès l’annonce du traitement par Raoult, le laboratoire Gilead, fabricant du Remdesivir, potentiel nouveau traitement « moderne », envoie ses troupes dans la bagarre. D’abord un bataillon d’infectiologues qui négligent de déclarer leurs conflits d’intérêt (c’est pourtant la loi), ensuite l’armée des médias « aux ordres », et derrière tout ce beau monde, les manipulateurs de la haute finance et de la haute administration. La guerre sanitaire est déclarée. Le conseil scientifique est constitué pour dire la « bonne parole » selon les intentions discutables voire morbides des « manipulateurs ».

La médecine de ville est interdite comme les traitements précoces. Les malades doivent crever chez eux, dans le SAMU ou à la rigueur à l’accueil des services d’urgence, et s’ils sont pas bien, on les aidera avec un petit coup de Rivotril. Le Remdesivir ne pourra obtenir une « autorisation de mise sur le marché » transitoire que s’il n’existe pas de traitement déjà disponible, donc il faut dégommer Raoult et son traitement, et qu’il y ait beaucoup de morts, surtout filmés avec des tubes partout, pour que les gens se ruent sur un traitement cher et pas validé.

Vient alors l’affaire du Lancet, cet article basé sur 98262 cas de covid hospitalisés venant de 671 hôpitaux de différents pays, comparant différents traitements antiviraux dont l’hydroxychloroquine, qui apparait dans les conclusions comme toxique, dangereuse et inefficace. Mais les scientifiques avertis qui lisent cet article se rendent compte rapidement de nombreuses anomalies. Et on découvre que les « data » sont fictives pour au moins une part. Trois auteurs se désolidarisent au bout de quelques jours, le journal supprime l’article deux semaines après, l’auteur principal court toujours on ne sait où. Relire :
https://temoignagefiscal.com/la-danse-macabre-des-medecins-des-politiques-et-des-labos-continue/

Cette affaire a dévoilé que les journaux médicaux à comité de lecture étaient dorénavant sujets aux « fake news », que ce que l’on supposait être la vraie science était contaminée par les laboratoires pharmaceutiques qui assurent une partie de leur budget, et qu’il en était de même avec toutes les organisations gouvernementales ou supra-gouvernementales dites « de santé », OMS, FDA, EMA,…. Le reste de naïveté scientifique qui persistait en nous s’est volatilisé. À chaque communication scientifique, il faut s’enquérir de l’honnêteté et de l’indépendance de l’auteur avant de retenir quoi que ce soit. L’esprit de la science est atteint d’un cancer grave.

Après l’étude « SOLIDARITY », le Remdesivir est déclaré inefficace, le 15 octobre 2020, par l’OMS, contre le SARS-COV2 et toxique pour les reins et le coeur. Fin de première partie, mais le 8 octobre 2020, et alors que le 28 septembre 2020, les données défavorables de l’étude Solidarity avait été transmises à Gilead, séquence qui doit étonner, l’union européenne fait l’achat de Remdesivir pour 500000 traitements à 2070 € chaque, soit 1,035 milliard €. Le Remdesivir est mis à la poubelle et l’affaire est enterrée, tout va bien. On n’est plus à un milliard près. Y aurait-il dans cette affaire une compensation de tous les frais de corruption investis par Gilead dans la promotion du Remdesivir, sous menace de divulguer la liste des corrompus ? C’est la question que l’on se pose a la vue de ce feuilleton.

Les vagues épidémiques n’avaient jamais été suivie comme celles du SARS-COV2, et de ses variants. On retrouve les pics épidémiques classiques qui durent de 8 à 12 semaines mais avec une variabilité géographique difficile à expliquer. Ils ne sont pas synchrones entre pays européens et chaque pays n’est pas sensible de la même façon à chaque variant. Par ailleurs, la même population peut subir plusieurs pics successifs, séparés ou parfois coalescents, mais toujours avec des variants différents. Bref, ces virus sont très contagieux, de plus en plus avec les mutations, la diffusion est beaucoup plus importante que le donne la plupart des études, car beaucoup de porteurs sont asymptomatiques et non testés. Certaines évaluent les diffusions à 80% d’une population lors d’un pic et cela n’a rien d’étonnant. La seconde déduction est que même la contamination naturelle ne donne pas d’immunité collective, ni même d’immunité personnelle durable de plus quelques semaines ou mois vis-à-vis de nouveaux variants.
La troisième est que différentes populations développent des capacités immunitaires héréditaires différentes. L’exemple connu est la variole apportée par les troupes de Cortes chez les Aztèques, dont la population en avait subi une « extinction de masse ». Chaque humain a ses défenses immunitaires propres, innées et acquises, jamais exactement les mêmes que son voisin et bien différentes d’un humain d’un autre continent. Les facteurs sont multiples, des milliers. On en apprend tous les jours sur par exemple, l’immunité innée par IgA spécifique sur les muqueuses nasales qui existe chez des personnes séronégatives, en particulier les enfants, la densité variable des récepteurs ACE2, site d’ancrage du virus sur les membranes cellulaires, surtout des cellules ciliées de l’épithélium nasal, les micro-aspirations vers les poumons de sécrétions nasales ou salivaires, plus fréquentes chez les personnes âgées ou diabétiques, etc… bref, on n’est pas tous égaux devant la maladie, c’est connu.
La quatrième est qu’il n’y a pas de différences significatives de diffusion de ces virus quelles que soient les mesures sociales prises. La raison assez évidente et démontrée pour certains épisodes est que les mesures sociales sont toujours prises trop tard, quand la diffusion du virus est déjà trop large.

Les mutations fréquentes des virus à ARN sont connues depuis des décennies, seul Delfraissy l’a compris seulement fin 2020. Lorsque l’on « attrape » le virus, il pénètre dans les cellules ciliées des fosses nasales et utilise le système de production des protéines de la cellule pour se multiplier, atteignant un pic au bout de quatre jours et sur une période d’une dizaine de jours, va donner quelques dizaines de milliards de copies. Sur le paquet, les erreurs de réplication du génome vont donner des milliers de mutations, dont une infime partie sera viable. On considère trouver en moyenne dans une population atteinte un variant viable et transmissible tous les quinze jours. Ces considérations ont fait penser depuis longtemps qu’il était impossible de faire un vaccin pour un virus aussi changeant. C’était les bornes de la biologie. Des politiques mal informés ont pensé que les avancées technologiques permettaient maintenant de faire un vaccin suffisamment rapidement pour qu’il soit encore efficace sur le virus visé pas encore trop muté. Évidemment, les laboratoires ne les ont pas contrariés. Entre menteurs, le courant passe. Pasteur et Sanofi sont restés à juste titre sur la réserve. Mais voilà, si on regarde les statistiques de diffusion des SARS-COV et les taux de vaccination, pays par pays, il faut être aveugle, stupide ou gravement de mauvaise foi pour pouvoir penser que la vaccination a réduit la diffusion, et au contraire avec un peu d’attention, on peut conclure à l’échelle mondiale que les pays les plus vaccinés restent les plus contaminés. L’exemple d’Israel, de l’Islande, de l’Angleterre, de la Hollande sont marquants. L’Amérique du sud fait exception peut-être avec le vaccin chinois (classique) qui semble réellement améliorer la situation. Quant à la mortalité entre vaccinés et non-vaccinés, plusieurs études montrent qu’il n’y a pas de différence, y compris la deuxième phase de Pfizer. D’autres montrent un avantage au vaccin sur les hospitalisations en France, mais nos statistiques nationales ont déjà subi des influences maléfiques avant publication lors des « vagues » précédentes, et comme les courbes de mortalité sont dans la moyenne, on peut être sceptiques. Ce n’est pas le refus des labos de toute responsabilité sur les effets secondaires qui va nous rassurer, ni la précipitation et les manquements graves dans les études préalables à la mise sur le marché. On est toujours bien au delà des bornes et bien chez les incultes, irresponsables, dangereux et profiteurs.

Donc on peut dire que tout ce qui a été décidé par les gouvernements européens pour contrôler l’épidémie depuis deux ans, depuis les confinements, les couvre-feu, jusqu’aux vaccins, a été d’une totale inefficacité, tout en ruinant nos économies.

Le motif évoqué de ne pas saturer les services d’urgence a été tourné en dérision à la lecture du rapport d’activité des hôpitaux en 2020, où la charge liée au covid ne représentait que 2% du temps d’hospitalisation. Il est vrai qu’avec l’extension du désert médical, les français ayant un besoin de soins imprévu n’ont plus que le service d’urgence le plus proche comme ressource. Et comme les lits d’urgence n’ont cessé d’être réduit depuis des années, tout comme le personnel médical, on peut dire qu’il y a un vrai souci.

Mes associés dans ma clinique, ayant peur que non vacciné, je sois embarqué d’office au goulag, ou dans un hôpital psychiatrique, j’ai pris rendez-vous pour me faire vacciner à l’hôpital d’Orléans, session ouverte pour les professionnels de santé. Là, on me dit qu’ils ont mission pour la troisième dose, pas pour une première. Le chef de service sollicité accepte quand même l’exécution de la première dose. Je lui fais part de mon étonnement de l’absence de procédure de consentement éclairé, surtout pour une thérapie génique toujours expérimentale qui a déjà fait plusieurs milliers de morts en Europe, si on cherche bien dans les comptes-rendus d’évènements indésirables de plusieurs pays européens. C’est la loi, pas seulement française mais internationale. Le citoyen qui sert de cobaye à un traitement expérimental doit connaitre le promoteur, l’investigateur, et l’assurance en cas de décès ou d’invalidité, ou de simple préjudice. Il peut s’il le veut, connaitre la composition exacte du produit. C’est la loi. Seule réponse du chef : vous êtes un complotiste ! Je suis parti.

J’ai été promoteur dans les année 2000 d’un essai clinique associant un biomatériau déjà validé à une culture cellulaire autologue, qui m’a valu en passant un premier prix de recherche en biotechnologie en France. Le dossier administratif préalable et les contrats et consentements avec les patients acceptant l’expérience sont plus que conséquents et je trouve cela normal. Tout risque même minime doit être évoqué et controlé. Quand je vois dans quelles conditions est proposé ce pseudo-vaccin, j’en conclue que même les vétérinaires sont plus sérieux. Les citoyens sont vraiment pris pour du bétail.

Le consentement éclairé est irréfragablement obligatoire pour tout traitement mais spécialement pour les essais cliniques. La loi N°536/2014 du Parlement européen et du Conseil du 16 avril 2014, prévaut sur tout règlement national qui lui serait contraire. Donc la loi du 5 aout 2021 dans son chapitre obligeant à la vaccination des professionnels de santé n’est pas applicable, et d’ailleurs le conseil constitutionnel ne l’a pas validé pour cette partie. On navigue encore au delà des bornes.

Au delà des bornes également, le conseil de défense, pas prévu pour cela, les méthodes de contournement du contrôle parlementaire, les relations directes de Macron avec Pfizer et les autres Big Pharma, bref, les mécanismes « garde fou » de la République sont ignorés par l’exécutif, comme les bases et la logique médicales « les plus conformes aux données actuelles de la science ».

À nouveau se pose la question de l’origine du virus. Il est normal que des laboratoires fassent de la recherche, travaillent sur les génomes, comprennent le fonctionnement des microbes pour trouver leurs points faibles, et aussi leurs points forts ! Mais si les laboratoires leur apportent des « gains de fonction », on aimerait savoir pourquoi, dans quels objectifs ? On se pose aussi la question sur sa fuite du laboratoire de Wuhan puisque c’est l’origine la plus probable, volontaire ou accidentelle ? Et par qui ? Pas forcément par des chercheurs chinois, c’est clair. Le reste est très sombre. La masse de manipulations médiatiques fouettée par Macron n’est pas fortuite. Elle suppose que les dominants de ces médias veulent conditionner les populations. Pour se disculper de leurs erreurs à répétition, pour faire croire à leur compétence, pour mieux contrôler chaque individu ? Ils sont tellement au delà des bornes qu’il est devenu impossible de les suivre, de les comprendre, de les accepter. Les médias « main stream » sont la face visible de l’énorme imposture faite à notre République. Mais ils en rajoutent jusqu’au grotesque et franchissent chaque jour les limites de la veille. Les bornes de la vérité sont si loin derrière eux, mais ils tiennent à leurs fins de mois, les pauvres, obligés de mentir à longueur d’année.

Le delta n’est pas encore parti que le variant omicron déferle comme un tsunami sur la France vaccinée à 90%, mais toujours consentante. Papa Noël va mettre dans vos souliers l’Ivermectine ou hydroxychloroquine et l’azythromicine si jamais le « p’tit « o » vous fait quelques misères, ce qui est très peu probable. On sera tous vaccinés vite fait bien fait, beaucoup mieux que la saloperie de Pfizer. Et on écoutera les chants de Noël que l’on connait déjà très bien, Véran et Castex en solistes, le choeur des médias subventionnés derrière. Même s’ils chantent épouvantablement faux, leur obstination à conflit d’intérêt nous fera encore rire. Bon Noël. ]]>
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Lettre à l’agence régionale de santé https://temoignagefiscal.com/lettre-a-lagence-regionale-de-sante/ https://temoignagefiscal.com/lettre-a-lagence-regionale-de-sante/#comments Mon, 13 Sep 2021 10:08:13 +0000 https://temoignagefiscal.com/?p=16543 Continuer la lecture de Lettre à l’agence régionale de santé ]]> Vues : 849 Mesdames, messieurs

Vous me menacez de m’obliger à cesser mon activité de soins si je n’obtiens pas un pass sanitaire, lié à l’attestation de pseudo-vaccination contre le coronavirus par les produits autorisés. Je m’y oppose pour quatre raisons légales et cent raisons sanitaires.

1) Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment. (article L.1111-4 du code de la santé publique);

2) Avant de donner son consentement aux soins, le patient doit bénéficier d’informations loyales, claires et adaptées à son degré de compréhension de la part des équipes soignantes et médicales tout en étant libre de toute pression ou contrainte. Donner son consentement éclairé implique de connaître les alternatives thérapeutiques envisageables, c’est-à-dire les autres moyens de traiter le(s) problème(s) de santé rencontré(s) avec leurs avantages et leurs inconvénients… C’est sur la base de cet échange que le patient pourra accepter ou refuser ce que préconisent les professionnels de santé. Ces derniers devront obligatoirement respecter la volonté du patient;

3) Les vaccins contre le SARS-COV2 étant toujours en AMM provisoire, avec une phase 3 inachevée, les données sur leurs innocuités ne sont pas encore déterminées car en cours de collection, et il n’est légalement pas possible d’imposer ces traitements; les citoyens ne sont pas des cobayes;

4) l’AMM provisoire peut être donnée quand un traitement sans AMM n’a pas d’alternative pour une pathologie donnée, ce qui n’est pas le cas.

La loi sur le pass sanitaire votée en pleine nuit dans des conditions qui sont une offense à la démocratie est donc à rejeter, sur le plan légal, mais surtout sur le plan médical.

Depuis janvier, les pays où la vaccination est la plus étendue ont montré de nouvelles phases épidémiques avec de nouveaux variants du coronavirus, avec une vitesse de transmission sensiblement plus grande que dans les pays où le taux de vaccination était plus faible.

Tout le monde reconnait maintenant que ces « vaccins » n’empêchent pas de porter le virus ni de le transmettre, pas plus que d’en tomber malade. Les dernières données disponibles montrent, contrairement aux dires des responsables gouvernementaux et aux média français, que les vaccinés ne font pas moins de cas graves que les non vaccinés en pourcentage des contaminés.

Un spécialiste mondialement connu, le professeur Geert Van den Bossches, qui a mis au point plusieurs vaccins, a lancé un appel au mois d’aout pour stopper immédiatement les vaccins à ARNm, car ceux-ci provoquaient une production d’anticorps contre la protéine Spike du coronavirus chinois, qui a muté dans les variants actuels, et production qui prendrait le pas sur la capacité de l’immunité naturelle de produire les anticorps adaptés aux virus mutés qui circulent actuellement. Cela peut expliquer la plus grande transmission des variants dans les pays dont le taux de vaccinés est le plus fort. On sait depuis des décennies que les coronavirus mutent fréquemment et que l’on a jamais le temps de faire un vaccin avant qu’ils ne changent.

Le fait qu’il y ait moins d’hospitalisation est lié au fait que ce variant « Delta » est sensiblement moins agressif que des variants précédents, et non pas à l’effet des vaccins. Il n’y a plus aucune surmortalité en Europe depuis le mois de mai 2021.

Dans le rapport bénéfice-risque qu’il est nécessaire de présenter avant tout traitement, le bénéfice apparait donc nul. On se demande comment un produit qui n’empêche pas de porter un pathogène, qui n’empêche pas de le transmettre et qui n’empêche pas d’en tomber malade puisse être appelé ou considéré comme un vaccin. C’est une plaisanterie ou de la corruption par les laboratoires pharmaceutiques.

Le risque lui, peut être évalué par le recueil des évènements indésirables. Évidemment en France, on ne risque pas d’avoir les vrais données des E.I.. Mais il y a des pays qui font correctement ce travail, d’après l’agence européenne des médicaments, le meilleur étant la Hollande. Et sur leur registre, ils ont enregistré 4 décès dus aux effets secondaires de ces vaccins et 16 effets secondaires graves pour 100000 vaccinations. Au prorata statistiquement, cela ferai une quinzaine de personnes décédées du vaccin dans l’agglomération d’Orléans, une centaine de personnes dans la région, plus de 2000 sur la France. Et quatre fois plus pour ceux qui failliraient y rester et garderaient des séquelles graves, soient respectivement 60 pour Orléans, 400 pour la région et 8000 pour la France. Ceci alors que les traitements précoces sont efficaces à 99,6 % et que les décès concernent en moyenne des personnes de plus de 80 ans. Ces chiffres officiels remettent en cause ces vaccins dans les pays « réactifs » et dans un monde normal entraineraient l’arrêt immédiat de ces vaccins.

Le risque entrainé par ces vaccins est donc nullement négligeable et leurs efficacités pouvant être considérées comme nulles sur les variants actuels, je ne vois pas l’intérêt de me faire vacciner car cela augmenterai même le risque de transmission.

Comment faire confiance à vous et votre hiérarchie après la série invraisemblable d’erreurs faites dans la gestion de cette épidémie. Depuis la pénurie de tout, masques, gel, gants, vêtements de protection, l’interdiction du traitement précoce préconisé par l’infectiologue le plus réputé au monde, la tentative par tous les moyens d’influence et de manipulation des publications scientifiques par le laboratoire pharmaceutique Gilead de faire utiliser le Remdesivir qui s’est avéré inefficace contre le SARS-COV-2 et toxique pour les reins et le coeur, l’obligation de fermeture de la médecine de ville et des cliniques privées, avec tous les retards de traitement induits, l’utilisation de 20000 doses de Rivotril pour « soulager » les services hospitaliers. Et maintenant, imposer un vaccin contre un virus chinois qui n’existe plus pour aller encore plus loin dans l’incompétence, la stupidité, l’irresponsabilité, le mépris des populations.

Une telle constance dans les mesures défavorables à la population voire carrément criminelles, ne peut que générer le dégoût après la consternation.

Vous avez déjà réussi à transformer la France en un désert médical, fait passer notre pays de la première place en prestations de santé à la 24 ème en 30 ans, et la chute continue. Des millions de français n’arrivent pas à se faire soigner, ou trop tardivement avec aggravation de leurs pathologies.

Démissionnez, arrêtez de soumettre les citoyens français à votre connerie.

Dr Philippe Gault












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Les états de la Science https://temoignagefiscal.com/les-etats-de-la-science/ https://temoignagefiscal.com/les-etats-de-la-science/#comments Wed, 28 Jul 2021 23:21:38 +0000 https://temoignagefiscal.com/?p=16307 Continuer la lecture de Les états de la Science ]]> Vues : 629 La science comprend un nombre incomptable de disciplines et de sous-disciplines, et il semble en apparaître tous les jours. Mais la question n’est pas là.

Devant la confusion et la cacophonie qui règnent depuis 18 mois dans les propos de toutes origines sur le sujet de la Covid 19, il devient utile de classer la science selon ses « états », c’est-à-dire comment différentes populations humaines peuvent être « connectées » aux données scientifiques.

J’en vois sept. Le domaine des certitudes, le domaine des hypothèses, le monde des oublis, le discours des achetés, la sélection des politiques, les débats dans les médias, le savoir du public.

Le domaine des certitudes

La loi d’Archimède, la loi de la gravitation universelle, l’électron, le photon, la thermodynamique, le son, l’ADN porteur de l’hérédité, etc.. sont analysés, définis, programmables par des équations validées des millions de fois. L’individu qui se met à contester telle ou telle certitude passe pour un inculte ou un fou. Passons, les vérités ne sont plus de ce monde.


Le domaine des hypothèses

Domaine très étendu, où les lois ne sont pas établies, ou des postulats sont évoqués mais ne répondent pas complètement aux observations, où des variables encore inconnues peuvent modifier les résultats. C’est le domaine des frontières de la connaissance où les débats entre scientifiques peuvent être intenses, mais passionnants et constructifs.
Les considérations d’une époque peuvent être contredites plus tard et il faut bien constater que les « mises à jour » des connaissances individuelles et collectives n’ont rarement rien d’immédiat. Une théorie obsolète peut perdurer dans les mémoires fort longtemps.
Le réchauffement climatique est l’exemple même de l’hypothèse sur laquelle des scientifiques sérieux ont des avis opposés.
Le concept d’immunité collective est une autre hypothèse. Elle repose sur certains critères, dont le fait qu’un malade guéri, ou une personne vacciné, est définitivement protégé, ne peut plus porter le virus ou la bactérie et ne peut donc plus le transmettre. Manque de pot avec le coronavirus, il ne génère que peu d’anticorps et pas longtemps, voire pas du tout, les vaccins pas plus, qui n’empêchent pas de le porter et de le transmettre à nouveau, qu’il soit de même souche ou muté.


Le monde des oublis

Domaine qui semble grandir en parallèle avec celui des découvertes. Non pas que les connaissances nouvelles invalident les anciennes, en tous cas pas toujours, elles les complètent le plus souvent, mais c’est comme si il y avait un « trop plein » dans les mémoires et que des savoirs les plus anciens passent à la trappe. On a été servis dans la gestion du Coronavirus. Les pandémies passées avaient laissé une expérience et des enseignements sur ce qu’il fallait faire. Absolument tout a été oublié, comme l’a dit Christian Perronne, y compris les stocks de masques, de gants, de protections, de respirateurs, etc…
Mais bien d’autres choses ont été oubliées. Les plus graves sont de s’informer efficacement quand une épidémie risque d’arriver, qu’une épidémie finit toujours par arriver, que des traitements ont pu déjà faire leurs preuves dans le passé, que les coronavirus mutent beaucoup et que l’on a jamais réussi à faire un vaccin avant qu’ils ne « changent », que les études par « cohortes » peuvent avoir la même valeur que des études « randomisées », que l’éthique médicale interdit de prendre des malades pour des cobayes …


Le discours des achetés

Depuis longtemps, l’État a proposé aux Universitaires de travailler en recherche avec des entreprises privées. Celles-ci ayant des moyens financiers et techniques devenant très supérieurs à ce que propose l’État, les chercheurs des organisations publiques finissent par être très dépendants des entreprises en particulier pharmaceutiques. L’intérêt de ces entreprises devient leur intérêt indirect. Bien sûr, cela fait avancer la recherche plus vite, enfin on le suppose. Pour éviter certaines dérives, le législateur oblige les chercheurs à mentionner leurs « conflits d’intérêt » lorsqu’ils s’expriment dans n’importe quel média et que le sujet est en rapport avec l’objet de leurs relations avec les entreprises. On a bien vu que cette règle n’a jamais été appliquée par les professeurs de médecine concernés.
On ne peut parler d’oublis dans ce cas mais de mensonges pour favoriser tel médicament et dénigrer tel autre en concurrence. La promotion du Remdesivir a été tellement intense jusqu’à ce que l’OMS le disqualifie du traitement que l’existence de ces manoeuvres de corruption ne peut être mise en doute.
La promotion des vaccins actuellement procède certainement des mêmes mécanismes.


La sélection des politiques

Dans une dictature comme la France, la caste au pouvoir a pour presque unique objectif de le garder. Je ne sais pas si « presque » n’est pas de trop. Le second constat est que cette caste a horreur que l’on porte atteinte même de façon minime, à son pouvoir. Le moindre conseil lui est insupportable. Aussi, son conseil de crise débat en secret, comme cela le citoyen de base ignore les puissants raisonnements sur des critères imparables qui amène le « pouvoir » à prendre les décisions exceptionnelles d’efficacité démontrée depuis 18 mois. Manifestement le conseil scientifique n’est qu’une façade décorative qui entérine les ordres venus d’en « haut ». On imagine très difficilement des médecins de spécialités diverses interdire aux malades de consulter leur médecin de famille, interdire les traitements précoces, dire d’attendre chez soi que les symptômes deviennent graves, et donner du Rivotril pour « achever » toutes ces prises en charge ratées. Révélation récente : la surconsommation de Rivotril au Printemps 2020 correspond à peu près à la surmortalité sur l’année (corrigée en rapport à la population totale et à l’âge). Comme quoi la qualification de crime contre l’humanité pour leurs décisions politico-thérapeutiques aberrantes se complète par des assassinats en série avec préméditation. Mais évidemment, nos politiques ont pris les meilleures décisions possibles sous couvert du conseil scientifique et grâce aux dollars de Gilead.


Les débats scientifiques dans les médias

La situation des médias devient tellement caricaturale que cela en devient risible, si ce n’était pas l’instrument du désastre. Les médias subventionnés aux ordres directs ou indirects du gouvernement sont obligés de soutenir par tous les arguments possibles et évidemment bidons les décisions injustifiables de ce gouvernement. Mais comme la contre-information marche à plein et contient dans la masse peu intéressante, des présentations scientifiques remarquables, cohérentes et instructives, qui éclairent vraiment sur les faits réels, les statistiques de diffusion, l’efficacité des traitements et des vaccins, les résultats des différentes politiques sanitaires des pays. Les médias main stream sont obligés d’intensifier le harcèlement et la démolition médiatique des scientifiques opposés à la doxa de Macron-Véran par des méthodes qui sont la meilleure preuve de leur compromission. L’insistance sur le vaccin « indispensable » en accusant les « résistants » d’irresponsables est phénoménale. Les débats entre journalistes pseudo-scientifiques sont d’une pauvreté consternante. Les données sont réduites, ils se basent sur un fait, une théorie (ex l’immunité collective) sans en comprendre les critères. Confondent une thérapie génique qui déclenche initialement une production d’antigènes à des vaccins qui provoquent la production d’anticorps. On peut espérer que les effets secondaires à long terme des premiers ne tournent pas à la catastrophe. Certains grands scientifiques ont prévenus que l’on joue aux apprentis sorciers. Les statistiques actuelles ne permettent pas de dire que le vaccin ne présente pas plus de risque que le virus lui-même.


Le savoir du public.

J’ai souvent l’occasion de discuter avec des patients sur le Covid. La majorité ne savent pas que penser, n’ont pas les connaissances pour dire qui a raison de Véran ou de Raoult. La propagande gouvernementale par les grands médias a tendance à être crue. L’obligation du vaccin pour les professions de santé va peut-être changer les choses, car Macron s’attaque à des professions qui sont généralement aptes à comprendre les questions techniques et ne sont pas d’accord pour beaucoup à accepter un vaccin expérimental sur lequel aucun consentement éclairé ne peut être donné. Beaucoup d’infirmiers et peut-être de médecins sont prêts à démissionner si on les oblige à la vaccination par ARNm. La crise sociale risque d’être paroxystique à la rentrée.


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Délire social chiffré. https://temoignagefiscal.com/delire-social-chiffre/ https://temoignagefiscal.com/delire-social-chiffre/#comments Tue, 22 Jun 2021 23:33:09 +0000 https://temoignagefiscal.com/?p=16071 Continuer la lecture de Délire social chiffré. ]]> Vues : 882 On a beau s’attendre à tout à notre époque et particulièrement en France, le livre de Charles Prats, premier magistrat à la Délégation Nationale à la Lutte contre la Fraude (DNLF), « Le Cartel des Fraudes », laisse pantois. Sa sortie en novembre 2020 avait fait quelques vagues, mais pas le Tsunami que l’on aurait pu imaginer. Le variant nouveau occupait probablement plus les esprits que le Beaujolais ou les frasques de la sécu. Néanmoins, les chiffres rapportés par ce livre sont édifiants. En voici quelques uns :

84 millions de personnes réputées vivantes dans le système social français, pour 67 millions d’habitants en France d’après l’INSEE ! Il y a donc 17 millions de zombies à la sécurité sociale.

Il y a 48 Millions de français de plus de 16 ans ayant droit à une carte vitale mais il y a 58 millions de cartes Vitale en circulation en 2004, 10 millions de trop, en régression à 5,2 M en 2019, 8,75% des cartes actives, 17,5 Mds € au prorata;

5 millions de fantômes perçoivent des prestations sociales !

dont 3,1 millions de centenaires ! Alors que l’INSEE en dénombre 21000 ! Trois porteurs de cartes Vitales actives sont nés en 1892 ! Record battu.

12 392 865 personnes nées à l’étranger disposent d’un droit « ouvert » à recevoir au moins une prestation sociale au 1er juin 2019; alors que pour l’INSEE nous avons seulement 8,2 millions de personnes nées à l’étrangers qui vivent en France ! 10,6 M touchent des prestations maladie, donc 2,4 M de « fantômes »;

Parmi ces 12,4 M de personnes, 43% touchent des allocations familiales-logement-handicap ou RSA, c’est à dire 5,3 M , pour 12,7 M d’allocataires en tout, c’est-à-dire que 42% des allocataires de la branche famille sont nés à l’étranger !

33% de personnes nées à l’étranger ont un droit ouvert pour les prestations de retraite, soit 4,3 M, dont 1,1 M résident à l’étranger, dont 3 M devraient être sur le territoire français, donc 37% de leur population mais 24% du total des retraités, alors qu’ils ne représentent que 12,2 % de la population ! 400 000 retraites sont versées à des zombies.

> 1,4 millions de personnes nées à l’étranger ont des droits ouverts à l’assurance maladie alors qu’elles ne sont pas censées exister sur le territoire français;

0,1% pour les organismes sociaux, ou 10% (selon la DNLF), à 33% (selon la police de l’air et des frontières) des numéros de sécurité sociale des personnes nées à l’étranger avaient été obtenus par la production de faux documents, soit 7 millions de personnes, dont 4 millions perçoivent des prestations, ;

15% d’arrêts de travail frauduleux, soit un coût d’environ 2,5 milliards € par an sur 17 Mds en tout, 7 pour le secteur privé et 10 pour le secteur public (quand même quatre fois moindre) !

8% de fraude sur les allocations familiales, environ 8 Mds ; et les islamistes savent y participer. Un cinquième des djihadistes français identifiés continuait à percevoir les aides sociales alors qu’ils étaient en train de mener des combats répugnants à l’étranger ! La sécurité sociale est complice du terrorisme ! Il y a un malaise.

Taux de fausses déclarations de ressources de 49,81% en 2009 lors d’un contrôle sur les bénéficiaires de l’AME (Aide médicale d’état) ;

Fraudes aux cotisations sociales entre 20 et 25 Mds €;

Fraude aux CPAM # 14 Mds €.

83% des français considèrent que les prélèvements obligatoires sont trop élevés en France;

Fraude à la TVA # 10 Mds € ;

Travail au noir # 17 Mds ;

Taux de fraudes (fausses feuilles de paye) dans le cadre des retraites anticipées pour carrières longues : 50% !

Fraude sociale totale d’environ 50 Mds € . Et le délire continue toujours.

Chapitre intéressant : le Subutex, substitut à l’héroïne utilisé pour les cures de désintoxication, fait l’objet d’un trafic incroyable. Les immigrés clandestins titulaires de l’AME (Aide médicale d’État) peuvent l’obtenir gratuitement en tiers payant et sans carte vitale, et faire la tournée des pharmacies avec des ordonnances bidonnées, départ d’un réseau de trafiquants revendant le comprimé obtenu au frais du cotisant régulier entre 100 et 400 € dans différents pays européens. Même l’ONU a accusé la France d’être la plaque tournante du trafic de ce produit qui est considéré comme un stupéfiant dans de nombreux pays. Quand on pense que le ministère de la santé a réussi à interdire en France l’hydroxychloroquine en deux jours, et que le trafic de Subutex dure depuis des années, on peut se demander si les responsables de la sécu n’en sont pas aussi bénéficiaires !

Le livre de Charles Prats contient énormément d’informations et montre la difficulté à extrapoler des chiffres globaux de la fraude à partir d’enquêtes partielles, mais il permet de cerner l’évolution sur presque 20 ans et de conclure que la fraude ne diminue pas et qu’elle est probablement bien plus élevée que ce que l’on arrive mathématiquement à déterminer aujourd’hui.

Pour temporiser vis-à-vis de ces problèmes, les responsables de la sécu proposent des « évaluations », histoire de ne pas régler les problèmes pourtant évidents depuis des années. Leur opposition à la mise en place de systèmes sécurisant le bon fonctionnement de la sécu est très révélatrice. Tout autant que leur déclaration de ne pas vouloir pénaliser les « pauvres ». Il est facile d’être généreux avec l’argent des autres. Il est fou de penser que l’économie du pays peut supporter plus longtemps et plus fortement cette « générosité » sans bornes.

Un autre point incroyable est l’incapacité de la sécu à connaître les prestations par assuré, une loi de 2007 jamais respectée, ni leurs âges, ou du moins de refuser de donner la plupart des informations de leur base de données, même anonimisées. Ils considèrent toute mise en cause de leur gestion comme une agression contre « l’humanité », et leurs réactions épidermiques ne font que révéler leur refus de toute analyse approfondie de leur activité. À la sécurité sociale, on ne veut pas parler de fraude, mais d’ »anomalies » ! Ils n’ont pas l’esprit tranquille, et on les comprend, mais c’est pour cela qu’il ne faut plus les laisser faire. N’oublions pas la phrase de Marie-Sol Touraine à son départ du ministère : « j’ai réussi à sauver la sécurité sociale ». Autrement dit : tout peut s’écrouler autour du moment que la sécurité sociale continue. Je reste ahuri de constater que des gens puissent penser que si l’économie s’effondre, la sécurité sociale pourrait persister sous la même forme. ]]>
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Opinion, intérêts et services publics https://temoignagefiscal.com/opinion-interets-et-services-publics/ https://temoignagefiscal.com/opinion-interets-et-services-publics/#comments Sat, 22 May 2021 09:14:32 +0000 https://temoignagefiscal.com/?p=15906 Continuer la lecture de Opinion, intérêts et services publics ]]> Vues : 808 Hier, le maitre d’école apprenait aux enfants le Français, le calcul et l’histoire, le postier apportait les lettres aux bons destinataires, le gendarme courait après les voleurs, le juge appliquait la loi. Aujourd’hui, l’élève joue sur son Smartphone à des jeux à la con en ricanant au nez du prof, le postier trimbale des tonnes de pub, le flic se prend des cocktails Molotov dans la gueule, et le juge décide selon le souhait du copain franc-maçon ou de la doctrine socialiste ou de « l’ordre » énarchique.

Il y a des pays qui fonctionnent plutôt bien, donc il ne faut pas désespérer de la civilisation, mais il faut bien reconnaître que, parmi les pays pas encore complètement sous dictature, le France est l’un de ceux qui fonctionnent le plus mal. Malgré la charge fiscale la plus importante au monde, l’éducation nationale est dans les dernières au classement PISA, la justice est 37 ème sur 43 au classement CEPEJ, la santé 24 ème après avoir été première il y a un demi-siècle. J’ai honte de mon pays. Les raisons ont été mille fois évoquées, en particulier sur ce site. Le pouvoir a été volé par des gens qui seraient incapables de faire tourner une épicerie.

La relation entre le public et la gouvernance souffre de dysfonctionnements graves. L’intérêt commun n’est pas perçu. La gouvernance (masquée) estime que l’intérêt général profite de la réduction des intérêts particuliers. Ce qui pourrait être vrai si la limitation des éventuels abus n’allait pas jusqu’à l’anéantissement des possibilités d’exercer un métier quelconque dans des conditions acceptables. Ce qui pourrait aussi être vrai si la corruption ne gavait pas la haute administration qui laisse faire les abus par intéressement. Beaucoup d’entreprises, commerciales ou industrielles, submergées par la complexité administrative et la lourdeur fiscale, sont moribondes. Ajouter à cela le coup de massue des mesures soit disant contre le Covid, les matières premières confisquées par la Chine, l’inflation qui se pointe, eh bien, on sait depuis longtemps que l’on va dans le mur, mais on accélère.

La déraison a repoussé le choc par un endettement toujours plus grand, ce qui n’a pas supprimé le mur qui s’approche toujours inexorablement. Plus on attend, plus les mesures pour retrouver une situation saine devront être radicales, le traitement de cheval, la purge intégrale de toute la constipation institutionnelle, de toutes les folles réglementations en tout genre souvent obsolètes, qui momifient le pays, de toutes les injustices sociales et tous les privilèges que s’accordent les hauts fonctionnaires et leur cour.

C’est déjà dit. Il n’y a plus d’esprit de « service public » chez une partie des fonctionnaires, qui sont souvent démotivés d’être considérés comme des pions insignifiants par leur hiérarchie, car là aussi leurs opinions, leurs expériences d’actifs, sont pris de très haut par les « responsables ». Les anecdotes ne manquent pas, en particulier sur les méthodes d’enseignement à l’éducation nationale, ou bien sur l’incapacité d’organisation de l’hôpital public. Chez d’autres fonctionnaires, plus particulièrement les services fiscaux ou purement administratifs, « l’autre monde », celui de l’économie libre, les indépendants, les commerçants, les libéraux, c’est l’ennemi, ceux qu’il faut faire « chier ». Même si on ne sait pas pourquoi, eux le savent ! Ce n’est pas un conflit d’intérêt, c’est viscéral. Ils ont été dressés comme ça. Martyriser le citoyen, à tord ou à raison, peu importe. C’est leur intérêt à eux, puisqu’ils touchent des primes sur leurs escroqueries. Après, au cas où le citoyen serait honnête, les scrupules sont rangés dans le tiroir du bas avec la poussière.

Donc on est en guerre civile. D’un coté l’énarchie, les média-main-stream, la justice, la police, l’armée. De l’autre, les entrepreneurs, les libéraux, les indépendants, les artisans, les agriculteurs, ceux qui bossent. Au milieu, l’opinion publique diversifiée, désinformée, paradoxale, versatile et hésitante.

Tiens, l’armée se rebelle ? La police aussi ? Pas là pour taper sur des pompiers qui eux aussi en ont marre ! La justice veut son indépendance ! Pourquoi d’ailleurs, ils ne l’auraient pas déjà, théoriquement ? C’est pas clair, pour réinventer la loi ? Les média commencent à se rendre compte que plus personne ne les écoute. Les énarques vont-ils se retrouver tout seuls comme des cons. Ils le sont déjà, mais tout le monde va le savoir. La partie est en cours, peut-être bientôt l’échec et mat. ]]>
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Babel médical https://temoignagefiscal.com/babel-medical/ https://temoignagefiscal.com/babel-medical/#respond Wed, 05 May 2021 23:19:40 +0000 https://temoignagefiscal.com/?p=15792 Continuer la lecture de Babel médical ]]> Vues : 833

Il est assez difficile de comprendre comment sur les questions de virus, d’ARN, de vaccins, d’épidémiologie, de réanimation, de médicaments, de prise en charge, etc…, il est possible d’entendre venant de médecins et de chercheurs des avis aussi contradictoires.

Excluons d’emblée les obligés des Big pharma, qui, vivant avec les subsides modérés à énormes venants des marchands de médicaments cherchant à imposer leurs produits par tous les moyens, sont poussés à proférer des propos partiaux et faux pour plaire à leurs « sponsors ». Ce sont des représentants de commerce dont la démarche n’a aucune considération pour l’intérêt des populations. Les médicaments en « promotion » peuvent être à la fois mauvais et chers, comme le Remdesivir, exemple parfait, mais ce n’est pas leur problème. Cela nous fait entrevoir la mentalité de ces personnes, objectivement criminelles quand cela aboutit à l’interdiction de médicaments efficaces. Il est très difficile de comprendre comment des personnes d’un niveau de formation universitaire élevé peuvent en arriver là. En en discutant avec des amis, certains n’arrivent pas à y croire, et pourtant !

Une autre catégorie d’intervenants médicaux sont ceux qui sévissent dans les médias « main stream », comme Michel Cimes, et qui manifestement sont tenus de proférer la bonne parole sanitaire en provenance directe ou indirecte du ministère de la santé. S’ils acceptent d’être les portes-parole de la gens politique dévoyée, cela les regarde. Ils tiennent à leur micro, leur notoriété, leur ego sur les ondes. Peut-être ne se rendent-ils pas compte qu’au contraire ils sont de moins en moins crédibles. Par exemple sur canal+ Jean-François Lemoine, qui nous répète toutes les dix secondes « il faut se faire vacciner » , comme un perroquet, mais sans en avoir l’air intelligent.

Ces médecins qui privilégient le commerce ou la désinformation n’apportent rien au débat scientifique. Oublions les et concentrons nous sur les « normaux », qui n’ont pas oublié le serment d’Hippocrate et cherchent encore à soigner et sauver des vies. Dans ce cadre, la question des divergences d’avis devient intéressante à comprendre. Il y a bien longtemps que plus personne n’est en mesure de prendre connaissance et de mémoriser l’ensemble des « données acquises de la science » médicale, en plus de toutes les fausses routes qui ont émaillé la recherche et qui restent intéressantes à lire car les échecs sont toujours instructifs. D’où la spécialisation progressive et ininterrompue de la recherche et de la pratique médicale, et la constitution d’une tour de Babel incroyable où différents domaines n’arrivent plus à communiquer. Vous allez trouver par exemple cinq chercheurs dispersés dans le monde qui s’intéressent à un gène donnant une protéine dont il s’agit de connaitre quand et pourquoi elle est synthétisée, ses cibles et points d’action variés, à quoi elle sert , pendant combien de temps et comment elle disparaît. Une molécule peut occuper plusieurs chercheurs toutes leurs vies et cela se complique quand le fonctionnement fait intervenir d’autres molécules et d’autres conditions physiques, chimiques, géométriques, fonctionnelles. Ceci pour des dizaines de milliers de protéines. On n’est pas prêt de tout comprendre. Coté pratique, il y a des chirurgiens qui ne font plus qu’un seul type d’ intervention. Quand on voit qu’en infectiologie, il y a des congrès de virologie et des congrès de bactériologie et que les deux peinent à développer ensemble des recherches, alors que l’on sait depuis des années, et on l’a bien vu encore avec le COVID, que c’est l’association du virus avec des bactéries qui devient réellement pathogène. Une infection virale semble concentrer la réponse immunitaire d’un organisme, et des bactéries quiescentes mais potentiellement agressives en profitent pour faire des dégâts.

Comment s’étonner avec un tel cloisonnement de la science qu’un infectiologue, qu’un épidémiologiste, qu’un réanimateur, qu’un immunologiste, qu’un généticien, qu’un généraliste, qu’un pneumologue, qu’un oto-rhino-laryngologiste, qu’un cardiologue, qu’un etc…, puissent de leurs points de vue différents, voir, penser, croire et dire les mêmes choses. Pas possible. Le réanimateur cherche les moyens de récupérer un agonisant et ignore les possibilités de traitement précoce. Le généticien verra un vaccin à ARN comme un agent capable de perturber la machinerie interne de nos cellules. Faut dire que faire faire par nos propres cellules une partie d’un virus plus ou moins agressif en espérant que cet antigène fabriqué par nous même va provoquer la production d’anticorps par nous-même aussi, est une idée, mais ce n’est qu’une idée, et dans la vraie vie, cela pose des milliers de questions sur tout ce qui peut se passer avec un tel processus. Il faut une très grosse équipe, comportant de multiples spécialités avec une dynamique de groupe et une capacité de communication interne de très hauts niveaux pour réaliser un travail de découvertes et de synthèse aboutissant à de réels progrès. Heureusement, il y en a au moins une. Mais elle fait une telle différence dans la vitesse d’augmentation de LA connaissance que le reste de la médecine, en particulier française ne peut que suivre de loin ou se vexer. L’espoir d’en sortir vient de Marseille, et de nulle part ailleurs.

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